Pour ou contre le Prof. Didier Raoult ?
Par Dominique Blumenstihl-Roth
(2ième partie) La première partie
(2ième partie) La première partie
Préambule :
Face
à la science, il y a la Connaissance et c'est elle qu'il faut soutenir.
Je ne me mêle donc pas de la dispute intra-scientifique entre D. Raoult
et ses collègues, c'est une querelle entre divergences hyponeuriennes à
laquelle la Connaissance ne participe pas. Leur querelle occupe tous
les médias tandis que la vraie Connaissance par les voies du Sacré est
occultée. La vraie lumière se situe non pas dans tel remède ou prétendu vaccin
recherché, mais dans le changement total de paradigme de nos critères de
pensée devant donner priorité à la Connaissance.
II Néantisation de l'existant,
disais-je
dans mon article précédent, citant le Maharal de Prague, immense initié
de la kabbale (dont le vrai nom était Rabbi Liwa, 1512-1609). Un initié
rare, contemporain de Cervantès. Il a étudié de près la phénoménologie
des fins cycliques, dont il savait qu'elles participent à des plans
d'ensemble. La néantisation qui nous effraie tellement, qui terrorise
l'économie du « faire », n'est en réalité qu'une étape vers la réalisation d'un achèvement plus parfait, la nécessité d'un perfectionnement progressif de l'univers, comme le dit Benjamin Gross (in le messianisme juif, éd. Klinksiek, 1969 p. 225. Rééd. Chez Albin Michel, 1994).
Serions-nous à la fin des Temps ?
Certainement avons-nous atteint une limite, l'ordre de cessation, depuis longtemps est donné — Urgence du Sabbat !
— et le réel finit par opérer l'arrêt que nous n'avons pas été capable
d'organiser : nous ignorons cette notion d'arrêt, fascinés que nous
sommes par les illusions de croissance continue, alors que dans la
Nature, rien ne croît à l'infini. Erreur intellectuelle de la pensée
linéaire dominante qui s'imagine la poursuite perpétuelle, dans le
futur, de ce qui fut dans le passé. Nos prétendues élites, formées dans
les hautes écoles, ont-ils la moindre idée des ruptures cycliques ?
Savent-ils (elles) comment redémarrer un cycle nouveau ?
Le célèbre verset « Tu ne feras pas cuire un chevreau dans le lait de sa mère » (Genèse XXIII-1) en dispense la leçon. Le nouveau cycle (chevreau) ne peut en aucun cas être préparé avec les ingrédients — la pensée — du cycle antérieur (la mère).
Le célèbre verset « Tu ne feras pas cuire un chevreau dans le lait de sa mère » (Genèse XXIII-1) en dispense la leçon. Le nouveau cycle (chevreau) ne peut en aucun cas être préparé avec les ingrédients — la pensée — du cycle antérieur (la mère).
Le
Talmud en développe la méthode et l'enseigne par une histoire
plaisante, absurde en apparence. Il enseigne en effet qu'au soir, il
faut se déchausser en commençant par le pied gauche. Et qu'au matin, il
faut se chausser en commençant par le pied droit. De quoi le Talmud se
mêle-t-il, dans ma vie, pour me dire comment mettre mes chaussures ?
Anecdote gratuite ? Certainement pas. Haute leçon spirituelle. Et à vrai
dire, je n'ai pas rencontré de rabbin qui m'en ait donné l'explication
systémique.
Alors je vais la donner, telle que mon Maître
me l'a expliquée. Et que ceux qui répètent et enseignent l'explication
n'oublient pas de mentionner la source de l'explication et ne
l'attribuent pas à un mystérieux Rabbi de leur invention.
« En
fin de cycle évolutif, historique, événementiel, l'énergie parvient en
Tzadé final 900. Elle ne va pas au-delà de ce stade quantitatif. Elle
est frappée par l'ordre de l'arrêt, le cycle se ferme, chabbat,
cessation du « faire ». On ferme la voie évolutive de gauche. C'est
pourquoi le Talmud enseigne qu'en fin de journée (fin cyclique) on
enlève ce sur quoi on s'est déplacé en commençant par la gauche (la
chaussure gauche), relative à tout ce qui est matériel. Le nouveau cycle
commence par la droite. L'énergie retourne en Tzadé 90 puis monte en
Qof 100. Elle passe de gauche à droite, le long d'un labyrinthe, qui,
dans le cerveau, correspond au 'corps calleux'. Dans le récit
talmudique, cela correspond à la nuit entre les deux épisodes. Car entre
l'enlèvement des chaussures du soir, et le nouveau chaussement du
lendemain, il se déroule nécessairement un temps. Il n'est pas évoqué
dans l'anecdote, mais le lecteur attentif y songera. Ce passage, c'est
l'épreuve : sortie d'Egypte. MisRaim, à gauche, est déserté, traversée
du désert. Avant l'arrivée du lendemain où il faudra se chausser, non
pas en recommençant avec les critères du passé (gauche) mais en ouvrant
le nouveau cycle par les données dispensées par la droite. C'est-à-dire
par les lumières de l'explication portées sur le phénomène vécu. Le
chabbat connaît ce processus, par le retournement, par l'apport de
lumières (par les femmes), et le pain de la Connaissance posé sur le
pain de la veille. Aussi convient-il de se chausser en commençant la
nouvelle journée du pied droit, c'est-à-dire par l'enseignement de la
Connaissance actualisée au temps réel du cycle nouveau. »
L'ouverture du nouveau cycle par la chaussure droite — pied droit, implique l'abandon des systèmes de pensée fallacieux, la restauration de l'esprit, cela est conforme à l'enseignement de Genèse : la lumière vient après les ténèbres et les déchire. La lumière ne procède pas des ténèbres, elle n'en est pas un reflet et n'en émane pas (désolé pour la thèse de l'artiste M. Soulages). La lumière procède exclusivement du Verbe (Genèse I-2) et anéantit la ténèbre. Le mot hébreu « Tov » (bon) s'applique à Lumière après l'intervention du Verbe. Il ne s'applique pas au goudron noir du néant. La fascination de l'œil est optiquement aisée sous l'effet des brillances du noir, mais la négation du Verbe y est telle qu'il est impossible de se laisser séduire. Le culte que l'on voue à cette œuvre qui prétend que la lumière sortirait du noir est une négation de Genèse. Certes respectable du fait même qu'elle existe, cette œuvre ne peut être la référence artistique des temps nouveaux. Elle appartient, à mon sens, au musée de la chaussure gauche dont elle est l'emblème.
Espérons l'émergence des Temps nouveaux, de pleine lumière où la Connaissance aura sa juste place.
Le coronavirus fait émerger ce qui, jusque-là, n'osait se dire.
Seraient-ce là les perturbations pré-messianiques ? Ou peut-être même, déjà,
les manifestations de l'entrée dans la période messianique. L'éclosion
serait-elle déjà en cours ?
« Rien ne sera plus comme avant » disent certains experts. Ils ont raison. Mais il faudra qu'ils s'appliquent à eux-mêmes cette sentence, et qu'ils pensent le nouveau, s'ils en sont capables, avec des critères débarrassés des scories de l'antériorité. Ils ne pourront prétendre parler dans le cycle nouveau, en affirmant la validité de ce qui a généré l'erreur. STOP au « péché d'Eve ». Le cycle nouveau ne veut pas de la croyance aux seules forces du « manifeste ». Nous ne recuirons pas le chevreau dans le lait (l'enseignement, la production) du cycle antérieur.
« Rien ne sera plus comme avant » disent certains experts. Ils ont raison. Mais il faudra qu'ils s'appliquent à eux-mêmes cette sentence, et qu'ils pensent le nouveau, s'ils en sont capables, avec des critères débarrassés des scories de l'antériorité. Ils ne pourront prétendre parler dans le cycle nouveau, en affirmant la validité de ce qui a généré l'erreur. STOP au « péché d'Eve ». Le cycle nouveau ne veut pas de la croyance aux seules forces du « manifeste ». Nous ne recuirons pas le chevreau dans le lait (l'enseignement, la production) du cycle antérieur.
Le Maharal Rabbi Liwa, en visionnaire, a annoncé « l'éclosion
brutale et déchirante d'un bourgeon qui projette enfin à la lumière les
forces actives jusque là invisibles, accumulées durant la longue
période de la germination ».
Ce
temps nouveau sera aussi celui d'une acceptation des critères
initiatiques : la science, isolée dans son île, ne sera plus la seule
décisionnaire. Les politiques s'appuieront certes sur les indications
objectives de l'observation, mais considéreront que le véritable laboratoire c'est l'esprit, qui dévoile les lois de la vérité cachée derrière les apparences
(Paramahansa Yogananda). Il sera clair et admis de tous que ce monde
n'est que le rêve objective du Créateur. Les négations pathétiques
auront disparu. Et si elles survivent, nous saurons en rire.
Pour
l'instant, nous constatons (encore) l'opposition exacerbée de la Science à l'égard de tout ce qui ne procède pas de sa propre
méthodologie. C'est que la Science souffre d'une maladie congénitale : elle ne se prosterne devant rien. C'est pourquoi elle ne peut supporter son propre poids. (réf. Dostoïevski, Les Possédés, cité par Yogananda).
Fascisme
inquiétant dont on voit les effets, les contradictions, la science en
vient à condamner la part d'elle-même qui accepterait une certaine
souplesse procédurale, comme si l'orthodoxie de la méthode était le but
poursuivi et non la recherche. Aussi le bûcher (idéologique) dressé au prof.
Raoult est tout prêt d'être allumé.
Cet homme est bardé de diplômes. Ses détracteurs le sont également, à compétence égale, les diplômes des uns valant ceux des autres.
Mon regard sur le personnage aurait tendance à tenir compte de sa biographie car les travaux d'une personne ne peuvent être séparés de son être. Il est pour le moins atypique. Certains, à la vue de son « look » ont fait une analogie comique, mais sensée : ils ont reconnu en lui l'image caricaturée du célèbre druide Panoramix qui confectionne la « potion magique » de l'invincibilité dans la série Astérix. Or, pendant cette semaine de polémique — pour ou contre le prof. Raoult — l'auteur d'Astérix, M. Uderzo est décédé. Hasard ? Tout initié attentif remarquera que l'analogie entre le druide et le chercheur est survenue au moment de la disparition du père d'Astérix. L'un fait penser à l'autre par un automatisme de l'esprit. Concomitance, plan de cohérence temporel, synchronicité. La Vie veut-elle nous faire comprendre quelque chose ? Le prof. Raoult serait-il en possession de la « formule magique » ? Je l'espère, cela dût-il obliger les « experts » à manger leur chapeau et les labos à revoir leurs rêves de Royalties.
S'est-il
trompé, dévoré par le désir, bien légitime, de trouver à tout prix ?
Par la volonté de guérir ? L'espoir qu'il soulève vaut à lui seul
remède, là où les tristes nouvelles des décès quotidiens plombent le
moral. L'espérance qu'il suscite, peut-être infondée, est préférable aux
lamentables dissimulations et cachotteries (Ehpad, masques, tests etc…)
qui nous consternent.
En fidèle lecteur de Don Quichotte, toujours ouvert sur ma table de travail (à côté du volume de l'encyclopédie Bordas consacré aux virus), je n'ai pu m'empêcher, dans cette affaire de lutte pour la vérité, de regarder du côté de celui qui se dit précisément « Chevalier de la vérité ». Don Quichotte a pour ennemi mortel un tricheur qui se dit mandaté pour le ramener à la raison. C'est Samson Carasco. Grimé, déguisé (histoire de masque !), le doctissime diplômé invente quantité de subterfuges pour porter l'estocade au Quichotte. Il le défie en combat singulier, se faisant passer pour son égal, en se prétendant chevalier. Noblesse qu'il ne possède point, se recommandant d'une certaine dame de Vandalie qu'il espère imposer en lieu et place de Dulcinée. Bannissant la charmante dame de cœur du Quichotte, il entend introniser une forme de vandalisme intellectuel : rien ne vaut, selon lui, la raison raisonnante qui seule doit légiférer. Samson Carasco en bon scientifique, exerce son autorité en toute chose, sauf à réfléchir sur lui-même. Qui est la science pour imposer sa puissance ? La science, qui cherche en tous domaines, cherche-t-elle à connaître… son être ? Elle serait bien surprise, au regard de la Connaissance, d'apprendre qu'elle se situe sur la voie gauchère de l'évolution du savoir, et que ce n'est pas pas la meilleure, ne procédant que par l'inspection rationaliste linéaire, ignorant tout des cycles porteurs, du Temps, des lois archétypales, de l'énergie : sa définition même du vivant échoue face au défi que pose le virus. Mais n'allez pas le dire aux expertissimes de la science : ils ignorent qu'il existe un lieu meilleur que le leur, une connaissance qui dépasse la science, fondée sur une autre lecture du réel : la vision du monde que propose Don Quichotte découle de cette autre vision.
— Ouverture : qui est le virus ?
— Lecture initiatique du virus
— La solution systémique
— Le postillon contaminateur
— Covid19, pour aller au bout du sens
Je vais appliquer maintenant une procédure irrévérencieuse à l'orthodoxie du purisme scientifique. Je me range aux paroles d'Abraham Abulafia : « sans la kabbale, nous serions dans une situation pire que celle des Nations. » Qui sait si ma lecture n'agit pas dans le monde, s'agissant d'une prière adressée au Ciel ?
Il s'agit, en toute affaire de procéder au dénouement des sceaux noués, tout en restant soi-même et ne pas se laisser emporter. Voir de quoi le monde est fait et comment il se maintient : par la puissance du Verbe. Car tout "étant" se maintient et se manifeste par l'énergie des lettres divines scellées en lui. J'ai appliqué cette méthode pour identifier le Coronavirus : j'y ai décelé la Couronne, image du Modèle Absolu, la Tête. Kéther : la première séfirah désirant se faire Voir de tous.
Les lettres écrivent le flux continu du Verbe divin. Elles écrivent nos destins, nos noms.
Dominique Aubier précise : « Pour un initié, un événement se coagule toujours sur une donnée verbale. » (cf son livre Don Quichotte, la révélation messianique). J'ai appliqué ces méthodes de décryptage initiatiques ainsi que celle du Tzérouf, au nom du chercheur. Car « pratiquer le Tzérouf, c'est recourir au Code du système Alef et en appliquer les constantes pour atteindre, dans un vocable, le fond sémantique qui le raccorde au Verbe vibrant de la Création » (D. Aubier) Précision : « les noms propres n'ont de sens que par rapport à l'événement. En dehors du plateau où ils servent de "petits drapeaux" piqués sur certains détails, ils n'ont aucun pouvoir informationnels. Ils sont alors neutres et n'ont aucune raison d'être sondé, n'état pas magnifiés par la mise en acte… » Ici, justement, le nom du chercheur est au cœur de l'événement. Il est donc chargé de sens :
Je lis ainsi le nom en Droite et Gauche en pratiquant une césure. Je lis en langue française ce que dit le nom, et recomposant l'ordre des lettres, je cherche le sens en hébreu. Langue du sens immédiat, dévoilant la vérité de l'être. (cf : Le Principe du langage ou l'Alphabet hébraïque).
RAO / ULT : j'entends le mot RAO - ULT. En hébreu ORA, c'est la lumière. Et ULT semble appeler en français ULT-IME.
Ultime espoir de lumière ?
ULT écrit : TU - LU. C'est-à-dire : Tu (as) lu ?
Tu as lu quoi ? La lumière AOR.
J'espère
de tout cœur, et qui osera me le reprocher, que cet homme a
été traversé par l'inspiration divine et que son intuition soit juste,
vérifiable honnêtement par les confrères contrariés. Mais il ne faut pas être dupe. Il appartient lui aussi à l'entité scientifique et la Science n'est pas Connaissance.
Son nom cependant évoque la lumière. Je ne parle pas de la sienne, mais du signal que contient le nom de sa personne en vue médiatiquement qui, par son nom invite à voir et se souvenir que… dans la Torah, le mot AOR se trouve, la première fois, au verset de Genèse I-3. Après les Ténèbres. Dieu dit « Que la lumière soit ». Et la lumière fut. Yehi Or.
יהי אור
Lumière s'écrit : Alef, Vav, Resch.
Le système divin (Alef) ouvre le cycle (Vav) de la Tête (Modèle d'Absolu).
Valeur : 207. Même valeur que le mot désignant le Secret.
Le secret de la formule est bien là, dans la lumière, 23ième mot de la Torah. Ce qui renvoie à la 23ième lettre de l'Alphabet, lettre secrète de synthèse unifiant tout l'Alphabet.
Le vrai remède se trouverait-il là, dans la formule de la Lumière ? Dans un puissant retour vers les valeurs de la Connaissance ?
Et je le dis deux fois, comme l'indique son prénom Di-Di-er. Dis et redis.
PS : Je me demande si la lumière n'aurait pas un effet sur le virus…(Genèse I-3). Une thérapie par la lumière (mélatonine) ?
--------
Sciences ET Connaissance, union des Contraires :
Connaître l'Alphabet hébreu et ses secrets :
Série de films sur l'Alphabet hébreu :— Le Logiciel kabbalistique
— Le secret des Séphiroth
Catalina et la vérité dite depuis Tzarfat , Catalina qui repasse devant nos regards ébahis l'histoire de notre futur depuis Eve . L'histoire d'Eve dont on dirait une histoire qui se répète à cause d'un défaut d'adaptation à un moment "essentiel"de l'évolution , un moment comme inadapté à l'intelligence des acteurs de l'évolution , une sorte de palier insurmontable dans la compréhension de ce "quoi" dont nous sommes récipiendaires . Eve le modèle ? le parangon ? de ce que Lecomte du Nouy nous rappelle le nécessaire dépassement ? Sortir des mémoires de notre phylogénèse est apparemment encore trop difficile , pour toutes les cultures ou religions . S'en échappent qques "élus" ,ceux qui restent des balises dans nos spiritualités si boiteuses .Bip Bop Bip Boom . La question Raoult ne propose pas un Schaddaï . Elle rappelle à certains des espoirs qui ne sont pas dans le panier des courses ..au profit .Elle va de toutes façons générer des regrets ,des colères ? comme pour les masques qui vont peut-être dans le pire des cas devenir obligatoires . Politique de santé , ou santé de la politique ? Eve n'a pas trouvé la bonne réponse quand la question lui a été posée , et dans Génèse , n'était-ce pas la première fois qu'un(e) des deux acteurs de Gan Eden était appellé à faire un choix ? La lumière ne s'est pas faite en Eden , il a fallu beaucoup plus de temps pour que AOR se fasse en Esprit dans le battement du tambour du Bip.Bop.Bip.Bop ; l'horloge de l'évolution a son cadran , Cyclique . Hémisphère , Hémisphère ? est-ce que j'ai une gueule d'Hémisphère ? Eve , on t'aime .
RépondreSupprimerMagnifique article pour s'orienter dans une grande confusion et un océan d'ignorances. En particulier du côté des sciences sur ces briques virales minuscules.
RépondreSupprimerJe propose cette courte lecture pour toucher du doigt l'énormité de ce que nous ignorons sur les virus. A commencer par les océans et notre corps lui-même.
Un système qui fait obéir tous nos systèmes. Corona, en bon allié, nous donne la leçon.
Source : wikipédia
_______________________
Omniprésence des virus
On sait, depuis la fin du XXe siècle, que l'océan mondial est un immense réservoir de virus17, de la surface aux évents hydrothermaux18 en passant par l'Arctique et les sédiments marins19. Dans l'eau de mer, la concentration en particules virales est de 106 à 108 particules par millilitre20. En surface et près des rivages, les concentrations en virus habituellement rencontrées sont de l'ordre de 107 virus par millilitre (soit dix mille virus par millimètre cube (un millième de mililitre))17 ; la concentration décroissant avec la profondeur et la distance au rivage. Des concentrations plus élevées (108 à 109 / cm3) se rencontrent dans les sédiments marins proches de la surface17.
Ces virus jouent dans l'océan un rôle majeur dans le contrôle des blooms planctoniques, ainsi que dans les cycles biogéochimiques, en particulier dans le cycle du carbone océanique (quotidiennement environ 20 % des organismes constituant la biomasse microbienne océanique totale est tuée par des virus21 ; ces derniers s'attaquent massivement au phytoplancton22 et au zooplancton, mais aussi aux bactéries23 et cyanophycées24).
Grâce aux progrès de la cytométrie en flux et de l'analyse génétique (métagénomique notamment), en quelques décennies les chercheurs ont inventorié près de 200 000 types de populations virales en mer (en 2019, on en comptait 195 728 exactement, un chiffre douze fois plus élevé que celui de l'évaluation faite en 2016)25 ; 90 % des virus identifiés en mer entre 2016 et 2019 étaient jusqu'alors inconnus de la science. Remarque : on ne parle pas ici d'espèces mais de populations, au sein desquelles il y a plus de flux de gènes dans un groupe qu'entre groupes de virus (si les virus séquencés partagent au moins 95 % de leur ADN, alors ils sont classés dans une même population distincte des autres).
En 2007 on a estimé qu'il pourrait y avoir environ 1030 virus dans l'océan ; étirés et mis bout à bout, ils formeraient une ligne s'étendant au-delà des 60 galaxies les plus proches. Et chaque seconde il y aurait environ 1023 infections virales dans l'océan, jouant un rôle majeur dans l'évolution et l'entretien de la biodiversité marine. L'abondance virale semble liée à l'abondance et à la productivité en procaryotes, mais cette relation varie selon les environnements marins, notamment en fonction de la température21.
Virome
Le virome (en) est la composante virale d'un microbiome. Ainsi le virome humain (en) est l'ensemble des communautés virales du microbiote de l'organisme humain. La recherche actuelle estime que dans le corps humain il y a 100 fois plus de virus (1015) que de cellules humaines (1013)26. Chaque individu en bonne santé porte en moyenne plus de 10 types de virus responsables d'infections virales systémiques chroniques et asymptomatiques27.
_______ Fin de citation, bonne digestion ______________
Bonsoir Dominique,
RépondreSupprimerconcernant le Dr Raoult, Son patronyme comporte Ra, le Dieu égyptien créateur de l'univers, assimilé à la lumière solaire.
On peut également noter, que le conseil scientifique, né le 11 mars (dieu de la guerre pour reprendre l'expression du Président asséné six fois- la couche est pleine) comporte 11 membres. Didier Raoult (Ra out = La lumière dehors) s'en étant exclu.
Cordialement
Philippe
Qu'allons nous accepter de plus de cet illogisme de notre ère techno-scientiste ?
RépondreSupprimerOn aperçoit déjà , à travers les propositions de géo -localisation par smartphone ;
le visage de l'homme transhumaniste . Est ce ainsi que le Stop sera prononcé ?
Ne faut-il pas se questionner sur ces technologies qui vont envahir nos vies , et d'abord nos corps ? Une augmentation des perturbations électro-magnétiques ,la5G,et nos corps répondent par le signal simple : signal non compris ! attention ! danger !
traitement de la situation proposée : maladie , parce-qu'il n'y a pas d'autre alternative à la nature dont nous sommes naturés , pour ne pas être dé-naturés.
Et parfois la solution devient létale .
Quant Catalina dit : pêché de luxure , Adam & Eve ont mangé la commission !!!
Et merci à François-Marie dont l'article nous éclaire sur ce qu'il se passe dans la bio-masse microbienne océanique . Les océans sont malades aussi non ? et de plus en plus ? Assauts viraux dans l'eau et dans l'air ? Les signaux sont perturbés partout . Cette planète est devenue un immense micro-ondes qui agite dangereusement l'équilibre de l'ensemble des cellules qui la compose. C'est le créateur qui doit être alerté que son oeuvre est menacée d'un échec considérable .
Désolé, mais l'histoire d'une " néantisation de l'existant" n'est pas acceptable.
RépondreSupprimerLes atomes constituant chacune des cellules vivantes ne sont pas détruits par la mort.Ils s'intégrent à autre chose. Un autre cycle qui durera le temps qu'il doit durer avant de se disperser lui-même.
Ceci pour rester au niveau du matériel. Cervantès est en cendres depuis des siècles. Don Quichotte plus d'actualité ignorée que ce jour.
Néantiser n'est qu'un désir humain de destruction absolue de quelqu'un ignorant que tout fonctionne par cycles. Jean-Paul Sartre écrivit ainsi son manifeste personnel : l'être et le néant. Le bréviaire intellectuel de l'après-guerre qui a façonné des générations.
Pour qui ne comprend pas ce qu'est l'effet papillon, nous avons sous les yeux l'effet Covid 19 .
RépondreSupprimerNous avons bien en nous un virome, la partie la plus cachée de notre microbiote. Des interactions permanentes entre ces virus vivant en nous et le fonctionnement de tout notre corps ne peuvent plus être niés.
Il est donc mal vu de penser que tout virus est un envahisseur uniquement dangereux. L'union des contraires, Aubier nous en a dit la nécessité.
Mettons nous un masque devant le nez tant que nous voulons, mais pas devant les yeux. Tout, absolument tout est systémique. La "systémique médicale", mon dada, n'en est qu'un tout petite aspect.La recherche de la vérité dont se réclame ici DBR, c'est (pour moi) la traque de tous les systèmes qui nous concernent.
Ce vendredi 10 avril 2020, de mon confinement
RépondreSupprimerComme si ce blog était pris sérieusement en considération par l'Elysée, M.Macron a été voir le 9 avril à Marseille Didier Raoult. Trois heures d'entretien privé dont rien n'a été dit.
Dans la terre natale de Dominique Aubier, celle même où ont fleuri les grands kabbalistes juifs, avec ce médecin atypique dont le physique m'évoque celui de Don Quichotte comme je l'ai dit au téléphone à DBR.
J'attends la suite avec curiosité. Quelque chose de dimension planétaire ayant pris racine en Tzarfat. Cela parle ici.
La réalité le dira.
PS : Je crois beaucoup à l'importance pour déterminer ce que demain sera du fait des hommes des idées qui voyagent dans l'air du temps. Quelques uns ont le privilège de les capter, une minorité de les exprimer en mots et de tenter de les faire circuler.