Le livre "Mein Kampf" d'Adolf Hitler est désormais dans le domaine public. Jusque là, les très rares éditions (réalisées par des éditeurs néo-fascisants) généraient des droits d'auteurs qui étaient reversés à l'Etat de Bavière, le dictateur n'ayant pas eu de descendants ni d'héritiers.
Mais profitant de ce que le lamentable ouvrage d'Adolf soit maintenant dans le domaine public, les éditions Fayard, bavant devant la perspective d'emporter un marché hélas toujours porteur, se sont jetées sur l'opportunité et en organisent la réédition. Une opération financière juteuse en perspective ? Pas si sûr, car l'abominable ouvrage n'aura pas le succès attendu. En effet de nombreux libraires, conscients du danger, réagissent et refusent de mettre en vente le torchon.
Mais profitant de ce que le lamentable ouvrage d'Adolf soit maintenant dans le domaine public, les éditions Fayard, bavant devant la perspective d'emporter un marché hélas toujours porteur, se sont jetées sur l'opportunité et en organisent la réédition. Une opération financière juteuse en perspective ? Pas si sûr, car l'abominable ouvrage n'aura pas le succès attendu. En effet de nombreux libraires, conscients du danger, réagissent et refusent de mettre en vente le torchon.
On remarquera que le "retour" de l'idéologie nazie est à l'ordre du jour, jusque dans l'enceinte du Parlement Européen où deux députés avaient ponctué leurs discours par le salut nazi, ce qui leur a valu une condamnation en justice et une forte amende.
Le phénomène est intéressant à observer. Retour de l'idéologie meurtrière, tandis qu'en face, l'épée de Don Quichotte, trempée dans les sources hébraïques, affirme haut et fort la victoire de l'esprit.
L'initiative des éditions Fayard s'inscrit dans ce "retour" idéologique.
Quelque soient leurs prétendues "bonnes intentions pédagogiques, scientifiques, historiques", le livre d'Hitler a sa propre force démoniaque pour s'insinuer dans les esprits et pour se jouer de toutes les précautions de l'on voudrait prendre. Ni la psychologie, ni la psychiatrie n'ont élucidé son énigme.
Pour bloquer le livre d'Hitler, il n'y a qu'une solution, c'est qu'à son opposé, on parle d'un ouvrage qui constitue une puissante REPONSE à HITLER. C'est précisément sous ce titre que Dominique Aubier a présenté une remarquable mise au point réduisant à néant l'idéologie nazie.
Quelque soient leurs prétendues "bonnes intentions pédagogiques, scientifiques, historiques", le livre d'Hitler a sa propre force démoniaque pour s'insinuer dans les esprits et pour se jouer de toutes les précautions de l'on voudrait prendre. Ni la psychologie, ni la psychiatrie n'ont élucidé son énigme.
Pour bloquer le livre d'Hitler, il n'y a qu'une solution, c'est qu'à son opposé, on parle d'un ouvrage qui constitue une puissante REPONSE à HITLER. C'est précisément sous ce titre que Dominique Aubier a présenté une remarquable mise au point réduisant à néant l'idéologie nazie.
Dans son livre, Dominique
Aubier, en réponse à la solution finale (Endlösung) réaffirme les
valeurs du judaïsme et plonge dans son histoire profonde. Elle remonte
au sens de la mission abrahamique, telle qu'elle s'exprime au travers
des ritualisations auxquelles le peuple juif est resté fidèle au cours
des millénaires.
Auteur
de plusieurs ouvrages de référence sur le judaïsme (Le principe du langage ou l'alphabet hébraïque) Dominique Aubier réaffirme ce que
d'aucuns voudraient nier : le sens de la mission juive. Cette
mission qui est au coeur même de la vocation d'Israël justifiant son
irrévocable existence.
L'auteur
aborde ici la circoncision. Jusqu'à ce
jour, le mystère de la circoncision n'avait pas été élucidé. Et
l'ethnologie ne s'est guère penchée sur cet acte rituel qui embrasse un
sens métaphysique insoupçonné. Tout homme qui en est porteur n'est-il
pas appelé à s'emparer du sens de l'acte abrahamique dont il porte la
trace sur son corps ?
Dominique
Aubier en explicite la symbolique, en dégage la signification et décode le sens des opérations dont chaque élément revêt une
signification précise. La performance est belle, que découvrir et offrir
au Lecteur la valeur et la portée exacte de cet acte par lequel
l'individu se voit accorder sa première noblesse au sein de la
tradition du verbe. Est-ce justement le Verbe que le nazisme désirait éradiquer ?
Les Nazis ont perdu la guerre… Mais la guerre est-elle terminée ?
Le livre de Dominique Aubier non seulement répond à Hitler, mais avance une élégante et puissante proposition civilisationnelle, où triomphent l'amour et la vie.
par Dominique Aubier
éditions Qorban