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lundi 25 février 2013

Jean Racine, le Kabbaliste…



Un livre de
Dominique Blumenstihl-Roth
publié aux Editions Peleman


Dans le sillage de Molière et Corneille, ses contemporains, Jean Racine écrit une œuvre théâtrale éblouissante. Orphelin d'une famille modeste, jeune auteur adulé par des femmes influentes, le voici rapidement promu parmi les intimes du roi Louis XIV dont il devient l'ami et le confident. Quel est le secret de cette fulgurante réussite littéraire et sociale ? Comment ce « provincial sans naissance » parvient-il à conquérir le Public et à s'insinuer au cœur de l'appareil politique du Grand Siècle, au plus près du Pouvoir central ? Qui était Jean Racine ?
Les documents historiques abondent mais ne percent pas le secret de cet homme qui semble avoir gardé pour lui l'essentiel de sa méthode et de son projet. Cependant, c'est en décryptant son théâtre, d'Iphigénie à Bérénice, de Britannicus à Phèdre, que transparaissent ses ambitions et les sources de son inspiration. Elles émergent au grand jour dans ses pièces Esther et Athalie : Racine est un kabbaliste hors pair.
Maîtrisant l'hébreu, sa connaissance des Textes est remarquable. Se référant au Pirké de Rabbi Eliezer, au Zohar araméen, au Sefer Yetsirah, il conçoit une nouvelle forme de représentation scénique : il invente un théâtre organique édifié sur le modèle des Séphiroth ! Sous couvert de l'érudition gréco-latine, citant à profusion Euripide, Homère et Aristote, il n'en sert pas moins au Public — à la Cour — un théâtre infusé aux critères de la kabbale hébraïque où l'on reconnaît l'influence d'Isaac Louriah, le grand maître de Safed.
Quel jeu joue-t-il ? Qui se profile sous le masque ?
Formé à Port-Royal, école soupçonnée de sédition, persécutée puis interdite, fut-il aux côtés de l'épouse du roi, Madame de Maintenon, l'agent secret d'une cause spirituelle « révolutionnaire », contre-inquisitoriale, infiltrée au cœur du Pouvoir ? Que préparait-il ? Un coup d'Etat culturel dont le Théâtre serait le vecteur symbolique ? Tout le laisse à penser, tant ses pièces Esther et Athalie, directement inspirées des épisodes bibliques correspondants mettent en scène non seulement la salvation du peuple d'Israël, mais également un subtil commentaire imagé du rôle civilisateur de la France au regard de l' espérance messianique.
Cet ouvrage présente un véritable décryptage des pièces de Jean Racine, relevant les hébraïsmes, les concepts kabbalistiques mis en œuvres dans l'architecture dramatique.

Jean Racine, kabbaliste au service du Roi
Editions Peleman,
ISBN : 2-9522261-4-8
362
pages. 47 euros.


vendredi 22 février 2013

El secreto de Purim / Le secret de Pourim / Esther

Estimados,

La verdad es ke Ester estava judia seckreta para su marido el rey Assuerus (Ahashverosh –rb), i es la sinyifikasion de su apelido
ke sinifica "la embozada" (tapada ? rb) , eksatamente komo la Zoraida adientro de Don Quixote ke es la figura sekreta del Zohar
eskondido adientro de la novela.
El mas importante kon Ester es : ver su actuasion. Su "teknika".
Es muy klaro ke Ester esta aktuando kon las leyes de la saviduria por eshemplo esta aziendo todo dos vezes.
Invita a su marido para la sena sin dezir porke. Muy raro !
Dize ke invita el rey para invitarlo de nuevo.
Rasionalmente un psikiatro dize ke se trata de una mujer un poko loka : invitar para invitar de nuevo sin dezir porke.
En verdad es una ley ke azer dos vezes, i esta ley koresponde al “Tzim – Tzoum” de Luria.
Primero una retraksion i segundo la liberazion, la salida.
Alguno lo savia ke Ester era una espesialista del Tzim-Tzoum ?
Tzim : secreta
Tzum : todo apparese.
Tzim : primera invitasion sin dezir porke
Tzum : segunda invitasion donde todo aparese.
Ester estava una politika bien formada !
Kreo ke en Israel no ay dingunos ke lo sepa aunke todo el mundo esta selabrando Purim.
La selebrasion es para rekordar la memoria de la salvasion i rekordar la teknika.
I agora ke azemos ? La fiesta del Purim ?
Olvidando esta ley ?

Dominique Blumenstihl
Escritor, Fransia
Autor de "Esther, la Délivrance" y "Jean Racine, le Théatre au service du Roi" (les sources hébraiques du théatre classique de Jean Racine)

dimanche 17 février 2013

Météore dans l'Oural : une lecture kabbalistique


Le météore dans l’Oural… Lecture initiatique de l’événement.

(Compte rendu d'une discussion avec Dominique Aubier)


Bon, tout le monde est au courant. Un météore a déchiré le ciel pour finalement achever sa course au-dessus de l’Oural, dans une ville de Russie. Beaucoup de dégâts, de blessés… On pourra toujours trouver des explications scientifiques à cela, mais l’astrophysique ne nous donnera aucune lecture du sens permettant de comprendre le pourquoi…

Nous vivons dans un univers composé de matière. Nous sommes dans le « Qui-Fait », par rapport à un « Qui-Sait » invisible. C’est la thèse kabbalistique. Nous sommes dans le « Ma » par rapport au « Mi ». Tous les physiciens le savent : la matière attire la matière. C’est une des grandes lois de la physique. Donc le « Ma » attire nécessairement du « Ma ». La terre, en tant que matière, est en quelque sorte « attirante ». Mais il existe également le « Mi », cet invisible inaccessible, détenteur de l’information primordiale déversant sa pluie informative continue dans l’univers… Le « Mi », qui par analogie correspond dans nos cerveaux à l’Hémisphère Qui-sait, c’est à dire celui des deux doté de l’air du langage. Le « Mi » est le dépositaire du Verbe. Le « Ma » en est l’interprète. L’humanité, vivant sur terre, procède du même principe. Nous avons en nous le microcosme reproduisant la réalité du processus créationnel, d’une part un hémisphère Qui-sait opposé à son En-face Qui-fait.

Notre civilisation dispose donc des deux options : favoriser le Mi ou le Ma. Soutenir les forces entropiques de la matière ou investir dans les puissances émanant du Verbe. Du moins, trouver un équilibre sans brimer un secteur au profit exclusif de l’autre. Car de notre décision, dans le choix de la polarisation que nous effectuons, dépend l’entièreté de la polarisation cosmique. Le cosmos étant crée, suite à une décision systémique, il sera sensible à toute forme de pensée générée en lui et répondra, à sa manière à la pensée proposée. Ainsi, si l’humanité avance un excès de pensée de type matérialiste (du style industriel poussant à l’excès les processus fabriquant), le cosmos ne manquera pas de réagir à l’appel en soutenant la proposition. Le cosmos, en tant qu’entité faisante, fait de matière, répondra par de la matière qui ne manquera pas de s’orienter vers le lieu où la matière est sollicitée par la pensée humaine. Dès lors, je crois que si l’humanité s’appuie excessivement sur le Qui-Fait croyant y trouver une forme de « messianisme » (le bonheur de tous par un maximum de productivité matérielle) alors le cosmos, répondant en tant que Qui-fait à l’appel expédiera sur terre ce qu’il fabrique le mieux, c’est à dire de la matière. Oui, je pense que l’humanité, fascinée par les forces fabricantes, est elle-même la force pensante appelant vers elle la matière de l’univers. La puissance de la pensée agit sur les choses qui nous entourent, aussi la tendance civilisatrice actuelle, produisant une pensée axée sur la croyance du bonheur matérialiste, reçoit exactement ce qu’elle réclame : un accroissement de matière. Le météore tombant sur l’Oural est à mon sens une manifestation de cette réponse. Le cosmos nous donne ce que nous réclamons, à savoir plus de matière !

Certes, il en tombe tous les jours, des météores. Mais pas dans ces conditions. Celui-ci demandait à être vu. A être compris. Qui est-il ? D’où vient-il ? Ce n’est qu’un gros caillou de matière inerte qui est tombé sur terre. Une grosse masse de Qui-Fait, faisant pas mal de dégâts ! Car à trop convoquer et croire en la matière, on finit par l’attirer ! Je crois qu’un peu plus de Connaissance, (si au moins on lui permettait de s’exprimer !) générerait une sphère différente. Au lieu de soupirer après plus de matière, nous pourrions investir en plus d’esprit. L’attirance matérialiste devenant moins forte, les météores se sentiraient moins désirées… et notre terre, au lieu de s’alourdir de matière, gagnerait à nourrir une humanité faite pour comprendre et rendre à l’esprit le salut qu’il attend.
Plus d’esprit… voici la meilleure parade que je propose pour protéger la terre.