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lundi 23 juillet 2018

Commentaire kabbalistique sur le Péché d'Eve (Hava) 1.

Commentaire sur le Péché d'Eve (Hava). (1/1)

Par D. Blumenstihl-Roth

Il m'est arrivé, dans des blogs précédents, d'observer combien certaines approches du texte biblique souffraient d'être séduisantes au détriment de l'exactitude. Pour ce qui me concerne, je m'en tiens à la technique des kabbalistes, pour qui la Torah est un texte rigoureux, codé, crypté et dont il convient de libérer le sens au plus près des Lettres. Je m'en tiens aussi à une connaissance du Code initiatique fondée sur un Code établi, une grille de lecture applicable non seulement aux textes, mais aussi à la vie, nos propres vies.
 
Je propose aujourd'hui une mise au point documentée sur Eve (Hava). Ce sera un peu long. Je vous remercie de votre patience. Je la présente en deux parties dont la deuxième sera publiées dans un blog ultérieur.

1. Une lecture démocratique de Genèse.
En ces temps démocratiques salutaires et bénis où tout le monde a raison, chacun a le droit d'avancer sa propre lecture de la Torah, quitte à inventer une interprétation personnelle. Dans cette égalité où toutes les expertises se valent, l'étude d' Ève que présente tel auteur est certainement brillante selon qui Ève serait synonyme de vivante et la « mère des Vivants » parce que son nom évoquerait la vie. Ce raisonnement est généreux d'associer Ève (Hava) aux forces de la vie. La formule est répétée, reprise de livre en livre et finit par prendre la force de la chose admise. Nombre de lecteurs s'en sont convaincus et plusieurs auteurs ont repris la thèse avec conviction. Cependant, aucun kabbaliste sérieux n'appuiera cette lecture. Elle souffre en effet d'une erreur de parallaxe.
Une mise au point s'impose, au sens ophtalmologique de l'expression : régler correctement la focale et regarder de près comment s'écrit Ève en hébreu. Hava.
Son nom s'écrit Het, Vav, Hé.

חוה

Son nom n'étant significatif qu'en hébreu, il n'incrimine en rien les femmes s'appelant Ève. Je pense que si ce beau prénom est de nos jours porté par quantité de femmes, c'est justement dans un esprit positif visant à réparer l'erreur de Hava. Pour rassurer les femmes s'appelant « Ève » je dirais que leur prénom intègre justement la lettre manquante de Hava. Le prénom moderne d'Ève correspond à mon sens au projet réparateur de l'humanité que Hava a raté.

Mon Maître m'a expliqué :
en hébreu la Vie s'écrit avec un YOD, lettre de l'énergie.
 חיוה
Or Hava, dont le nom procède bien de la racine évoquant la vie, ne possède pas ce YOD. C'est qu'elle en est privée. Elle a bien commis l'erreur fatale. C'est de l'erreur qu'elle tire son nom, privé de Yod. Et comme elle ne possède pas de Yod dans son nom, elle ne possède pas l'énergie vitale alors même que son nom dérive du verbe « vivre ».
« Hava » est en cause pour avoir induit l'humanité dans une voie erronée. Il est donc impossible qu'elle soit en analogie avec les forces de vie, car elle est celle qui les a niées.

Certes, il est écrit dans la Torah ( Genèse 3-20) : « L'homme donna pour nom à sa compagne "Hava" parce qu'elle fut la mère de tous les vivants. » Mais ce nom apparaît après qu'il y eut le « péché ». Avant cela, elle s'appelait "Isha" (Genèse 2-23).
Isha (femme) s'écrit Aleph, Schin, Hé. « Celle-ci sera nommée Isha » dit l'homme -Adam à Genèse 2-23 tandis que Hava est appelée « sa femme » et ce nom Hava lui est donné par l'homme tel que le précise le verset : « L'homme donna pour nom à sa compagne "Hava"… » (Genèse 3-20). Dans le premier cas, c'est l'homme qui parle et Isha reçoit ce nom dans une phrase passive au futur (elle sera nommée…). Dans le second cas, l'homme donna pour nom Hava, le narrateur conte l'événement au passé. Hava porte sur elle le passé de l'erreur.
Après la faute, Isha n'est pas égale à Hava. L'une, Isha, est l'archétype de la donneuse de vie possédant l'Aleph. L'autre, Hava, « sa » femme (celle d'Adam) appartient à un tout autre registre. Elle n'a pas repris à son compte l'Aleph (1) sous la forme du Yod (10). Cependant, un bel espoir subsiste, car elle sera nommée Isha et ce verbe au futur n'est pas aboli par l'erreur. Ce futur n'est pas fixé dans une limite de temps et peut donc atteindre notre présent. Si l'erreur de Hava est corrigée, aussitôt Isha retrouve son nom.

3. Isha s'écrit ainsi :
אשה
Isha possède l'Aleph en initiale, lettre désignant le système d'Absolu. Suivie du Schin : le Verbe. Suivi du Hé, avec ses deux piliers en gauche et droite, structure ouverte à l'avenir à l'endroit où la lettre présente un espace d'ouverture en haut à gauche. Le Zohar ajoute que « Isha signifie que Dieu a uni le feu (Esch) et le Hé », principe féminin. (Zohar I, 48b, vol I. éditions Maisonneuve, trad. Jean de Pauly). Isha est à mon sens l'archétype même de la vie, recevant l'information Aleph, la déployant sur les niveaux d'organisation Schin et projetant l'énergie, après les échange latéraux en Gauche et Droite, vers le futur (ouverture de la lettre Hé).
Sa valeur numérique est 1 + 300 + 5 = 306.
Tandis que Hava s'écrit ainsi : Het Vav Hé.
חוה
Je reprends le nom de Hava en police Times afin que l'on observe bien le tracé des lettres.
Hava, qui aurait dû récupérer l'énergie de l'Aleph après le Hé de Isha, ferme ce Hé et le transforme en Het. L'énergie de l'ALEPH (issue de Isha) n'y est pas reprise. Il aurait fallu qu'on retrouve soit un YOD (10) en reprise développée de l'Aleph (1) ou un Aleph répété. À la place on trouve une absence instillée par l'erreur, une vacuité qui glisse sur la plate-forme supérieure couvrant le Het (première lettre), elle monte le long du petit appendice terminal à gauche. Elle monte et ouvre un nouveau cycle Vav (deuxième lettre). 
Ce cycle ouvert par HAVA est enrichi de l'erreur construisant à son tour une structure Hé en Gauche et Droite. Mais sans l'énergie de l'Aleph. Où est-il passé ? Hava a pour valeur numérique 19. C'est la même valeur que le mot « union » (ihoud). À ceci près que le mot ihoud possède justement ce qui manque à Hava , c'est-à-dire un bel Aleph en initiale (Aleph, Het, Vav, Dalet). Les mots sont à rapprocher, et leur différence est à observer.
L'union ne peut se réaliser que par le Système Aleph soutenant une structure duelle où Gauche et Droite (Hé)  s'unissent, pour commencer un cycle (Vav) ouvert (Dalet). Hava n'a rien fait de tout cela, ayant méprisé l'Aleph et ignoré les lois de l'énergie.
Peut-être existe-t-il une possibilité de corriger le cycle qu'elle a ouvert ? C'est faisable, à condition que l'erreur soit bien identifiée et que l'énergie correctrice y soit inoculée. De nombreux correcteurs y ont travaillé, de Moïse à Rabbi Aqiba, Jésus, Bouddah et sans doute d'autres grands initiés de traditions non moins dignes d'intérêt.

4. Dans le nom de Hava, il faut remarquer l'absence de tout Aleph et de Yod. Les forces de vie n'y sont pas.
Dès lors, si Hava est appelée par l'homme « mère de tous les vivants » dans la Torah, c'est tout juste après que l'erreur fut commise. Elle tire son nom de l'erreur : le texte est sans ambiguïté : « elle fut appelée » (par qui ? par l'homme et non par Dieu), sous-entendu : elle reçut ce nom-là, bien que ce n'était pas le sien. C'est donc une sorte de surnom lié à son acte. Hava est une appellation distincte de Isha, ne désignant pas la mère des forces de vie, mais la génitrice de ceux qui vivent là, les vivants dans le cycle ouvert par la faute. Il faut entendre l'expression « tous les vivants » dans le sens de « tous ceux qui vivent là, à ce moment-ci du cycle. » Hava est la mère de tous les vivants de ce cycle qu'elle a induit en erreur où règneront les options prônées par le Serpent. Mais en aucun cas, elle n'est associée aux forces de la Vie dont elle est la négation.

Rachi, le grand exégète médiéval (né à Troyes en 1040) écrit, dans son commentaire sur le Pentateuque (vol 1 p. 18, éd. Comptoir du livre du Keren Hasefer 1957)  que « le nom de Hava vient du verbe vivre  ( חיה ) ». Je rejoins son avis éclairé. Car s'il dit que Hava vient du verbe vivre cela ne signifie pas que Hava soit elle-même la vivante. Avec le subtil Rachi, il convient de redoubler d'attention car il n'utilise jamais un mot par hasard. Il est dans sa technique de lancer une phrase à l'adresse du Lecteur, lui laissant le soin de chercher par lui-même une suite qu'il s'interdit d'expliciter. Comme il se doute que nous ne trouverons pas aisément, il ajoute ces mots brefs : « parce qu'elle donne la vie à ses enfants ». Voilà une réponse lapidaire. Faut-il entendre qu'elle est Hava, en tant qu'être biologique donnant vie à ses enfants, sans plus ? Qu'elle met au monde sa descendance qui vivra dans un cycle civilisateur entaché par son erreur ?
Rachi nous invite (sans rien en dire) à regarder la différence fondamentale entre les deux termes hébreux écrivant d'une part Vivre, et Hava d'autre part.
À nous de voir clair dans ce non-dit. J'ignore si les commentateurs de Rachi ont fait la distinction, car il est difficile de lire les sous-entendus d'un initié qui s'interdit d'en dire davantage, estimant avoir déjà franchi la limite de ce qui pouvait être révélé en son temps.

Dominique Aubier a observé que si vivre s'écrit bien avec un Yod, le nom de Hava n'en possède aucun. Son nom se voit précisément privé de ce qui caractérise l'énergie et la vie. Hava est donc celle… qui n'en a pas et ce qu'elle engendre, ce sont des cycles pénalisés par cette absence. Ce qui expliquerait pourquoi Rachi, dans sa technique du non-explicite, établit un lien peu évident à première vue entre Hava et le mot « être », « devenir » (היה) en citant Eccl. 11,22 : « qu'advient-il à l'homme ». Ce rapprochement devient intelligible après que l'on ait bien saisi la leçon touchant les lettres : en effet, qu'advient-il à l'homme (sous-entendu : après Hava) : autrement dit, comment l'homme peut-il vivre, si le verbe vivre, dans ce cycle, se trouve dépourvu de Yod ?
Oui, qu'advient-il à l'homme s'il se prive de l'énergie Yod, s'il s'enfonce dans le devenir non soutenu par les forces du verbe ou du mensonge ?

La suite de cet article est publiée ici : Hava et le Serpent

Le Yod en action dans le Cœur… Qu'est-ce que le Cœur ?

Pour les personnes s'inspirant de ces écrits, il est indispensable de citer les sources. Lire les articles c'est bien. Participer au maintien du Blog et des éditions : c'est juste. Merci de Votre soutien ici.

lundi 16 juillet 2018

La Coupe du Monde de football et son sens. Décryptage

Le sens de la victoire à la Coupe du Monde de Football

Ça y est, la France est championne du monde de football.
Nos joueurs sont-ils les meilleurs du monde, en tout cas, l'énergie les a portés… Quelle énergie qui semble habiter leurs personnes ?
Bravo et félicitations à l'équipe… Et joignons-nous de tout cœur à la grande fête.



Le sens de la victoire à la Coupe du Monde
Au delà de la grande fête et la joie éprouvée, cela a-t-il un sens ? 
Si j'en crois certains commentateurs, tout cela ne devrait rester qu'au niveau sportif, au mieux économique…  Selon eux, il ne faut pas que cette victoire sorte du strict domaine de la performance sportive. Ce sont là des points de vue littéralistes et matérialistes qui visent à saper la joie. Je déteste cette forme d'esprit négateur qui refuse toute lecture des symboles. Ils nient même la possibilité qu'un événement puisse être symbolique et représenter autre chose que lui-même.

Cette victoire doit être décryptée. Son sens doit être dégagé. Pour en augmenter la joie…
Cette coupe du Monde, comme celle de 1998, doit faire l'objet d'une lecture du symbole qu'elle revêt. Tout d'abord c'est une répétition (voir l'archétype du Redoublement).
Et toute chose qui se répète est dotée de sens. Tout psychanalyste sérieux le sait. En 1998, Dominique Aubier avait écrit un livre sur le sens du ballon rond, et y voyait l'expression du Principe d'universalité. De nombreuses traditions du monde utilisent la forme ronde — du cerveau — pour désigner le principe abstrait de l'universalité
Tel est le cas pour le football.
20 ans plus tard, avons-nous intégré cette symbolique ?

Car si la France remporte la coupe, cela a du sens : la France serait-elle désignée et distinguée par ce principe d'universalité pour accomplir quelque mission, au-delà de sa représentation sportive ? Le football serait-il porteur de cette symbolique ? Les symboles sont des référents de base, et il ne sert à rien de les nier pour s'imaginer que l'on en éliminera la portée : « Le symbole a le pouvoir d'enclencher la réalisation de ce qu'il sait. » Il sait que la France est championne du Monde. Il enclenchera donc une série d'événements allant dans le sens de ce qu'il veut faire comprendre : le principe d'universalité va agir de plus en plus fort dans nos vies personnelle et la vie de notre pays. Parce que « le symbole entre dans l'esprit comme un ver. Il en sort toujours papillon ».
La double victoire à la Coupe du Monde va donc donner naissance… à un papillon. Favorisons son éclosion. Et tâchons de le protéger.

Si le ballon rond suscite une telle ferveur populaire, c'est que les gens (donc vous et moi) ressentons qu'il désigne aussi notre avenir.
Allons-nous adhérer au Principe d'Unité, à la Connaissance comme le ballon nous y invite ? Ou allons-nous rester à l'écart et jouer hors jeu ? C'est là notre liberté. Le symbole du football indique que l'avenir nous siffle. Dans la réalité, ce qui guide, c'est le projet inséré dans notre vie. Ce qui guide, devant nous, c'est l'avenir et les buts que nous devons marquer. Ce ballon rond — notre cerveau — désire jouer de la tête et se faire voir, et connaître.
« Et regardez la "coupe"… ce n'est pas une coupe, mais une sculpture qui représente le monde (une tête ?) tenue par des mains, appartenant à quelque puissance invisible… » m'a fait remarquer le docteur Michaut, lecteur de ce Blog.

S'agissant de la deuxième victoire à 20 ans d'échéance, nous assistons au Redoublement de la phase symbolique. Tout est toujours donné sous forme de symbole et en deux temps. Ensuite, le cycle ne peut que développer le thème. Qu'on y croie ou non, là n'est pas la question, car ce n'est pas une question de croyance : la puissance des symboles est indiscutable, quelque soit l'état de croyance de celui qui en est touché. La position des négateurs est à ce titre amusante (et pathétique) en ce sens qu'elle exprime la peur devant la force du symbole. La négation fait partie du processus du dévoilement, qu'elle s'exprime donc autant qu'elle veut, elle ne changera rien à l'issue prévue. Les symboles sont les amorces du futur. Avons-nous vécu une deuxième injection et rappel de symbolisme avant passage à l'étape suivante touchant au destin même de notre pays ? 

Cette deuxième victoire ouvre à mon sens des temps nouveaux où la France va (enfin) rejoindre sa vocation.
Une vocation universelle bien connue et mentionnée dans la Torah (Bible) hébraïque. J'ai écrit un article à ce sujet, dans ce blog, sur la vocation française, de longue date prévue.
Mais pour que cette vocation réussisse, un mouvement est nécessaire, car c'est aussi affaire de volonté, de culture, de décision. Cela nous concerne tous et pour ce qui me concerne, j'y travaille sans relâche, avec votre aide si vous en êtes d'accord.
Vous êtes chaleureusement conviés à « ne rien lâcher », défendre la Connaissance, et qui sait, marquer des buts ? Car il ne s'agit pas seulement de remporter la Coupe, mais d'en assumer la responsabilité…
A vous de jouer !

— Le motif cosmogonique est explicité dans le livre "La Face cachée du Cerveau". C'est le livre incontournable.
— La coupe du Monde : dans le livre "Lire sa vie".


« Il n'y a que deux manières de considérer les faits. Soit de les limiter à ce qu'ils sont, soit de les traiter en symboles porteurs d'un message. La première attitude est celle, banale, de tout le monde. Elle est objective. La seconde s'appuie sur les mêmes données mais elle les transcende. Le Voir initiatique s'établit sur la puissance qu'ont ces données de cohérer un sens, d'en délivrer par éclats les relations logiques. »
(Dominique Aubier)

mercredi 4 juillet 2018

80 km/h sur les routes de France. Décryptage initiatique.

Vitesse limitée à 80 km/h sur les routes de France.
Décryptage initiatique.

Le gouvernement a décidé d'abaisser la vitesse de la circulation sur les routes, passant de 90 à 80 km par heure. On a entendu toutes sortes de commentaires, pour ou contre. 

Pour ce qui me concerne, ce débat d'opinion ne m'intéresse pas. Je me conformerai à la loi.

Dépassons la question de sécurité publique et regardons l'événement « en repérant l'icône sur lequel il se greffe. » Il est nécessaire d'en faire une lecture initiatique car, écrit Dominique Aubier, « la vie est une conscience et il appartient à l'intelligence humaine de comprendre les faits qui se produisent en elle. L'acte de lucidité est indispensable. »
Alors voici la lecture initiatique — kabbalistique — de cette décision qui mettra fin à la querelle des pour ou contre. Dégageons le sens. La mesure concerne toute la nation, toutes les personnes circulant sur les routes.

La voiture est le symbole de nos existences, montée sur quatre niveaux d'organisation. C'est le « char », pour reprendre l'image biblique d'Ézékiel.
Jusque-là nous roulions à 90. Valeur numérique de la lettre Tzadé.

צ

Lettre haute signalant la bifurcation Gauche et Droite et nous laissant dans l'expectative de savoir laquelle des deux branches évolutives l'emporterait. C'est même la lettre initiale de Tzarfat, le nom hébreu de la France dont on notera que ce pays figure dans la Torah (prophétie Obadia)… trois mille ans avant que cette nation n'existe.

צָרְפַת,



L'arbre évolutif a deux branches. La branche menant à l'évolution dite hyponeurienne (les naturalistes connaissent ce concept) — celle des valeurs quantitatives, matérialistes, économico-compétitives. Ou la branche dite épineurienne menant à la surévolution qualitative. L'une mène à la mort. L'autre à la Vie.
Tout cela est expliqué dans le livre "La Synthèse des Sciences" de D. Aubier.

Nous passons de 90 à 80. Nous renonçons à ce Grand Ecart du Tzadé, séparant les deux voies et optons pour le 80. Autrement dit à la lettre Pé dont c'est la valeur.

Le Pé valeur 80 est Symbole de la Parole.

פ

Il se trouve, lui aussi, dans le nom de Tzarfat (le "f"), en troisième position. L'énergie a donc progressé, elle a rejoint la mission parleuse de la France, chargée de dire les forces du Verbe et d'exposer la thèse du Motif d'Absolu.
C'est exactement à quoi nous travaillons. C'est le sujet même du grand livre La Face cachée du Cerveau. L'identité du Motif.

Cette décision politique courageuse dépasse le cadre strict de la sécurité routière et déploie une portée symbolique claire : la France a adopté une conduite conforme aux exigences du 80 - parole.
Quelle Parole ?
Celle de l'économie, de la production, des armes ?
Celle de la vie ?

La lettre Pé -80 se situe sur la branche évolutive soutenant les forces de vie qualitatives.

Celles précisément que je défends sur ce blog, celles de la Connaissance, celles de la Vérité. Celles de la Vie. C'est à nous de jouer en 80. Le grand retour de la Parole 80.

Raison pour laquelle je défends les ouvrages que je présente sur ce blog… Ils participent tous à la Mission 80. Et nous sommes priés d'adopter notre conduite (intellectuelle) à ce régime… et de faire connaître.
On notera que le mot hébreu Kelal (Caf - Lamed -Lamed) a pour valeur numérique 80.
Ce mot signifie justement… la règle, la loi. C'est donc la loi (80) du 80 qui désormais s'impose…

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Livres : 
— Sur les lettres hébraïques et leur sens : Le principe du langage ou l 'Alphabet hébraïque.
— Connaître le motif d'absolu : La Face cachée du cerveau (The Hidden face of the Brain).
Et pourquoi pas une petite révision du Code… de la route ?