mercredi 19 juin 2019

Les Sauveteurs en Mer en deuil. Lecture initiatique d'un naufrage.

Les Sauveteurs en Mer en deuil.
Lecture initiatique d'un naufrage.


La tempête Miguel a soufflé, faisant quatre morts. Un marin naufragé et trois sauveteurs en mer, aux Sables d'Olonnes.
Hommage national a été rendu aux sauveteurs qui le méritaient bien, s'étant lancé au secours d'un marin-pêcheur…
L'actualité coule son flot d'événements et déjà nous aurions oublié avant même de comprendre le sens de ce drame ?
Prenons le temps de marquer un arrêt et de rechercher le sens, car derrière tout événement, derrière toute réalité, se profile un message qu'il convient de lire. 
Quatre morts, dans des circonstances dramatiques, spectaculaires images de ce navire retourné sur la plage… Et cela pendant la semaine où se déroule à Rouen le festival de l'Armada où se rassemblent les plus beaux navires du monde. A croire que la Mer, que l'Océan a quelque chose à nous communiquer ?

Et le même jour, l'équipe française féminine de football ouvre la compétition du mondial contre la Corée du Sud et remporte la victoire à 4 but contre 0. Aucun rapport, dira l'esprit rationnel… Cependant — et c'est une chose connue (je l'espère) de tous les psychanalystes — deux informations totalement différentes, émises sur un plan de cohérence temporelle, sont liées par l'unité structurelle et dégagent un réseau significatif. Naufrage d'une part et football d'autre part… les deux infos se sont télescopées dans les journaux télévisés : d'un côté la consternation et le deuil des familles et de l'autre, la joie exubérante des amateurs de football, si bien qu'en écoutant FranceInfo, les deux news se suivaient, accolées l'une à l'autre comme si elles n'en formaient qu'une seule et c'était sans doute le cas. D'une part le deuil, d'autre part la victoire. Etrange oscillation, à moins que ce ne soit l'expression d'un flux d'énergie allant d'une situation vers l'autre ?

Ces faits ne peuvent être considérés comme des hasards. Le sacrifice des héroïques sauveteurs mérite mieux que la lecture littérale. Ils méritent mieux que des médailles : ils sont les symboles d'une « opération » qui recèle un enjeu important. Pour voir clair, il faut décoder les éléments. Pour cela, appliquer la procédure initiatique du décryptage.

Blog inopportun, m'écrivait ces jours-ci un psychanalyste indigné par la technique initiatique. Je lui réponds que bien au contraire, il est opportun de lire les événements pour en libérer la portée du message s'adressant à chacun de nous. Et que s'il estime la méthode initiatique inopportune, qu'il nous explique donc en quoi son opinion serait opportune, s'érigeant en juge d'une modalité de pensée qui lui échappe.

C'est pourquoi je prends la précaution ici, avant d'entrer dans le décryptage initiatique, d'inviter les Lectrices et Lecteurs de ce Blog à deux attitudes :
1. que l'esprit rationaliste plat et linéaire, amidonné au convenu, ne poursuive pas la lecture de mon texte.
2. que mes Lectrices (teurs) qui poursuivent, disent « non » au regard plat, sans relief du rationalisme descriptif, qui croit qu'il suffit de raconter les événements pour les comprendre.
Il s'agit d'accéder au noyau actif dans les événements, et pour cela, « commencer par dire "non" au discours idolâtrique qui rampe sur les faits » (cf Dominique Aubier, La Porte de l'Inde, p. 371). A la place, recourir au Verbe tel qu'il projette ses ressources… sur le Code.

La bonne méthode consiste à explorer d'abord les faits, pour ensuite repérer le tracé narratif : identifier les images et les retourner sur le sens. Car le visuel, les événements, considérés dans leur évidence, ne disent pas ce qu'ils signifient et l'on reste pantois, démunis, devant les drames : ce navire retourné, sur la plage… le visuel nous sidère mais ne dit pas ce qu'il veut faire savoir : il est dans l'attente de la mise au clair.

Cette semaine, une autre image saisissante a couru sur les écrans, celle de cet immense paquebot accostant à Venise et on a vu ce monstre des mers défoncer un navire plus petit, écorcher le quai, incapable qu'il était de s'arrêter bien que deux remorqueurs tentaient de freiner sa course. Quelle image est-ce là ? Celle de notre vaisseau — notre arche civilisationnelle ? — dont la prétention est démesurée, incapable marquer l'arrêt ? Le prétendu progrès va de l'avant, avec son gigantisme, et fonce droit contre le mur du réel… Ce qui était remarquable dans cette séquence, c'était l'incapacité notoire de gérer la situation, le vaisseau étant entrainé par les forces d'entropie se fracassant sur le quai.

Comment lire les signes ?
La lecture des signes est une technique proche du diagnostic médical. Il s'agit de « palper » la réalité. Voir, regarder, ausculter… Et disposer de la grille de lecture pour tenter d'améliorer la situation du « patient ». Commencer par sonder tout ce qui se voit en l'arrachant du visible dont on ne perçoit que l'écume. Le vécu nous envoie l'événement, au quotidien, comment en saisir l'immédiat ?
« Il faut avoir une idée précise de l'enclos structurel dans lequel l'événement se produit… » Autrement dit, savoir où se trouve le Guimel (les choses) dans l'unité qui s'exprime.

Mon Maître a écrit à ce sujet que « l'astuce consiste à traiter l'inopiné à l'instant où le visible ajoute une ligne aux images qui écrivent le Grand Code » (Porte de l'Inde, p. 361). Qu'en est-il du double naufrage du 7 juin aux Sables d'Olonnes ? On remarquera d'emblée le Redoublement (Kafil) : en première instance (Bip), le naufrage d'un marin inconséquent. En seconde instance (BOP), ce sont les secouristes qui sont touchés. « La Répétition marque de son tatouage l'attention qu'il faut porter à l'événement ». C'est là une donnée archétypale, connue des Traditions. Identifiée et expliquée dans La face cachée du Cerveau.

Au total, 4 morts.
L'initié attentif, alerté par le Redoublement, notera la présence du 4. Quatre marins morts en mer. La mer étant le symbole de la Connaissance, c'est au moyen des critères de la Connaissance que leur disparition devient lisible. Les 4 marins représentent les 4 phases d'un Pardès ayant été pleinement vécu. Mission accomplie, la phase est pleine. De quoi parlons-nous ? Nous parlons de l'eau, de l'élément liquide qui compose le premier niveau (Bip) au sein duquel la vie a commencé. Une grande étape évolutive se ferme. Dès lors, le navire revient à terre (BOP), renversé. De ce deuil, il faut tirer la leçon initiatique et ne pas nous laisser engloutir par l'émotif : il y a décès de trois sauveteurs, mais le navire retourné invite à lire l'événement au revers de l'apparence. Il y a deuil, certes, mais au revers, sur la coque jusque-là invisible, s'écrit le sens de l'accident.

Pour lire ce signe, il faut donc…
Mais qu'ai-je à vous donner les clés de lecture ?
Nos spécialistes experts en toutes sciences et les médias tellement informés ne décryptent-ils pas l'événement ? 

Ces clés, ils ne vous les donneront pas. Tout simplement parce qu'ils ne les possèdent pas. Et n'imaginez pas que les média-philosophes puissent rien résoudre. Devant un événement, tout juste épluchent-ils l'oignon du questionnement, et pleurent beaucoup quand, arrivés à la dernière feuille, ils s'aperçoivent qu'ils n'ont trouvé aucun noyau. D'où la thèse de l'épluchement perpétuel et le passage rapide à un autre événement pour ne jamais voir l'incompétence démasquée. Eh bien laissons-les pleurer, et rendons-nous à une tout autre méthode de recherche — et de trouvaille.

La référence initiatique.
Je me fie à la technique enseignée par mon Maître. Une initiée exceptionnelle.
Pour appliquer sa technique, il faut apporter la référence cérébrale, selon laquelle le Modèle d'Absolu est d'essence corticale. Cette notion essentielle de la Connaissance, rigoureusement affirmée par Cervantès dans Don Quichotte, est gravement ignorée. Y compris par le judaïsme actuel excessivement fasciné par la philosophie et qui n'a pas intégré les avancées et mises à jour de la Connaissance ? A-t-il vu passer Don Quichotte et son extraordinaire apport consistant à présenter ouvertement le Modèle d'Absolu ? Les travaux d'exégèse et leurs applications permettant de comprendre les textes d'une manière nouvelle ont-ils été considérés à la hauteur de le superbe apport ? Mais le temps va son cours et ne saurait se laisser brimer par les institutions qui figent la Connaissance dans des états de cristallisation…

Allons de l'avant et ne craignons pas d'affirmer que la référence cérébrale et donc la lettre Resch qui s'y réfère est au cœur de toute lecture de signe.
Sans elle, il est impossible de creuser le puits (Beer) du sens. S'appuyer sur la référence cérébrale, c'est la méthode lumineuse qui permet de voir clair, applicable à tout événement. Il s'agit donc de prendre appui sur l'Alphabet et son relief cérébral. Les vrais initiés, tels Moïse de Leon, auteur du Zohar ; Moïse Cordovero, Louriah ne l'ignoraient pas. Cervantès et son exégète ajoutent leur magnifique contribution en dévoilant ouvertement le référentiel jusque-là tenu au secret.

La Connaissance n'est pas une théorie passagère. Elle n'est pas une destination touristique. Elle est l'expression de ce par quoi le monde est créé. Elle est donc issue d'une pensée désirant être comprise. Une pensée désirant être dévoilée. Cette pensée s'exprime dans le réel qui nous entoure et auquel nous participons. Grand Cerveau… ayant délégué son Modèle dont nous portons en nous l'organe qui peut nous en donner une idée. Le grand Resch cosmique (lettre désignant la tête) nous invite à considérer tout événement comme une donnée à verser dans son vase. Pour comprendre, il faut donc « déboucher » les esprits et faire appel au Verbe et ses Lois (Schin) telles qu'elles agissent dans le Resch.

La technique pour lire les signes.
La technique consiste à comprendre que l'événement brut est l'expression déjà avancée en Caf, première lettre de la seconde instance évolutive, à l'entrée du BOP. A en verser les détails visibles sur la trame du symbolisme (Teit) devant être scrutés par la puissance du regard (Ayin) dirigé par la connaissance des lois du Verbe (Schin).
C'est compliqué ? Alors relisez doucement et cela deviendra clair. Sinon, relisez une troisième fois et une quatrième fois.
 
Autrement dit : le modèle étant d'essence corticale (Resch), les lois du Verbe connues (Schin) doivent éclairer ce qui se passe en Caf. Pour suivre les lettres sur l'arbre évolutif, voir le dépliant en fin du livre « Ces Désastres qu'on nous fabrique » et dans les films de la série Ciné-Code.

Mon Maître résume l'opération « lire les signes » par cette formule : « faire descendre le Schin sur le Caf ». Dans le détail, il s'agit de lire l'événement (Guimel), de le situer dans sa phase BOP (Caf), en lire le symbole (Teit) à la lumière du Verbe (Schin).
Cette technique s'appelle en code kabbalistique : 9.311
Mon Maître s'en explique dans La Porte de L'inde. J'invite ceux et celles qui s'en inspirent, de se souvenir de « qui te l'a dit ».

Faire appel au Teit, c'est recourir au symbole. 
C'est une règle archétypale essentielle qui est mise en œuvre par ce processus (Schin sur Caf éclairé par le symbole lisible par Teit selon les lois du Verbe) car le symbole a la puissance d’organiser l’avenir dans une unité où s’effectue le passage de Bip en BOP.
 « Au plan de l’exécution systémique, rien ne peut empêcher un symbole de dicter ses desiderata et de donner ses ordres aux neurones qui se trouvent dans son espace évolutif », écrit Dominique Aubier. Donc : « veiller aux symboles car d'eux dépend l'avenir ». L'initié agit là, à l'endroit où le symbole expédie sa puissance depuis la phase Bip en BOP.
Encore faut-il connaître le Modèle Reisch. Et la connaissance du Reisch a été perdue. La tradition n’en détient plus la formule. Le contenu explicatif du Reisch n’est plus un objet de transmission. Les ésotéristes eux-mêmes n’en disposent plus et… ne s’en aperçoivent pas.

Le dévoilement du Modèle et de la Grille de Lecture : C'est une trouvaille majeure, d'importance essentielle pour accéder au sens des choses, fondée sur une connaissance puissante du Modèle d'Absolu. Elle donne une idée de l'extraordinaire apport de Dominique Aubier au processus révélatoire. L'explication détaillée de la technique du 9.311 se trouve dans son étude La Porte de l'Inde où elle explique comment les lettres hébraïques ont largement inspiré plusieurs équipes de cinéastes indiens qui ont réalisé des films extraordinaires où le message de ces lettres s'exprime en toute visibilité sur grand écran (Voir le livre Bolliyoud, le Cinéma Indien).

Cette technique permet de lire les symboles au-delà des interprétations psycho-imaginatives. Elle en libère le sens le plus précis en rétablissant le lien entre réalité, image et parole, entre parole et lettre, entre lettre et sens.

« Rien n’est plus positif que le symbole : il déclenche l’avenir » écrit D. Aubier. C'est ainsi que le naufrage des navires doit être considéré : comme un symbole devant être lu. Comme un message essentiel. Rester en deçà du sens serait une grave omission.
De ce naufrage, nous n'avons vu que l'image terminale, celle du bateau des sauveteurs retourné, échoué sur la plage. C'est donc cette image-là qui nous parle. Elle nous montre l'Arche de secours renversée, cela signifie que le "cela" du concret dit à l'envers ce que veut dire le "ceci". Il faut remonter à bord du "ceci" et ne pas se laisser impressionner par le "cela" qui inverse le message. En "cela" il y a naufrage et mort. En "ceci", il y a sauvetage réussi et survie. Le signe est lisible par antiphrase et le "cela" du bateau renversé montre le contraire de ce que dit le message initial. (voir à ce sujet le chapitre consacré à l'Inversion, dans La Face cachée du Cerveau).
Compliqué ?
Il est vrai que pour décrypter un événement, il faut être armé de toute la panoplie initiatique, autrement dit, le Code des archétypes. Et cela ne s'improvise pas. Je ne crois pas que cela s'enseigne à la Sorbonne ou à Harvard. Mais sur ce Blog, je vous donne bien des pistes…

On se souviendra donc que la Création (admettre ce principe…) a été forgée sur les directives d'un Alphabet qui a suscité un modèle d'essence cérébrale. A partir de là, tout est cerveau dans la réalité (cf La Porte de l'Inde, p. 209). Toute unité est un cerveau qui fonctionne comme le veut cet organe. Or dans le cerveau, un influx circule depuis sa source en Qui-Sait vers son homologue en Qui-Fait, c'est l'Echange Latéral avec aller-retour et montée progressive d'un degré à l'autre sur les deux côtés de la structure en deux hémisphères. La mémoire enregistre les acquis lors de cette montée. Les échanges latéraux se poursuivent jusqu'en couche Vc. A cet endroit-là, l'énergie reflue vers le Qui-Sait et ne relance plus son en-face de Qui-Fait. L'énergie monte directement vers la couche VI, qui n'est activée que d'un seul côté.
Le côté Qui-Fait de la structure est frappé d'un arrêt.
« L'influx déserte son camp ». 
Il y a renversement, retournement. « Le cycle roule sur lui-même » écrit Dominique Aubier, « la tête en bas provoquant l'éveil de ce que les kabbalistes appellent "la force divine" ». 
Est-ce un échec frappant le Qui-Fait ?
C'est avant tout un arrêt suivi d'un retournement.
Le "cela" (Qui-Fait) montre que le cycle ancien se renverse et retombe de tout son poids sur l'humanité. Le navire renversé nous dit : « vous n'avez plus le choix, pour naviguer dans la vie, vous n'avez d'autre carte possible que celle de la Connaissance. » Le vieux navire est obsolète, renversé, il y a mort d'hommes. Ils ne sont pas morts en vain.

Sur l'Alphabet hébreu, ce moment est signalé. La lettre Tzadé final 900 indique le lieu du maximum d'entropie, région qu'un excès de métabolisation fait… exploser. La destruction du Tzadé 900 est suivie d'un retour vers la droiture, proche de la « résurrection » qui s'amorce par le retour en Tzadé 90 puis la montée en Qof. C'est une stratégie dont devraient s'instruire les politiques et responsables, car elle est valable universellement, pour toute unité et se reproduit dans toutes les structures cycliques.

Le naufrage des sauveteurs est à mon sens lié à l'incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris. Au titre du symbolisme évoquant la fin cyclique, les événements se rejoignent, signalant tous deux l'effondrement de l'ancien cycle, avec, dans le cas du naufrage, un élément d'instruction supplémentaire, celui du « retournement » indiquant la piste à suivre. Renverser la vapeur, retourner les choses sur leur « endroit »…
Le symbolisme de cette situation doit être vite appréhendé, car le symbole ne vit que pendant un moment délimité. L'énergie qui le suscite poursuit sa course et passe à l'étape suivante (voir la formule du Pardès), elle suscitera des événements à l'image du symbole avertisseur et selon que nous en ayons extrait ou non le sens. 
L'énergie passe en phase suivante, post-symbolique, et cette seconde phase sera la concrétisation, peut-être au niveau collectif.
Un naufrage sociétal ?
Un naufrage culturel, de toute la civilisation ?
D'autres tempêtes en perspective ?
A moins que… la bonne lecture du signal permette le retournement complet de la pensée ? 

Sommes-nous capables de prendre la mesure des tensions que le temps projette sur la vie ? 
« En dernière heure, le triomphe va toujours à l’entité qui semblait faible et condamnée et c’est celle qui bénéficiait de toutes les forces visibles qui échoue. Il y a toujours un moment dans la vie d’un cycle où le destin renverse la situation acquise et, en pareille circonstance, mieux vaut faire face à la nouveauté tout de suite car le temps n’accordera pas un long délai pour s’adapter ».
Tout au début de ce texte, j'ai indiqué que le jour même du naufrage, l'équipe française de football venait de gagner son premier match lors du Mondial de cette discipline. Rapprochement bizarre ou délire diront certains, cependant, sur le plan de cohérence qu'un C. J. Jung ne désavouerait pas, rien n'est séparé dans les faits qui nous assaillent dans l'unité temporelle où ils se déroulent. Car « la vie est un tissu qui nous prend dans toutes ses mailles… » (P.I. p. 204). La mort frappe l'équipage du vieux navire et le retourne. En face, les femmes remportent une éclatante victoire. Les deux événements également médiatisés nous ont invité à regarder simultanément des deux côtés, signalant très clairement que l'espoir et la survie se trouvaient dans le camp des femmes… jouant au ballon rond.

Le ballon rond étant le symbole du motif d'absolu devant être propulsé dans le filet du camp adverse pour remporter la victoire, les 4 tirs au but ouvrent un cycle nouveau. Confirmation de la mission messianique de la France, telle que l'écrit la prophétie Obadia dans la Torah ?

--------------

- וְגָלֻת הַחֵל-הַזֶּה לִבְנֵי יִשְׂרָאֵל אֲשֶׁר-כְּנַעֲנִים, עַד-צָרְפַת, וְגָלֻת יְרוּשָׁלִַם, אֲשֶׁר בִּסְפָרַד--יִרְשׁוּ, אֵת עָרֵי הַנֶּגֶב



La prophétie Obadia, verset 20, dans la Torah, présente sans équivoque l'Espagne (Sefarad) et la France (Tzarfat) dans le processus du dévoilement du Modèle d'Absolu… C'est le sens même de l'action menée par Cervantès — Don Quichotte — et Dominique Aubier.

 
Sur le messianisme de la France : le secret de la France
« La prophétie Obadia : la fonction du messianisme consiste à faire sortir — expliquer — le Code de la Vie. C'est là, le rôle de la France, après l'avoir reçu d'Israël passant par l'Espagne de Don Quichotte (Séfarad). Faire connaître, faire sortir et donner à voir l'identité du motif d'universalité. C'est dans son nom, Tzarfat, dans la lettre "Resch" de son nom et dans la lettre "Pé" qui désigne la fonction de dire, de parler. Parler l'identité du motif d'universalité. C'est le rôle de la France. C'est la mission-messianique de la France, suivie d'une reconduction vers Israël. » C'est la raison même de ce blog.

A lire :
— La Face cachée du Cerveau
— Le Secret des Secrets
— Don Quichotte, le Prodigieux secours
— Qu'est ce que le messianisme : pages 161-222
— Le secret de Tzarfat : pages 432-447
— La Porte de l'Inde

Tous les livres
Tous les films


Et qu'en diriez-vous de m'aider à
soutenir ce blog et l'œuvre de Dominique Aubier ?
Croyez-vous que cela peut se faire sans vous ?
Nous sommes embarqués dans le même navire…







4 commentaires:

  1. " Blog inopportun" écrit un psychanalyste scandalisé par le travail de décryptage du Réel effectué sur Kabbalah par DBR.
    Sigmund Freud a été le premier à découvrir que notre cerveau fonctionnait toujours sur deux modes, le conscient bien rationnel et un inconscient mystérieux à décrypter. Mais Dominique Aubier ne dit pas autre chose dans son entreprise dans les deux volummes de la Face cachée du Cerveau !
    Finalement Freud a bien balisé notre hémisphère qui-fait qui ne peut pas exister sans qu'existe et agisse ( nous agisse) un autre hémisphère. Il a bien vu que le système ne peut pas se mettre en route sans qu'une énergie le pousse au derrière. Lui l'a interprété comme la libido mise en place dans nos premiers mois, ce que Dominique Aubier a formalisé comme notre potentialité de participer au Qui-Sait.
    Freud était un fruit de la tradition juive, dont le rêve de chercheur scientifique était de faire de l'inconscient une science comme les autres.
    Dans la fin de sa vie, il a eu le propos suivant : " J'ai perdu mon temps : la seule chose importante dans la vie, c'est le jardinage "( Exergue du livre : Les émotions cachées des plantes, Didier Van Cauwelaert, Plon, 2018).
    Le jardinage de la recherche de la façon dont les choses se font ou ne se font pas, pas très loin de Voltaire concluant son Candide par " Cultivons notre jardin".
    Freud a été un alpha remarquable pour toute une époque, la réalité a fait qu'il n'a pas réussi à en être un oméga pour rester dans l'alphabet dont nous sommes les héritiers.

    RépondreSupprimer
  2. Article très opportun ! Qui nous aide à mieux lire les signes. Merci.

    RépondreSupprimer
  3. D'Israël en Séfarad jusqu'en Tzarfat , le message est arrivé .
    A t-il été mal adressé? Ceux de la Connaissance doivent le reconnaitre. Leur est -il voilé ? Ou le croit-il stationné en Séfarad ?

    RépondreSupprimer
  4. Ce jour, 21 juin 2019, le réel en remet une couche. Juste pour réveiller ceux qui dorment encore dans la région du naufrage étudié ici. Juste au bord du massif armoricain dont les rochers disparaissent du rivage dans le sable à partir des Sables d'Olonne marquent la limite, la terre a tremblé à 5 sur l'échelle de Richter. Le même coin est frappé. Vendée (dont je suis natif) c'est bien vent des...
    Bonne journée

    RépondreSupprimer

Vous pouvez laisser votre commentaire.