lundi 24 février 2020

Coronavirus Covid 19 : la solution systémique.

Covid 19. La solution systémique (3).
par Dominique Blumenstihl-Roth

(Suite de l'article Lecture initiatique du coronavirus 2.)

Le Corona a changé de nom, voici qu'il s'appelle Covid 19. Pour masquer son identité de voleur de la Couronne ?
Forme de vie soudain énergétisée alors qu'il n'est au départ qu'un cristal, le virus est aussi une forme d'intelligence. Il ne songe qu'à sa propre survie. D'où ses rapides mutations et adaptations. En cela, il se comporte comme tous les virus. Le croyons-nous piégé qu'il est déjà ailleurs. Mutagène à l'extrême, il ne cherche pas à nous résister, il nous fuit sans pour autant nous lâcher. Quelle stratégie développer pour le cerner ? Ne pas faire ce qu'il attend… Le surprendre, car il se pourrait bien qu'il anticipe nos réflexes linéaires. Nous l'abordons en privilégiant ce que nous savons déjà de lui, en nous fiant à ce que nous avons observé de manière empirique. Ainsi, nous estimons que la période de son incubation serait de 14 jours, sur foi des diagnostics effectués. En réalité, c'est là une croyance des scientifiques fondée sur un visuel momentané qui ne répond en rien d'un comportement du virus durablement établi.

Que savons-nous de ses performances adaptatives quand elles répondent aux mesures sanitaires organisées ? Puissamment armé de son codage génétique, ne cherchera-t-il pas à contourner nos précautions ? Qu'il s'aperçoive de la naïveté du délai de 14 jours — durée d'incubation estimée par les blouses blanches — qu'il ne manquera pas d'opérer une nouvelle mutation allongeant sa période d'incubation. Le virus, ne l'oublions pas, est un lutteur habile ayant plus d'un tour dans son sac pour assurer sa survie. Que savons-nous de ses ruses ? Avant qu'il n'y songe, je lui dis : Schadaï. Stop. Arrêt.

Son nouveau nom peut faire l'objet d'un décodage. Au delà de l'anagramme évident Co et Vid(e) (avec le vide), j'ai basculé directement sur l'hébreu, en ce que cette langue donne accès au sens par l'inspection des lettres composant les mots. Il n'est pas interdit de passer le mot au travers du filtre de toutes les langues du monde, et je suis sûr que certaines d'entre elles pourraient nous donner des indices intéressants. L'hébreu a cependant l'avantage de toucher à l'information initiale dont le mot est la transcription visible. En cela, je pose mes pas dans les traces des kabbalistes, tels Abraham Aboulafia.
Du Corona (Qorona), le Covid (Qovid) a gardé le Qof. Preuve en est le numéro 19 dont il a été affublé par les chercheurs. Le Qof est la 19è lettre de l'Alphabet. Pour lire le mot Qovid, j'ai utilisé la technique du Tzérouf. QO, (Qof, Vav) signifie : cordon, ligne, limite, mesure. C'est une sorte de préposition qui peut s'attacher à toutes sortes de mots évoquant les thèmes de la limitation, du contour. Ligne de tir, ligne de communication. La position haute du Qof dans l'alphabet indique la posture élevée dans l'évolution, sur la branche droitière.

Le Tzérouf est une technique kabbalistique (je présente mes excuses à ceux qui le savent déjà) consistant à couper un mot en deux suivant une ligne (Qo) où l'on distingue les composantes. On réalise ainsi une lecture de l'unité, conforme à la structure en deux hémisphères. Une moitié du mot sera lue en hébreu, l'autre dans la langue vernaculaire. De sorte que les deux versants créditent une union dotée de sens.
Il convient de noter — cela est beaucoup moins connu, et c'est mon Maître qui me l'avait expliqué (clarification de l'ordre d'un hidouch) — que le Tzérouf n'est valable que jusqu'au Tzadé. Quand le cycle dépasse le Tzadé (lettre initiale de Tzérouf), cette technique n'est plus applicable, car il n'existe plus d'en-face au-delà du Tzadé, une fois que l'énergie est montée en Qof, Resch, Schin, Tav. A l'instant où l'énergie se voit bloquée sur le Tzadé final, la lecture en Tzérouf est encore valable. Elle est à mon sens extrêmement pertinente à ce moment-là, car les opposites sont à leur maximum de séparation. La lecture unitaire en exprimera la tension de cet instant.

Qorona : le Qof a été usurpé. L'énergie capturée est indûment versée dans la zone interdite « Verboten ». Elle y active ce qui ne devait exister. Des formes de vie toxiques, au revers du projet civilisateur se mettent à prospérer. Ainsi le vid(e) se remplit-il. Le cycle (Vav) qui devait mener au Rosch (couronnement de la tête, du principe d'absolu) est spolié, dépossédé. Tel serait le diagnostic définitif, sans recours possible. Au delà du Tzadé final, l'énergie s'enfonce, par notre choix civilisateur, dans le secteur outrancier du matérialisme. Une idéologie qui impose ses lois. L'énergie, nous l'avons dit, aurait dû être déplacée au moment où elle exigeait de changer de camp. Elle est restée dans le « Qui Fait » sans opérer le transfert. Du coup, l'activation agit sur une somme cumulée de réalisations qui perpétuent leur prédominance, sans permettre à l'autre face de vivre son moment d'efficacité. « Le Bien, dès lors, n'est pas une notion de morale » rappelle Dominique Aubier. « Il consiste à s'ajuster aux commandements qui ressortent du Motif d'Absolu. Le Bien, c'est s'accorder à l'immanence de vérité et ses normes, autrement dit YHVH. »

Relisant cette phrase de mon Maître, je me rends compte que nous ne pouvons plus nous contenter du diagnostic établi ci-dessus par la technique du Tzérouf. Le stade où il était susceptible de nous faire prendre la bonne décision est dépassé. Le Tzadé final a retenu, capturé l'énergie, n'autorisant pas le retour sur la branche droitière de l'arbre des Lettres. Le Qof légitime n'a pu être couronné. L'énergie a été expédié dans l'espace interdit, « beyond »,  comme disent les anglais, où il n'existe plus de retour possible, quand bien même on dresse autant de diagnostics alarmants que l'on veuille. Certains incendies ne peuvent être éteints de la main de l'homme. Nous l'avons vu en Australie : seule la pluie salutaire a mis fin au désastre.

Que faire face au virus ?
Je ne suis ni médecin ni virologue. Je respecte leur compétence, mais selon ce que j'entends d'eux quand ils s'expriment — et parmi eux certains amis — il semblerait bien que nous soyons extrêmement désemparés, ne sachant absolument pas comment la situation évoluera. N'ayant a priori aucune compétence dans cette affaire de Coronavirus / Covid 19, j'ai l'impression — pour reprendre la formule du kabbaliste Abulafia — que « je me suis emparé de quelque chose de plus grand que mes capacités ».

Du point de vue initiatique, je me rends compte que j'ai commis une erreur en croyant qu'il fallait dire « Schadaï » pour remettre l'énergie sur ses gonds. Schadaï est l'immanence que l'on invoque en Tzadé final, pour intimer l'ordre d'arrêter. Or ce stade est de longtemps dépassé. Une prière n'est efficace que si elle est prononcée au bon moment du cycle et dans les termes qui conviennent. Schadaï n'a pas été respecté. Naïveté donc, de ma part, sous garantie du Zohar, d'avoir écrit qu'il suffirait d'ajouter le Yod à Schad pour tout réguler. C'était peut-être joliment pensé, mais faux, car j'avais oublié qu'il fallait toujours tenir compte du cycle en cours.
Mais tout n'était pas erroné. Il fallait bien lancer un appel. Il fallait bien activer un Yod. Mais où ? Sur quelle immanence ? 
Schadaï n'est plus d'aucun secours. L'appeler, ce serait comme jeter un gilet de sauvetage à quelqu'un dont le corps sombre déjà dans les abysses. Quant à plonger dans les profondeurs pour ramener la victime en surface, lui insuffler de l'air, massage cardiaque de rigueur… Remettre le cœur en route, le cœur étant l'organe de la Connaissance (32)… Le rescapé — nous-même — ayant perdu connaissance reviendra-t-il à lui ? Et qui réalisera le sauvetage ? Qui se jettera à l'eau ? Les choses ne dépendent plus d'un improbable héros, mais du Maître interpellé par notre prise de conscience.

S'en remettre à la science et la technologie ?
Il s'agit, dans cette affaire qui n'est pas sans rappeler les 10 Plaies d'Egypte, de s'élever à un « concept supérieur de l'Histoire » (CF Elie Munk, Voix de la Torah, Exode), et ne pas en rester à une naïve croyance où seuls les facteurs matériels seraient gestionnaires de notre destinée. Une compréhension plus lucide — et honnête — est nécessaire pour comprendre les choses de ce monde. Notre idolâtrie matérialiste est un obstacle à la libération, et l'ange destructeur profite de ce terrain favorable que nous lui cédons. Il se pourrait que le virus soit plus astucieux que nos chercheurs, en qui nous avons confiance. Et s'ils échouaient ? La pandémie toucherait alors toute l'humanité…


Que faire ? Je crois qu'en dernier recours, après la transgression en « Verboten » qui nous conduit dans le mur, il n'existe plus d'autre recours possible qu'invoquer le Maître du Système, Maître de l'énergie, Maître de la Structure induite.
Faire appel au Yod, celui du « Dieu absent »… A יהוה  .
Tonnerre ! J'ose évoquer le nom de l'immanence absolue.
Et j'insiste en ce troisième article, car la parole est une action privilégiée dans ce monde conduit par le Verbe. La parole posée par écrit réalise son instance réaliste. Elle propose l'appel, et il me semble qu'une sollicitation de cet ordre ne peut être murmurée. Il lui faut de la force, et c'est le déploiement du Redoublement qui la lui fournit. D'où cet article, ce texte écrit.
Ce n'est pas Schadaï qui nous tirera d'affaire, sa zone d'intervention étant dépassée, mais le Tétragramme. Le Dieu d'Abraham, de Jacob et de Joseph. C'est aussi celui de Jésus, me semble-t-il… Celui dont le « bras fort » fit sortir les hébreux d'Egypte, non sans avoir infligé les 10 plaies à l'empire de Misraïm. 
En écrivant ce texte, la proposition passe de première en seconde instance, et si l'argument du recours au Dieu יהוה ineffable est recevable, le réel en tiendra compte.

En lisant cet article, j'estime que vous participez en associé à cet appel : « tel est le principe (cf. le kabbaliste Yehuda Hayat —1495) : les choses d'en bas éveillent les puissances supérieures, autrement celles-ci ne s'éveilleraient pas ».

Suite de l'article :
le postillon contaminateur.
Covid 19 jusqu'au bout du sens. 
Covid 19 : Connaissance et sciences
Pour ou contre le prof. Didier Raoult ?
Le « déconfinement » une affaire de mal entendu.



22 commentaires:

  1. Les faces religieuses Abrahamiques auraient-elles trouvé un exutoire , y a t-il encore un problème théologique du divin ? DBR envoie le tonnerre de la stupéfaction qu'il voudrait que l'on partage avec lui .YHVH reste notre seul(e) sur-face Que depuis Moïse il est non réalisable de voir. Nous voilà donc tous/toutes devant le côté créateur de Ce "Qui fait" . YHVH fut le Présent au Sinaï , du Sinaï . Son nom vint de Lui , il fut le seul à se nommer . Ambassade de la couronne cachée ?

    RépondreSupprimer
  2. Sur la base de mes lectures et visionnages de l’œuvre de Dominique Aubier, et après lecture de l’article de DBR, voici quelques éléments de réflexion au sujet du thème que m’évoque aussi l’événement Coronavirus, Covid 19.
    Nous pouvons peut-être influencer le mouvement de sauvetage en opérant personnellement un retour systémique vers l’information initiale en tout événement que nous traversons. Opérer un moment de conscience par une pause réflexive, une boucle réflexive où on rapproche les derniers développements d’un événement sur les prémisses qui les ont déclenchés. « Rapprocher le BOP sur le Bip », s’asseoir en mode Yeshiva pour rapprocher les sephirot du bas et du haut du corps.
    C’est le réflexe initiatique qui définit l’identité d’I-s-r-ael, yeshouroun, « Ya-sha-r » la droiture, qui consiste comme le saumon à remonter littéralement à la source du mot Béreschit ou B-(Ye)-resh-i-t, en tenant compte du fameux Point central, le Yod au cœur du Beth inaugural, source de tout l’entendement de Jacob, dit aussi Luz, à l’origine de Jerusalem, Ye-rush-laim. « Luz » : l’enseignement (Lamed)) de l’activation (Vavou) du système alphabétique animant inexorablement (Zaîn) la création.
    Le virus est une branche ARN qui ne respecte pas la phase du retour à l’ADN auquel il est indûment associé (sauf dans le cas du rétrovirus où le retour est « forcé »). Le respect du retour au côté directeur, celui qui informe, dans le cadre de nos vies, pourrait résonner au niveau cellulaire et peut-être nous éviter l’intrusion d’un virus en lieu et place de la branche ARN normalement activée par la branche ADN côté directeur. Au niveau planétaire, le Coronavirus ou covid-19 évoque en effet l’intrusion d’un virus (celui de la connerie établie sur l’ignorance entretenue ?) au moment où il est demandé à l’humanité de reconnaître l’alphabet hébreu au principe de la création (1ère Sephira Kether-couronne). La 23éme lettre, connaissance du modèle cérébral, structure relais du système alphabétique dans la création, étant la clé permettant de lever le voile de l'ignorance.

    RépondreSupprimer
  3. Texte majeur, dont le dépôt sur Internet est un ACTE de première importance pour les lecteurs dont le cerveau est "aubiéro-perméable". Et pour tous les autres qui n'ont pas la moindre conscience de ce qui se passe au delà du bout de leur nez et de leur carnet de chèques.

    Retour sur les virus, avec, sur le billard, le début du texte de DBR :

    "Le Corona a changé de nom, voici qu'il s'appelle Covid 19.
    Forme de vie soudain énergétisée alors qu'il n'est au départ qu'un cristal, le virus est aussi une forme d'intelligence." Fin de citation.

    1°) Un virus n'est pas un cristal. Le vivant n'est pas le minéral. Un virus est un sac dans une membrane ne contenant que des génomes donc des acides nucléïques ADN ou ARN. La meilleure image me semble celle d'un sachet de graines. On peut dire que les graines sont intelligentes, car elles savent fort bien mettre en route de germination dans le sol dés que le milieu est favorable, et ainsi, en bout de cycle reproduire leur espèce. Toute évolution est une adaptation pour prospérer, donc une forme d'intelligence.
    2°) Incapable d'accéder aux subtilités du Tzim-Tzoum, ce panachage hébro-langue-usuelle, remarquablement expliquée ici par DBR, je bidouille le Covid 19.
    En verlan on a... Vidoc(q) dit neuf
    Image mémorable du flic-truand alternant dans sa vie avec celle de truand-flic raconté sous une autre forme ? Ce truand capable de tuer,ici modestement disent les chiffres, serait aussi, et en même temps un flic très malin capable de remettre à l'endroit ce que nous avons mis à l'envers ? Une "mauvaise chose" devenant une "bonne chose", c'est bien connu des médecins. La chirurgie moderne est née sur les champs de bataille.

    RépondreSupprimer
  4. Forme de vie soudain énergétisée alors qu'il n'est au départ qu'un cristal, le virus est aussi une forme d'intelligence. nous dit DBR .
    Mais si tout était déjà là ? Aleph entre en Bet et construit sa maison (forme/information de vie soudain énergétisée dit DBR) Aleph Bet pilier de cristal .
    C'est peut-être ce mot qu'il faut passer entre les balises de l'hébreu .
    Crist- Al ,qu'est-ce ? une lumière qui demande à passer les cuirasses de l'ignorance ? un virus/survi semble avoir les clefs du "qui fait" ,il passe où il lui plait de passer et il possède la faculté de modifier les codes d'accès , il a les codes du vivant . Tzarfat attend son arrivée , Tzarfat se prépare comme on attend un hôte inquiètant , Tzarfat est face au vide .

    RépondreSupprimer
  5. Finalement ce texte serait un appel à oser interpeller le Grand Architecte du Tout, chacun avec ses mots.
    J'ai compris que nos façons de nous conduire avec la création libère des forces qui peuvent pulvériser la planète et ses habitants.
    Nous ne récoltons en 2020 que ce que nous avons semé depuis nos origines. Parce que nous n'avons jamais intégré, sauf rarissimes exceptions, qu'une partie de ce que nos cerveaux avaient les moyens de prendre en compte.
    En cas d'épidémies, la seule arme dont disposaient les anciens ( et ça c'est toujours révélé efficace, l'homme est toujours là) était la prière. C'est bien ce que propose l'auteur, ou j'ai rien compris.

    RépondreSupprimer
  6. Tout n’est qu’énergie évoluant sous differentes fréquences.
    Les virus se développent à des fréquences relativement basses, il suffit donc de rehausser nos fréquences pour le surmonter et d’étudier la Torah.

    Et comment?

    Je voudrais citer ici Ésaïe
    Ésaïe 50:10
    “ מִי בָכֶם יְרֵא יְהוָה, שֹׁמֵעַ בְּקוֹל עַבְדּוֹ--אֲשֶׁר הָלַךְ חֲשֵׁכִים, וְאֵין נֹגַהּ לוֹ, יִבְטַח בְּשֵׁם יְהוָה, וְיִשָּׁעֵן בֵּאלֹהָיו.”
    “Qui parmi vous craint YHVH? Qui obéit à la voix de Son serviteur? Que celui-ci ait confiance au nom de YHVH et qu’il ait recours à son Dieu.”

    Ainsi que Zohar Teruma #90 l’explique Son serviteur est l’ange Métatron qui nous appelle à prier , afin qu’il puisse nous élever dans les niveaux spirituels ( accroissement de notre fréquence vibratoire)

    Exode 23:25
    “ וַעֲבַדְתֶּם, אֵת יְהוָה אֱלֹהֵיכֶם, וּבֵרַךְ אֶת-לַחְמְךָ, וְאֶת-מֵימֶיךָ; וַהֲסִרֹתִי מַחֲלָה, מִקִּרְבֶּךָ. ”
    “Tu serviras YHVH ton Dieu, et Il bénira ton pain et ton eau et j’ôterai la maladie du milieu de toi.”

    A t’appeler que la Torah n’ordonne pas de prier mais de l’étudier ce qui aura pour effet de transformer cette absence assourdissante pour certains en un doux et silencieux dialogue.

    Que YHVH vous bénisse tous.

    RépondreSupprimer
  7. DBR a fait usage du mot cristal et il sera judicieux de venir l'interroger ,ce mot, avec la bonne manière dont Dominique est l'artisan .Dominique ? SVP ?
    Quant à la prière , elle a à priori été pratiquée en Australie en 2019 pour demander le secours de la pluie ...et il a plu au ciel de pleuvoir , ce qui a provoqué qques inondations et surtout considérablement aidé les hommes débordés par les feux .
    La prière a été intégrée par nos cerveaux qui en ont remarqué le pouvoir créateur. Le Verbe se voit distribué oralement par lui même . Eh pé dis donc !

    RépondreSupprimer
  8. Le portail que covid 19 nous avait révélé à nous deux /�� par sa lecture en Atbash sont de toute évidence les prières.
    Chemin tortueux qu’est le votre , mais après tout , c’est de voir la vérité qui compte.

    RépondreSupprimer
  9. La notion de prière fait ricaner la rationalité matérialiste de notre occident.
    Prier n'est-il pas demander à une puissance qui nous dépasse de faire advenir une chose plutôt qu'une autre?
    À Lourdes ou à Bénares, la santé plutôt que la maladie.
    Une intention. Mais tout ce que nous essayons de faire ( sortir du chomage, gagner plein d'argent, apprendre le Chinois etc...). Nous tentons avec nos forces de construire ce qui sera notre réalité de demain.
    "Ce qui compte plus que le geste, c'est l'intention" dit le proverbe.
    Ah, au passage : dans les hôpitaux américains la prière des soignants avec les malades est considéré comme ayant une valeur thérapeutique. Qu'on cherche, bien entendu à chiffrer du côté de la science.

    RépondreSupprimer
  10. Corona me fait penser à coroner :

    Coroner
    Justice
    Description
    Un coroner est, dans les pays de culture anglo-saxonne ainsi qu'au Japon, un fonctionnaire chargé, au nom de la Couronne, d'enquêter sur les circonstances d'un décès violent, obscur ou qui semble le résultat d'un crime, et d'en déterminer la cause. Wikipédia
    _____________________________
    Un virus ayant reçu mission du plus haut pouvoir (Kether) de nous contraindre à regarder en face le décès violent que nous faisons subir à la création avec notre Qui-Fait ?

    RépondreSupprimer
  11. Les prières ne sont efficaces que si elles s'adressent au bon moment dans les termes requis, suite à une prise de conscience exacte de la situation. Le dévot se contentera de ce qui est à sa portée. Ce qui ce qui compte, c'est de voir la vérité, et d'agir par le moyen efficace de la claire explication qui est en soi la meilleure prière.

    RépondreSupprimer
  12. oui je participe en tant qu'associée à votre appel. Pour ma part je m’attache à la Femme qui combat le dragon, à l'Apocalypse de saint Jean, au rôle que va jouer saint Joseph le silencieux, jusqu'à présent ...
    Une de vos sœurs, appliquée, en ce temps de carême, à se rapprocher de Dieu.
    Avec toute ma tendresse et mon respect pour vous.
    M.C.

    RépondreSupprimer
  13. J'aime bien la façon dont les commentaires de cet article cherchent, chacun à sa façon, à aller dans le sens de cette quête de la vérité dont se réclame Dominique Blumenstilh Roth sur ce blog.

    Sa dernière intervention affiche :
    ______________________________________
    +++++ Ce qui ce qui compte, c'est de voir la vérité, et d'agir par le moyen efficace de la claire explication qui est en soi la meilleure prière. ++++
    __________________________________

    Comme sut le faire si remarquablement D.Aubier, aller farfouiller du côté de la science n'est pas s'égarer.
    En 2015 (c'est pas vieux) le physicien théorique et académicien danois Holger Bech Nielsen a publié un article sur l'influence du futur sur le présent. Vous avez bien lu : le présent influencé par ce qui va arriver plus tard. L'inverse de ce que les hommes pensent vrai depuis toujours. Malaise sur les bancs.
    Sautons à la conclusion renversante de ce ténor de la cité scientifique : il n'y a qu'une chance sur 30 OOO pour que le futur soit sans influence sur le présent.
    Ce qui adviendra est déjà "en germe" dans ce qui est en ce moment. Prier alors, cela reviendrait logiquement à être un bon jardinier. Celui/celle qui sait planter exactement où et quand il faut ses semences, les entretenir, les soigner puis les récolter au moment de leur maturité. Ni trop tôt, ni trop tard. Cela m'évoque le passage du bip au BOP, le ballet des différents cycles, le premier échange latéral, l'alphabet hébraïque en Y etc... Et, en ouvrant bien les yeux, toutes les aventures de Don Quichotte. Le seul qui, selon son interprète savante, perçoit que les moulins à vent sont bien autre chose que des machines mécaniques à broyer le grain.

    RépondreSupprimer

  14. Il est intéressant de souligner que le porte parole du gouvernement français qui est chargé de communiquer avec le public du coronavirus s'appelle Monsieur SALOMON.

    C'est bien un signe qui montre le rapport entre le coronavirus et la France et ce qui nous intéresse, la révélation kabbalistique en France.

    J'aurai aimé que mon commentaire concernant le lien entre le coronavirus, la fête des rois (6 janvier, couronne), Jérusalem et l'île française appelée cuatro Coronado soit publiée car je suis persuadé qu'il y a quelque chose de très important dans ce lien.. merci.

    RépondreSupprimer
  15. On est sourdingues ou quoi ?
    Notre COVID s'époumonne. Qui l'entend ?
    Oui, il parle vraiment, et en français.
    Sa voix est bien localisée en Savoie.

    Il a occis un professeur de technologie ( un propagateur de la religion du qui-fait ) dans le département de l'Oise. Entre oise et noise, mot ancien signifiant querelle, il manque juste un n. Un noun, cf page 213 Le Principe du langage D.A : " Il figure l'homme en devenir culturel."

    Commentateurs, complices de lecture des articles de DBR, utilisez à fond ce "Enregistrer un commentaire" sans modération. Faut, pour le vaincre, le démasquer notre redoutable " Allié". Il est un remarquable haut-parleur. Rester dans le silence de ce qu'on peut capter est (peur du ridicule?) se faire le complice de ceux qui n'ont ni oreilles pour entendre, ni bouche pour parler. Emprunt biblique assumé.

    RépondreSupprimer

  16. La solution systémique est déjà largement affichée par le nom nouveau attribué par la cité des sciences à COVID-19.
    Quelle ironie, doit bien se payer notre poire le Réel.
    Le vide. Faire le vide, pas d'autre slogan de la Chine à la France. Enfermer au besoin par la force. Confiner, le gros mot est lancé. Pas finement… intelligent d’obéir à un ordre dont on n’a pas compris le sens et la portée. Les puissants se précipitent dans le FAIRE, l’occasion est trop belle de renforcer leur pouvoir chancelant

    Arrêtez de gigoter dans tous les sens sur la planète sans vous préoccuper des conséquences de cette façon d'agir pour notre terre entière comme pour vous mêmes.
    Ordre nous est donné par cet événement ( notre Allié COVID 19) de marquer impérativement un temps d’arrêt.
    Même avec ce pilotage à l’aveugle de nos dirigeants, nous voici obligés de vivre le plus possible sans franchir la porte de notre chez soi. Nous n’en sortirons pas indemnes, des points d’interrogation impensables jusqu’à maintenant tant la domination du Faire était puissante, ne peuvent que se révéler.

    DBR, vous faites partie pour moi du club très fermé de ceux dont l’expression est capable d’ouvrir les portes des consciences en ces temps de confusion extrême des esprits humains.

    Confinée ou pas, bonne soirée à tous.
    FMM

    RépondreSupprimer
  17. Pour remettre un peu les pieds sur terre.
    Quelques chiffres:
    Le Virus couronne serait la cause de 3000 décès sur la planète à ce jour (Infos France inter de ce soir).
    Vraiment minable à comparer simplement à la grippe, ou au Paludisme, ou encore à la tuberculose et tutti quanti.
    Par contre, ce fabuleux virus a fait chuter les bourses mondiales de 12%. Des satellites ont permis d'observer que de ciel sur la Chine s'était déjà purifié. Le monde qui fait a été ralenti de façon très conséquente.
    Le virus couronne est bel et bien mon allié dans la façon dont il affole (y compris sur ce blog).
    Se ré-initier à l'amour sera la seule solution pour l'être humain, face à la blague que lui fait le divin.
    Cordialement
    Paul



    RépondreSupprimer
  18. Le discours officiel en Tsarfat face au virus couronne peut être résumé à travers ces quelques injonctions :
    Ne vous embrassez pas
    Ne vous donnez pas la main
    Et mouchez-vous du coude.
    L’expression se moucher du coude signifie être dans la misère, ne pas avoir d’ambition.
    Je remarque que ce discours nous est tenu par des gens qui en général ne se mouchent pas du coude eux.
    C’est un sacré farceur ce virus … il provoque mine de rien un discours signifiant sur l’état de l’Etat de Tfarsat.
    Nous pouvons nous en laver les mains.
    Mais non …

    Paul

    RépondreSupprimer
  19. Un bien médiocre virus dans sa dangerosité et sa diffusabilité, et c'est la panique mondiale à bord.
    Tout notre système civilationnel avec ses interconnections se trouve mis en question.
    Arranger nos vies sur un modèle tellement fragile qu'un simple petit virus soit capable de le bloquer, c'est simplement idiot.

    J'aimerais bien que Paul puisse expliquer ce qu'il entend par :
    °°°°°° Se ré-initier à l'amour sera la seule solution pour l'être humain°°°°°
    Aurions-nous déjà, dans le passé, été initiés à l'amour ? Il me semble que l'épisode systémique Covid19 est une première pour la planète Terre, modifiée comme nous l'avons fait.

    RépondreSupprimer
  20. Bonjour Charles

    J’utilise “enregistrer un commentaire” à fond comme vous le dites.
    Malheureusement , la censure est impitoyable, censure qui ne fait pas connaître son nom d’ailleurs.

    J’invite donc Dominique d’avoir la force de ses convictions et d’expliquer ses raisons de ne pas publier certains commentaires.
    Aura t-il le courage de sa tante, ou restera t-il sempiternellement caché derrière son blog, à l’image de nos faux dieux??




    RépondreSupprimer
  21. Charles salué par Anonyme, se permet juste un petit rappel.
    Ce blog affiche clairement la couleur en haut de page.
    ___________________________

    Kabbale-kabbalah

    Dans ce Blog, je présente ce que je considère comme les ouvrages et les études les plus pertinentes concernant la kabbale hébraïque, la Connaissance et traditions.
    ______________________________
    Il ne peut donc y avoir qu'une autorité qui décide de la pertinence des propos diffusés sur Internet par le vecteur des " Commentaires".

    Confidence : Il arrive que les commentaires que je propose ne figurent pas ici. Cela peut me coincer ou... pas. Si oui, je contacte alors directement DBR que je n'ai jamais vu se dérober plus que le Chevalier à la Triste Figure dans ses aventures.

    RépondreSupprimer
  22. En réponse à Théophile,
    Pour le système global il s'agirait plutôt de le ré-initialiser comme l'on ré-initialise un ordinateur après l'attaque d'un virus.
    Pour chaque individu, il me semble qu'une première initiation a eu lieu,lors de la fécondation, du développement de la première cellule, de la première séparation avec la seconde cellule déjà différenciée.
    Les paramécies acceptent de se dédoubler à l'identique....
    Mais pour qu'une évolution ait lieu il faut l'acceptation de la différence.
    Bon, tout cela pour en arriver à ce qu'un quiconque Paul, un soir de Mars ose affirmer que l'amour joue un rôle dans cette acceptation du différent, ça n'en valait pas peut être pas la peine ...
    Cordialement
    Paul

    RépondreSupprimer

Vous pouvez laisser votre commentaire.