Le Secret de Cham, fils maudit de Noah (Noé). Partie 2/3.
Par Dominique Blumenstihl-Roth
(La première partie de ce texte est ici)
Par Dominique Blumenstihl-Roth
(La première partie de ce texte est ici)
Réparer, restaurer l'édifice humain. 
Cham
 a fermé le Livre avant qu'il soit écrit, il a asséché l'encre dans 
l'encrier, interdisant que la quatrième page du livre de l'humanité 
s'écrive en la personne du 4è enfant de Noah, cette quatrième page — 
féminine — devait générer la descendance ultra-initiée totalement unie 
au projet divin de l'Union entre l'Homme et son Créateur.
L'acte
 de Cham a produit une brèche altérant la conduction de l'Echange entre 
l'En-haut et l'En-bas. Les humains, à cause de cette violence, n'ont pu trouver la Jérusalem céleste, et son lieu d'insertion sur terre. Il aura fallu attendre 
qu'Abraham réalise son acte de sortie, découvre enfin le Lieu, que Jacob à 
son tour, pose la tête sur la pierre d'où il eut la vision de l'Echelle 
le long de laquelle les anges informateurs montaient et descendaient les
 échelons — image symbolique de l'Echange rétabli entre l'En-bas et 
l'En-haut, pour reprendre les expressions zohariques.
Cet
 échange entre l'En-Bas terrestre et l'En-Haut doit encore être 
consolidé, sans relâche car les efforts exceptionnels des initiés et des
 patriarches ont certes ouvert la voie, mais celle-ci ne se renforce que
 par l'actualisation de nos propres engagements. Elle peut, à tout 
moment, se rompre à nouveau si une génération abandonne ou renonce. Il 
est nécessaire de produire, à chaque génération, la réflexion et les 
actes apportant l'éclaircissement et prise de conscience de l'enjeu.
C'est
 la raison pour laquelle je soutiens l'actualisation de la Connaissance 
réalisée par Dominique Aubier qui, sans amoindrir l'enseignement des 
stades antérieurs de la Tradition, ajoute en précision par les apports 
et découvertes qu'elle a pu faire, grâce à l'intercession de Don 
Quichotte et la mise au clair actualisée du Code des archétypes.
Elle
 a donc pleinement agi sur le cycle civilisateur en le dotant d'un outil
 nouveau de compréhension grâce à quoi nous pouvons progresser vers une 
humanité plus complète, n'en déplaise à Cham et autres Amaleq.
Noé
 fut rendu impuissant par Cham : Noé s'écrit Noun / Het. Nous retrouvons
 dans son nom la lettre ayant pour valeur 8, rappelant qu'il n'y eut, au
 moment du crime, que 8 personnes survivantes au Déluge, et que Cham 
blessa son père détruisant en lui l'homme Noun, tenu sur ses deux 
piliers (Het) : le cerveau et ses deux hémisphères. Noah devait être 
l'homme complet, mais l'achèvement est altéré par l'exaction de son 
troisième fils qui s'est imposé en dernier, alors qu'un quatrième 
enfant, post-diluvien, était prévu.
Le Noun n'est pas parvenu à former l'homme entier et le Het demeure incertain. Cham a en quelque sorte rogné l'un des piliers du Het pour en refaire un Hé,
 situé bien en-deçà dans l'édifice en position 5, renvoyant l'énergie en
 arrière, dans des phases d'antériorité dépassées par le temps mais dont
 il voulait maintenir la pré-éminence.
Il a fait de Noah (Noun Het 58) un Noah (Noun Hé 55).
C'est
 une régression qui resurgira au moment du Veau d'or. Quand Moïse revint
 du Sinaï, il vit le peuple s'adonnant à la régression idolâtrique, 
niant tous les apports de la délivrance pourtant vécue. Moïse prit la 
décision immédiate d'écarter les coupables qui 
auraient renvoyé Israël vers l'esclavage.
La
 sortie d'Egypte est avant tout une sortie de l'humanité hors de 
l'obscurité esclavagiste, corrélée au projet divin d'élever l'Homme vers
 des sommets de conscience. La dégradation humaine du Veau d'Or est à 
mon sens liée à la résurgence mémorielle de l'acte de Cham : dans les 
deux cas, l'infraction surgit juste après la salvation, au tout début 
d'un nouveau cycle. Comme si, chaque fois qu'un cycle se renouvelle, le 
danger de la rechute se présente, prêt à engloutir qui se croyait sauvé.
De
 même Amaleq se présente après que les hébreux aient échappé à Pharaon 
et traversé la Mer, de même Cham se précipite sur Noé, inspiré de la 
même intention castratrice qu'Amaleq et usant des mêmes procédés 
sexuels. L'Eternel avait demandé l'extermination d'Amaleq… Moïse mène 
une lutte sans merci ; Noé, quant à lui, maudit les générations futures 
de Cham : il les condamne, la malédiction prononcée valant acte. 
La portée de l'acte de Cham :
La portée de l'acte de Cham :
— Il a blessé la Neschama humaine ;
— Il a bloqué le processus libératoire post-diluvien ;
— Il a empêché l'émergence du Sod en bloquant l'évolution sur un site inaccompli en Niveau3 ;
— Il a empêché l'accomplissement du projet de Noah qui concernait tout l'humanité.
— Il a entravé la transmission, la descente du cycle en Malkhout.
« C'est
 par la Parole divine que l'univers a émergé à l'existence et il semble 
légitime d'affirmer que la Création est en premier lieu un phénomène de 
caractère linguistique » écrit Benjamin Gross dans son introduction à L'âme de la vie, (Hayyim de Volozhyn, page LXVII). « Les
 lettres de l'Alphabet hébreu sont simultanément l'origine du langage et
 de l'être… C'est à partir de la lettre même que se dégage la 
signification des choses, sans que l'on doive recourir à la médiation de
 l'interprétation allégorique. » Or Cham, troisième fils, occupe, 
par analogie, la situation de l'allégorie dans le processus du Pardès. 
Son crime a donc figé le processus mental sur la phase 
symbolique-allégorique, en n'acceptant pas l'ouverture vers la 4è phase 
où le langage s'exprime en corrélation directe avec le signifié. En tant
 que troisième niveau de progression, incarné par les formes 
interprétatives allégoriques, le Dalet
 de la formule Pardès ne peut être autre chose qu'un lieu de passage, 
une porte donnant sur le niveau suivant. Hélas, une porte peut également
 rester fermée, clore l'espace sur l'acquis, interdire la transmission. 
Cham a claqué la porte, prétendant rester le dernier fils de la 
Connaissance, ne tolérant pas qu'il existe un lieu qui puisse le 
surplomber. La présence du niveau supérieur est confirmée par une autre 
Tradition prestigieuse : la Baghavad, grand texte de la tradition 
hindoue, dit au héros Arjuna qu'il existe « un lieu meilleur que le tien »,
 c'est-à-dire qu'au-delà du texte littéral, de son symbolisme dont elle 
est un chef d'œuvre universel, il existe un lieu de lecture, un niveau «
 meilleur » qui permettrait de la comprendre du haut d'un belvédère 
qu'il convient de gravir.
Cham
 est le négateur de ce niveau : il sait qu'il existe, il en connaît la 
puissance. C'est pour en interdire l'émergence — l'érection — qu'il 
castre (ou viole) son père.
Volozhyn écrit : la Torah « constitue par elle-même le lieu privilégié de la signification », c'est-à-dire qu'elle est, à l'instar de la nature,  « la manifestation de Dieu en dehors de lui-même… »  Il a raison. La
 Torah est le lieu de la signification, à condition que je sache la lire
 au-delà de l'immédiateté littérale et que j'accepte que la réalité du 
monde suinte des Lettres données. C'est précisément ce que Cham a décidé
 de brimer. Mais il
est à notre portée de réparer et d'inscrire des paroles nouvelles qui 
neutralisent les effets du viol et donnent la chance à
 Yesod de féconder Malkhout.
La psychanalyse a démontré les liens existant entre le sexe et la parole. Le beau film Indien Dil Se
 (de tout cœur), de Mani Ratnam met en scène cette dialectique où l'on 
voit un journaliste radio (la parole) tenter de sauver une jeune femme 
dont la parole et l'esprit ont été altérés par un viol. Cette œuvre cinématographique ne se contente 
pas de relater une pathologie, mais elle indique le remède pour en venir
 à bout. Le titre est évocateur, car on voit le héros s'engager de tout 
son cœur pour libérer la Parole. Ce film participe en ce sens au Tiqoun —
 à condition que l'on en fasse l'exégèse. Car le commentaire doit être 
libérateur de ce qui, sans lui, demeurerait figé dans l'image. 
Il convient d'anéantir le basalte dans lequel Cham a vitrifié le processus évolutif en le violant / castrant : l'exégèse est en toute chose obligatoire, le Sod (le secret) ne doit en aucun cas subir le frein qu'une puissance d'antériorité voudrait infliger à sa délivrance.
Il convient d'anéantir le basalte dans lequel Cham a vitrifié le processus évolutif en le violant / castrant : l'exégèse est en toute chose obligatoire, le Sod (le secret) ne doit en aucun cas subir le frein qu'une puissance d'antériorité voudrait infliger à sa délivrance.
Ainsi, dans Don Quichotte, la
 lettre adressée à Dulcinée, certes retardée un instant car écrite 
provisoirement dans un carnet, sera connue d'elle, et nul ne pourra 
s'opposer à sa livraison. De même le culte du secret, longtemps pratiqué
 par les Traditions a-t-il 
touché à sa fin, et le secret des secrets
 se donne, n'étant plus assujetti à un ordre de rétention. Le 
secret ne s'appartient qu'à lui-même, et à nous dès lors que nous le 
connaissons. Je récuse les postures chamiques qui voudraient oblitérer 
la délivrance de la Connaissance sous prétexte de secret. Nous sommes en analogie avec la situation 
post-diluvienne, ou le renouveau est possible, obligatoire, par une 
nouvelle naissance de la pensée éclairée : le troisième fils appartient 
au cycle précédent et ne peut légiférer dans le domaine 
du Sod. Nous en sommes au Messianisme, que diable ! 
Pour ceux qui désirent plonger dans le Texte.
Pour ceux qui désirent plonger dans le Texte.
L'expression « Cham père de Canaan »
 est répétée : double indice (Genèse IX-18 et IX-22) le fait d'être père de Canaan en 
dit long sur Cham. 
Noé,
 après le Déluge, est « d'abord cultivateur ». Serait-il comme Caïn ? 
J'entends le mot « D'abord » dans le sens « prioritairement ». Il 
commence par cultiver et plante une vigne. Il en boit le vin et s'adonne
 à la boisson. Il ne semble rien faire d'autre de bien intéressant, en 
tout cas, ce n'est pas indiqué.
«… Ce que son plus jeune fils avait fait…
 » J'ose risquer une lecture personnelle que je n'ai pas trouvée (pour l'instant) dans les commentaires traditionnels : on est surpris d'apprendre que Cham est le plus jeune fils, donc le 
troisième de Noé, car lors des énumérations, il est toujours
 présenté en deuxième position : « Les fils de Noé qui sortirent de l'Arche furent Sem, Cham et Japhet » (Genèse IX-18) ou « voici la descendance des fils de Noé, Sem, Cham et Japhet »
 (Genèse X-1). Cham est toujours au milieu, entouré de ses frères qui le
 cernent l'un par la droite, l'autre par la gauche. Il échappe une seule
 fois à leur surveillance, quand il se rend tout seul dans la tente où 
dort le père. Laissé à lui même, il commet son acte, ce dont il se 
vante ensuite auprès de ses frères. Se vante-t-il de leur avoir échappé 
et d'avoir profité de cet instant pour commettre l'exaction ? La 
psychiatrie reconnaîtrait sans doute en Cham un dangereux psychopathe ; 
son état mental n'aura pas été ignoré de Noé et de ses frères 
qui semblent l'encadrer. Ose-t-on imaginer l'ambiance à bord de 
l'Arche, sur quoi la Torah reste silencieuse, nous laissant y réfléchir 
par nous même ? La vie sur un esquif, en compagnie d'un détraqué…
Les frères Japhet et Sem, consternés d'avoir été bernés par Cham, recouvriront ensemble le corps de leur père — sans le regarder.
A
 son réveil, Noé maudira Cham et vouera sa 4è descendance sous l'autorité de ses frères : donc à la surveillance étroite des 
descendants de Sem et Japhet devant encadrer Canaan sans lui laisser le 
moindre espace ouvert afin d'empêcher la répétition du drame.
L'ordre
 normal du Texte aurait voulu que Cham soit cité en troisième position 
dans la mesure où il est le troisième fils, le plus jeune. Mais on 
s'aperçoit que si, au verset X-1 l'ordre indique Sem-Cham-Japhet, le 
déroulé de leurs générations commence par indiquer d'abord celle de 
Japhet, puis Cham (toujours au milieu) et enfin Sem. C'est-à-dire que la
 génération de Sem est considérée comme la dernière, donc la plus jeune,
 la plus apte à évoluer vers le niveau suivant. C'est donc à elle qu'il 
incombe de conduire le projet vers le 4è niveau. Tout reposera sur les 
efforts fournis par la génération de Sem (sémitique) qui devra suppléer à
 la carence du bourgeon castré.
De
 Sem descendent plusieurs personnages dont la Torah n'indique que les 
noms : simples transmetteurs biologiques, jusqu'à ce que survienne Abram
 dont l'épopée commence avec le chapitre III de Genèse, intitulé « Lekh Lekha
 ». La saga abrahamique intervient après la castration de Noé ; il 
recevra ce qui aurait sans doute dû revenir à la descendance quatrième 
anéantie par Cham. Abram découvre et comprend la révélation de la lettre
 Hé qui s'ajoute à son nom, lettre par laquelle il devient AbraHam. Ce Hé, n'est à mon sens autre que le Het de Noé redescendu en Hé. A partir de ce Hé, AbraHam reconstruit le projet de l'Alliance, avec son épouse Sarah, recevant elle aussi le Hé
 dans son nom : leur couple, malgré leur âge avancé sera fertile et 
pourra engendrer la nouvelle génération, celle des prophètes d'Israël 
initiés par Isaac. Ils œuvreront à consolider la voie nouvelle, fondée 
sur le bourgeon sémitique de la Réception et de la Transmission devant 
être également donnée à la descendance de Japhet — la voix de l'Occident
 — car c'est ensemble et associés que Sem et Japhet recouvrirent Noé.
PS :
La lecture que j'ai faite de la lettre Het
 altérée par Cham sur la personne (Noun) de Noé n'apparaît pas dans les 
textes talmudiques que j'ai consultés. Quelque kabbaliste en aurait 
traité ? Il est impossible que Rachi, le plus grand des commentaristes 
bibliques ne l'ai pas remarqué ni que le Maharal de Prague ne s'en soit 
pas aperçu. Simplement, tous deux étaient soumis à la règle du silence sur certains points, aussi longtemps que le partenaire d'en-face ne suscitait pas l'ouverture. Le temps des secrets est révolu, et n'étant point tenu 
comme le furent ces grands maîtres par la doctrine de la dissimulation, 
il m'est permis d'exposer ce qui jusque-là était recouvert du voile. Je 
ne brise en cela aucun interdit, bien au contraire, je participe en cela
 au « tiqoun
 » de la réparation en apportant ma contribution à l'exégèse nécessaire 
du monde. Ma démarche est clairement post-talmudique. Post-kabbalique. 
Quichottienne, certainement, ouvrant sur l'apport exégétique du Sod, en droite ligne de la démarche de mon Maître.
Qu'Abraham soit le grand héros du Hé est une chose bien connue de la tradition, mais il est moins connu (et admis) qu'il puisse s'agir du Hé
(5) issu de la rétrogradation imposée à Noé en qui le Het (8) fut castré-coupé 
pour redescendre en Hé. Le redépart abrahamique redonne vigueur — une 
sur-vigueur à la quatrième branche du Schin (le Schin des Téfilins à 4 
branches) dont on voit, dans son graphisme, qu'elle est un surgeon issu 
de la troisième branche et non pas du socle commun (Noé). La 4è branche 
du Schin a été coupée de son socle, elle naît alors en suppléance 
greffée sur la troisième : Sem, dans ce cycle, est la troisième branche,
 et par substitution à l'enfant non-né, il accomplit aussi le travail de la 
quatrième branche. Cela se concrétise par l'engagement des générations 
issues d'Abraham et Sarah qui reconstruisent, à partir du Hé, l'édifice 
sur ses piliers gauche et droite (le Het de Noah restitué) dont naîtra 
Isaac. Son rire effacera le ricanement de Cham.
Etant
 un disciple du Maître-exégète qui a actualisé la Connaissance au 
maximum des possibilités actuelles, je me situe sur 
cette quatrième branche du Schin sur laquelle doit fleurir l'humanité 
conformément au plan initial. J'invite les Lecteurs à cette avancée en 4è niveau. On appelle cela « les temps messianiques »…
La suite de cette étude pour entrer au cœur du Texte :
3è partie de l'étude le Secret de Cham, le fils maudit de Noah.
Tous les livres de mon Maître.
Tous les films
La suite de cette étude pour entrer au cœur du Texte :
3è partie de l'étude le Secret de Cham, le fils maudit de Noah.
Tous les livres de mon Maître.
Tous les films
Une très belle avancée qui va nous redonner pas mal grain à moudre ! Perception très cohérente de Dominique B. ROTH avec la révélation lente et progressive des secrets de l'alphabet hébreu qui s'opère pour moi, en tant que lecteur de Dominique Aubier.
RépondreSupprimerAvez vous remarquez cette répétition du 23 ? Diffusion, date et heure du 1er commentaire. Hier, j'avais un Rdv de contrôle médical qui m'a fait prendre l'ascenseur 23 !
RépondreSupprimerDu coup, je me suis replongée dans la 23 lettre... puis dans le principe du langage... Avec la lettre Vav, l'inévitable évolutive...
Patricia
La donnée fondamentale appelée page" l'inoubliable" 141 de "la puissance de Voir", ainsi que dans les annexes de la 23e lettre. Ça m'a interpellée. Patricia
RépondreSupprimerAvez vous vu la comète Neowise ?
RépondreSupprimerElle me donne l'impression d'être un signe du cosmos qui semble poser sur la terre l'énergie de ces nouveaux temps.
Hazak!
RépondreSupprimerRachel.
Bonjour,
RépondreSupprimerBien que j'ai lu la face cachée du cerveau de Dominique Aubier et que je pense comprendre certaines choses, d'autres sont assez compliquées et donc peu accessibles pour tout le monde. J'ai donc des questions et je remercie Dominique pour la réponse qu'il acceptera de donner : les explications ne peuvent elles pas être plus simples pour être plus accessibles ? Comment sait-on que Noé a été violé ou castré (les conséquences ne sont pas les mêmes) ? Et quels mots hébreux ont été traduits par "voir sa nudité " ? Merci
Cher Dominique,
RépondreSupprimerJ'aime toujours autant vous lire; vos analyses basées sur la maîtrise des archétypes au sein du principe d'unité sont si souvent d'un redoutable éclairement. A quand l'édition de votre prochain livre ?
De ce que j'observe de l'actualité en train d'advenir dans ma vie et à laquelle donc je participe (à ma mesure) : Biodynamiseur botanique, meta systeme de type blockchain... je puis vous dire que le 4ème niveau d'organisation et la dimension messianique qui va avec sont déjà sacrément présents et à l'oeuvre en dépit des résistances. Quelle formidable apport que la naissance de cette 4ème branche du Schin dans notre culture; ou devrais-je dire : dans notre civilisation de l'Universel !
Bien à vous, et merci
Rémi