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vendredi 13 mars 2020

Covid19 : en parler jusqu'au bout du sens.


par Dominique Blumenstihl-Roth


Je ne vais pas ici répéter ce que l'on peut lire sur de nombreux sites spécialisés qui décriront mieux que moi les particularités de ce virus. J'essaie de faire une lecture initiatique du phénomène en m'appuyant sur les critères de la Connaissance, tels que
Le virus, est-il une chose ou un élément vivant ? Ce n'est pas très clair et les scientifiques en discutent. On sait qu'il possède son sac d'ADN ou d'ARN et qu'il… est inerte aussi longtemps que… Aussi longtemps qu'il ne s'éveille pas. Quant à savoir ce qui lui donne vie, les virologues ne sauraient nous le dire.
En tout cas, s'agissant d'entités pourvues d'ARN ou d'ADN, le virus est plein d'une information. Quelle est cette information ? Là encore, mystère. Il se met à vivre, obéissant à une directive « venue de plus loin ». Quelle est-elle ? Peut-on l'identifier ? Et pourquoi s'active-t-elle ?

Il s'agit, et c'est une évidence, d'un phénomène naturel. Et en ce sens, le virus est soumis au règles et lois de fonctionnement du réel.
Nous savons que le virus, acquérant sa protéine, détruit la cellule-hôte et remplace la couronne de protéine par la celle qu'induit son propre ARN. Imposture, prise de possession des lieux, inversion. On reconnaît là une phénoménologie classique bien identifiée par la Connaissance initiatique :
« Tout transfert d'énergie et d'information d'un « qui Sait » à un « qui Fait » se heurte d'emblée à la fatalité de l'Inversion. Les deux hémisphères sont placés de telle façon que l'un est le miroir de l'autre. Leur symétrie détermine le traitement inévitable de l'Inversion pour la donnée informationnelle qui arrive, véhiculée par l'influx. C'est elle qui subit la mise en négatif. Adaptation au milieu dans lequel elle a été introduite. La présentation inversée est le fruit de sa conversion à la légalité du site récipiendaire. Le phénomène se produit obligatoirement dès lors qu'il y a passage de l'énergie de Droite à Gauche, dans quelque structure que ce soit. » (cf. Dominique Aubier, La Face cachée du Cerveau, éd. Dervy)


« Des traces existent toujours dans le vécu exprimant plus ou moins l'esprit des directives ayant motivé la coagulation de tout événement. Ces directives ont-elle donné prise aux réponses convenables ? Leurs prescriptions ont-elles été bien entendues ? Souvent, dans la vie, une prescription mal comprise a pu inspirer des actions opposées à leur désir, des interprétations trompées parce que mal greffées sur leur vouloir. C'est tout le rapport entre l'information donnée et sa réception qui est en cause… »
L'information d'origine est lisible : tout kabbaliste, tout initié sait que la vérité des choses s'exprime dans les mots, dans les noms. Le nom du virus est éloquent, il se pare de la Couronne. J'ai déjà écrit un article à ce sujet, rappelant ces paroles du Zohar selon lesquelles il est donneur d'information. Son information, c'est justement la Couronne. C'est donc la Couronne qui veut se faire voir et entendre. Le Modèle Absolu qui veut être compris, avec son Code et ses Lois. La teneur de l'Information réside dans le mot « couronne ». Et voilà qu'elle métabolise une Inversion. Pourquoi ?
Comment ? Les experts entourant le Président de la République ne le lui ont pas dit ? Le collège des super-scientifiques sachant tout sur tout ne l'en ont pas informé ?


L'Inversion
L'écrivain Kafka avait remarqué que l'esprit commence toujours par dire « non » à ce qui le concerne et l'intéresse. Le cinéaste Fellini en était troublé, et s'inquiétait de ce mécanisme qu'il avait observé sur lui-même. La référence cérébrale des hémisphères opposites en est la cause structurelle et systémique. Mais la culture qui agit actuellement dans nos pays n'a aucune idée de la vigueur normative des archétypes cérébraux.
« La psychologie et la psychiatrie en connaissent les effets, surtout s'ils donnent naissance à des dysfonctionnements. Mais faute d'être appréhendée au plan systémique, leurs observations restent engluées de matière, fussent-elles empruntées au domaine des manifestations mentales. L'Inversion peut être constatée mais n'étant pas rendue à sa raison d'être, elle ne devient à aucun moment un critère de transit. Alors qu'elle l'est pour un être de Connaissance. L'Inversion est un fait obligé, lié au changement de milieu, phase normative, donc associée à l'incontournable passage d'un état à un autre, dans l'itinéraire constructif qui va d'un dire à sa réalisation. »

Et si ce satané virus était l'Inversion d'une information première désignant la Couronne désirant descendre sur l'humanité et la contaminer… de Connaissance ? Qu'à défaut de trouver les récipiendaires humains qui en recevraient l'enseignement, elle s'inverse en une abominable contagion agressant les appareils respiratoires d'une humanité qui déjà s'étouffe dans la pensée unique ? Dans cette affaire, tout est signe, tout est lisible…
L'inversion, normalement, n'est pas définitive, elle est passagère — à condition que la prise de conscience s'opère et que l'information soit rétablie dans sa droiture. Faute de quoi, l'inversion se solidifie en état de fait et devient un gouffre.


Effet du Corona, sur la culture.
Fermeture des lieux culturels. C'est que le contenu proposé n'est pas agréé. Voilà que le Louvre est fermé. Grande sépulture muséïque… Notre Ministre de la Culture est personnellement attaqué. (A titre personnel, je lui souhaite un bon rétablissement). Ce qui est signalé par l'attaque qu'il subit, c'est la Culture dans son rejet-ignorance de la Connaissance : la donnée informationnelle Couronne est dévoyée, et la culture tout entière s'enfonce dans une impasse où tout a la couleur de la négation.
Le Corona impose l'arrêt. Une notion connue de toutes les traditions du Monde. C'est le Tzadé final symbolisé dans la Crucifixion. En serions-nous au grand Shabbat universel stoppant net l'appareil productif qui s'imaginait tourner à l'infini ? Le virus serait-il un immense rappel des lois incontournable du Réel ? La science n'en croit pas un mot et plus d'un « expert » estimera que je délire. Ce rejet fait partie du processus obligatoire, le « qui Fait » s'autojustifiant et accusant l'En-Face. C'est justement à la négation, territoire civilisateur dominant de notre temps, que le virus non seulement dit « Stop », mais l'impose avec violence.

La négation de l'esprit, dans nos sociétés tournées vers le « faire » est épaisse : « L'esprit qui toujours nie… », écrit Goethe. Cet esprit négateur dit non, au moment où l'information entre dans la région qui devra la prendre en charge.
« L'énergie qui la transporte pénètre alors dans le territoire-miroir où l'Inversion est la clé du régime général. Le temps de s'y adapter et elle ressort apte à mener la suite des opérations. Simplement, il ne faut pas qu'elle s'immobilise dans le fossé… Ce danger qui menace sans cesse nos cerveaux individuels existe aussi dans la vie collective. L'effet consiste alors à concrétiser en négatif une suggestion qui demandait à être poussée jusqu'à sa résolution de sa finalité. Un grand nombre de déviations parmi celles qui aujourd'hui altèrent l'équilibre social sont issus de cette chute dans une inversion qui s'éternise. »
« Ainsi procède la conscience médiatique. Qu'un fait déplaisant se produise, elle l'enregistre tel quel et au lieu de lui chercher sa cause, déploie des trésors d'énergie à la décrire et l'accroître, sous prétexte de l'analyser. L'extension dramatique et l'usage des drogues, par exemple, est le pur résultat de cette politique. Plus on en parle, plus on augmente sa valeur de donne et on augmente sa puissance de directive qui se dirige inéluctablement vers la réalisation de ce que l'on voulait éviter. Ce résultat naît de la mésintelligence généralisée que notre culture nourrit à l'égard du circuit vital de l'information. Elle l'arrête dans sa phase négative au lieu de lui laisser gagner la forme aboutie qui serait celle de sa vérité. »
Il ne s'agit pas de taire les événements, mais au contraire, d'en parler jusqu'au bout. Décrire les désastres qu'occasionne le virus est nécessaire. Tenter de le retarder, de le gérer… Sauver des vies, par tous les moyens. Et l'un des moyens est de tirer l'information jusqu'au bout.
Dire que le virus nourrit sa valeur de donne informative au-delà de son caractère purement physiologique et contamine le Qui fait en exploitant tous ses défauts.
Je réaffirme ici l'identité de ce virus, résultat d'une énorme inversion du message « couronne ». Redressant ce message, on y peut lire la volonté du Modèle d'Absolu désirant se faire connaître et nommer.
Le virus sera vaincu si sa vérité est positivement lue.

PS : On notera la volonté actuelle des médias et des autorités à nommer le virus sous son appellation anglaise Covid19. Celle-ci a pour effet de neutraliser le mot « virus » et d'effacer l'information Corona, de sorte qu'elle disparaît. Ce qui empêche précisément son identification… Une négation de plus obturant l'accès au sens.


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— La Face cachée du Cerveau
— Le Réel au Pouvoir
— L'Ordre Cosmique
— La Puissance de Voir



PS : Les passages de cet article entre « » sont tirés de différents écrits de Dominique Aubier. Ils sont bien entendus couverts par le © comme le sont tous les textes publiés sur ce Blog.

Suite de l'article ici :













7 commentaires:

Gabrielle a dit…

Bien d'accord avec vous et de plus
WUHAN Demande à être clarifié ce qui n'est pas dans mes compétences...
Belles pensées D'Alsace Gabrielle

François-Marie Michaut a dit…

Démédicaliser nos cerveaux

Polariser les esprits sur les seuls aspects médicaux de la progression du cheminement de notre coronavirus, c’est empêcher le public de prendre en compte la dimension de la crise mondiale actuelle. Nous voyons s’effondrer sans prévenir ce dont nous étions si fiers. Travail de millénaires d’évolution biologique et culturelle de notre espèce brutalement freiné : du jamais vu.
Le confinement obligatoire et le repli qui nous sont imposés ont, au moins, un mérite.
Celui de nous fournir le temps de nous poser la seule question sérieuse.

Que devons-nous faire collectivement et individuellement pour ne pas commettre demain les erreurs, ou la même erreur, qui nous ont/a conduit au clash que nous vivons avec stupéfaction ?
La réponse dépasse tellement le cadre de la médecine, et de la technoscience en général. Faute de faire cet effort et de ne se consacrer qu’à l’aspect sanitaire de cette crise planétaire, que nos dirigeants y soient très attentif, c’est bien entrer « en guerre» comme le martèle le président Macron.

Mais en se trompant d’adversaire : le virus du moment n’est qu’un révélateur impitoyable de ce que avons construit avec tant d’orgueil et qui ne tient plus debout.
L’ennemi, c’est nous tels que nous sommes.


François-Marie Michaut,
____
Tel est le papier pour un site consacré à la santé que m'a inspiré la lecture de ce remarquable article.

Frédéric THOMAS a dit…

Faute d'assumer le Reisch de tzaRfat on retombe à quat'pat's sur le Qof en tzaQfat et la parole s'effondre dans l'animalité.. Attention le qof 19ème lettre (co-vid-19) est aussi la 9ème lettre du Bop, Symbole en force. Nous passons de la menace globale aérienne nucléaire il y a 9 ans en style Dehors à une menace de type Dedans où la parole est la cible. Dominique Aubier avait anticipé le coup de grâce en mars 2011 par la révélation du code de l'alphabet et de la vie dans Ciné-code. Nous devons nous appuyer sur cette révélation pour la relayer à notre tour et accuser bonne réception de son oeuvre de pédagogie, passant de fils de David à fils d'Ephraim אפרים le programme. A remonter à l'envers, en mode de droiture : mi-rfa-(t) nous appuyer sur le cycle acquis du Reisch pour exprimer notre reconnaissance de l'alphabet hebreu qui code la création et la vie. Impératif cosmique actuel, la création en est à sa première sephira Kéther et attend notre reconnaissance verbale pour la clôturer.

AlephBet a dit…

Comme souligné par DaBaR , le virus délesté de son nom couronne reste une information. Qui prend ses informations dans nos comportements . Il semblerait que son arsenal de "guerre" (guère ?)se soit renforcé depuis les mesures de renforcement à l'éviter sous son vrai nom . Nous faisons et il fait .... il imite les mesures que nous prenons contre lui .Il nous enferme dans des comportements aberrants qui font naitre d'autres comportements réactionnels (d'évitement des consignes de confinement ). C'est un envoyé de l'invisible qui demande à rendre la couronne dont il ne veut pas , mais :citation de Dominique Aubier dans Le devenir du monde page 108 "la quête de l'homme par Dieu , sa recherche de l'homme" et la fuite de l'homme devant Lui .

Charles a dit…

En parler jusqu'au bout du sens ?
Question:
Un sens peut-il avoir un bout, une extrêmité ?

Frédéric THOMAS a dit…

En réaction à l'intervention de Charles, il me semble que les inflexions du sens sont directement observables dans les formes de l'alphabet hébraïque justement constitué en un système de bouts et d'extrémités qui feraient sens et in-formeraient, coderaient le réel. C'est par référence plus ou moins précise à ce système de formes reliées entre elles qu'apparaît analogiquement le sens.

AlephBet a dit…

Oui , Charles , un sens interdit a un début et une fin . C'est le lieu même pour en parler et très d'actualité . cordialement Charles.