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lundi 24 février 2020

Coronavirus Covid 19 : la solution systémique.

Covid 19. La solution systémique (3).
par Dominique Blumenstihl-Roth

(Suite de l'article Lecture initiatique du coronavirus 2.)

Le Corona a changé de nom, voici qu'il s'appelle Covid 19. Pour masquer son identité de voleur de la Couronne ?
Forme de vie soudain énergétisée alors qu'il n'est au départ qu'un cristal, le virus est aussi une forme d'intelligence. Il ne songe qu'à sa propre survie. D'où ses rapides mutations et adaptations. En cela, il se comporte comme tous les virus. Le croyons-nous piégé qu'il est déjà ailleurs. Mutagène à l'extrême, il ne cherche pas à nous résister, il nous fuit sans pour autant nous lâcher. Quelle stratégie développer pour le cerner ? Ne pas faire ce qu'il attend… Le surprendre, car il se pourrait bien qu'il anticipe nos réflexes linéaires. Nous l'abordons en privilégiant ce que nous savons déjà de lui, en nous fiant à ce que nous avons observé de manière empirique. Ainsi, nous estimons que la période de son incubation serait de 14 jours, sur foi des diagnostics effectués. En réalité, c'est là une croyance des scientifiques fondée sur un visuel momentané qui ne répond en rien d'un comportement du virus durablement établi.

Que savons-nous de ses performances adaptatives quand elles répondent aux mesures sanitaires organisées ? Puissamment armé de son codage génétique, ne cherchera-t-il pas à contourner nos précautions ? Qu'il s'aperçoive de la naïveté du délai de 14 jours — durée d'incubation estimée par les blouses blanches — qu'il ne manquera pas d'opérer une nouvelle mutation allongeant sa période d'incubation. Le virus, ne l'oublions pas, est un lutteur habile ayant plus d'un tour dans son sac pour assurer sa survie. Que savons-nous de ses ruses ? Avant qu'il n'y songe, je lui dis : Schadaï. Stop. Arrêt.

Son nouveau nom peut faire l'objet d'un décodage. Au delà de l'anagramme évident Co et Vid(e) (avec le vide), j'ai basculé directement sur l'hébreu, en ce que cette langue donne accès au sens par l'inspection des lettres composant les mots. Il n'est pas interdit de passer le mot au travers du filtre de toutes les langues du monde, et je suis sûr que certaines d'entre elles pourraient nous donner des indices intéressants. L'hébreu a cependant l'avantage de toucher à l'information initiale dont le mot est la transcription visible. En cela, je pose mes pas dans les traces des kabbalistes, tels Abraham Aboulafia.
Du Corona (Qorona), le Covid (Qovid) a gardé le Qof. Preuve en est le numéro 19 dont il a été affublé par les chercheurs. Le Qof est la 19è lettre de l'Alphabet. Pour lire le mot Qovid, j'ai utilisé la technique du Tzérouf. QO, (Qof, Vav) signifie : cordon, ligne, limite, mesure. C'est une sorte de préposition qui peut s'attacher à toutes sortes de mots évoquant les thèmes de la limitation, du contour. Ligne de tir, ligne de communication. La position haute du Qof dans l'alphabet indique la posture élevée dans l'évolution, sur la branche droitière.

Le Tzérouf est une technique kabbalistique (je présente mes excuses à ceux qui le savent déjà) consistant à couper un mot en deux suivant une ligne (Qo) où l'on distingue les composantes. On réalise ainsi une lecture de l'unité, conforme à la structure en deux hémisphères. Une moitié du mot sera lue en hébreu, l'autre dans la langue vernaculaire. De sorte que les deux versants créditent une union dotée de sens.
Il convient de noter — cela est beaucoup moins connu, et c'est mon Maître qui me l'avait expliqué (clarification de l'ordre d'un hidouch) — que le Tzérouf n'est valable que jusqu'au Tzadé. Quand le cycle dépasse le Tzadé (lettre initiale de Tzérouf), cette technique n'est plus applicable, car il n'existe plus d'en-face au-delà du Tzadé, une fois que l'énergie est montée en Qof, Resch, Schin, Tav. A l'instant où l'énergie se voit bloquée sur le Tzadé final, la lecture en Tzérouf est encore valable. Elle est à mon sens extrêmement pertinente à ce moment-là, car les opposites sont à leur maximum de séparation. La lecture unitaire en exprimera la tension de cet instant.

Qorona : le Qof a été usurpé. L'énergie capturée est indûment versée dans la zone interdite « Verboten ». Elle y active ce qui ne devait exister. Des formes de vie toxiques, au revers du projet civilisateur se mettent à prospérer. Ainsi le vid(e) se remplit-il. Le cycle (Vav) qui devait mener au Rosch (couronnement de la tête, du principe d'absolu) est spolié, dépossédé. Tel serait le diagnostic définitif, sans recours possible. Au delà du Tzadé final, l'énergie s'enfonce, par notre choix civilisateur, dans le secteur outrancier du matérialisme. Une idéologie qui impose ses lois. L'énergie, nous l'avons dit, aurait dû être déplacée au moment où elle exigeait de changer de camp. Elle est restée dans le « Qui Fait » sans opérer le transfert. Du coup, l'activation agit sur une somme cumulée de réalisations qui perpétuent leur prédominance, sans permettre à l'autre face de vivre son moment d'efficacité. « Le Bien, dès lors, n'est pas une notion de morale » rappelle Dominique Aubier. « Il consiste à s'ajuster aux commandements qui ressortent du Motif d'Absolu. Le Bien, c'est s'accorder à l'immanence de vérité et ses normes, autrement dit YHVH. »

Relisant cette phrase de mon Maître, je me rends compte que nous ne pouvons plus nous contenter du diagnostic établi ci-dessus par la technique du Tzérouf. Le stade où il était susceptible de nous faire prendre la bonne décision est dépassé. Le Tzadé final a retenu, capturé l'énergie, n'autorisant pas le retour sur la branche droitière de l'arbre des Lettres. Le Qof légitime n'a pu être couronné. L'énergie a été expédié dans l'espace interdit, « beyond »,  comme disent les anglais, où il n'existe plus de retour possible, quand bien même on dresse autant de diagnostics alarmants que l'on veuille. Certains incendies ne peuvent être éteints de la main de l'homme. Nous l'avons vu en Australie : seule la pluie salutaire a mis fin au désastre.

Que faire face au virus ?
Je ne suis ni médecin ni virologue. Je respecte leur compétence, mais selon ce que j'entends d'eux quand ils s'expriment — et parmi eux certains amis — il semblerait bien que nous soyons extrêmement désemparés, ne sachant absolument pas comment la situation évoluera. N'ayant a priori aucune compétence dans cette affaire de Coronavirus / Covid 19, j'ai l'impression — pour reprendre la formule du kabbaliste Abulafia — que « je me suis emparé de quelque chose de plus grand que mes capacités ».

Du point de vue initiatique, je me rends compte que j'ai commis une erreur en croyant qu'il fallait dire « Schadaï » pour remettre l'énergie sur ses gonds. Schadaï est l'immanence que l'on invoque en Tzadé final, pour intimer l'ordre d'arrêter. Or ce stade est de longtemps dépassé. Une prière n'est efficace que si elle est prononcée au bon moment du cycle et dans les termes qui conviennent. Schadaï n'a pas été respecté. Naïveté donc, de ma part, sous garantie du Zohar, d'avoir écrit qu'il suffirait d'ajouter le Yod à Schad pour tout réguler. C'était peut-être joliment pensé, mais faux, car j'avais oublié qu'il fallait toujours tenir compte du cycle en cours.
Mais tout n'était pas erroné. Il fallait bien lancer un appel. Il fallait bien activer un Yod. Mais où ? Sur quelle immanence ? 
Schadaï n'est plus d'aucun secours. L'appeler, ce serait comme jeter un gilet de sauvetage à quelqu'un dont le corps sombre déjà dans les abysses. Quant à plonger dans les profondeurs pour ramener la victime en surface, lui insuffler de l'air, massage cardiaque de rigueur… Remettre le cœur en route, le cœur étant l'organe de la Connaissance (32)… Le rescapé — nous-même — ayant perdu connaissance reviendra-t-il à lui ? Et qui réalisera le sauvetage ? Qui se jettera à l'eau ? Les choses ne dépendent plus d'un improbable héros, mais du Maître interpellé par notre prise de conscience.

S'en remettre à la science et la technologie ?
Il s'agit, dans cette affaire qui n'est pas sans rappeler les 10 Plaies d'Egypte, de s'élever à un « concept supérieur de l'Histoire » (CF Elie Munk, Voix de la Torah, Exode), et ne pas en rester à une naïve croyance où seuls les facteurs matériels seraient gestionnaires de notre destinée. Une compréhension plus lucide — et honnête — est nécessaire pour comprendre les choses de ce monde. Notre idolâtrie matérialiste est un obstacle à la libération, et l'ange destructeur profite de ce terrain favorable que nous lui cédons. Il se pourrait que le virus soit plus astucieux que nos chercheurs, en qui nous avons confiance. Et s'ils échouaient ? La pandémie toucherait alors toute l'humanité…


Que faire ? Je crois qu'en dernier recours, après la transgression en « Verboten » qui nous conduit dans le mur, il n'existe plus d'autre recours possible qu'invoquer le Maître du Système, Maître de l'énergie, Maître de la Structure induite.
Faire appel au Yod, celui du « Dieu absent »… A יהוה  .
Tonnerre ! J'ose évoquer le nom de l'immanence absolue.
Et j'insiste en ce troisième article, car la parole est une action privilégiée dans ce monde conduit par le Verbe. La parole posée par écrit réalise son instance réaliste. Elle propose l'appel, et il me semble qu'une sollicitation de cet ordre ne peut être murmurée. Il lui faut de la force, et c'est le déploiement du Redoublement qui la lui fournit. D'où cet article, ce texte écrit.
Ce n'est pas Schadaï qui nous tirera d'affaire, sa zone d'intervention étant dépassée, mais le Tétragramme. Le Dieu d'Abraham, de Jacob et de Joseph. C'est aussi celui de Jésus, me semble-t-il… Celui dont le « bras fort » fit sortir les hébreux d'Egypte, non sans avoir infligé les 10 plaies à l'empire de Misraïm. 
En écrivant ce texte, la proposition passe de première en seconde instance, et si l'argument du recours au Dieu יהוה ineffable est recevable, le réel en tiendra compte.

En lisant cet article, j'estime que vous participez en associé à cet appel : « tel est le principe (cf. le kabbaliste Yehuda Hayat —1495) : les choses d'en bas éveillent les puissances supérieures, autrement celles-ci ne s'éveilleraient pas ».

Suite de l'article :
le postillon contaminateur.
Covid 19 jusqu'au bout du sens. 
Covid 19 : Connaissance et sciences
Pour ou contre le prof. Didier Raoult ?
Le « déconfinement » une affaire de mal entendu.



mardi 11 février 2020

Coronavirus. Lecture initiatique du virus.

par Dominique Blumenstihl-Roth
Deuxième partie  
La troisième partie (suite) est publiée ici.


Tout le monde aura remarqué que le virus a le sens de l'humour macabre et un langage sardonique. Il entre en France par le petit village des "Contamines".  C'est là un signe qui annonce la contamination. Comme il est très bavard, ce virus nous dit beaucoup de choses sur lui-même et sur son identité.
Il a même changé de nom et s'appelle désormais Covid 19. Il n'a peut-être pas apprécié d'être démasqué, aussi préfère-t-il une nouvelle identité. Son nouveau nom m'a immédiatement suggéré de lire « Codevi dit neuf ».
Alors allons-y pour le Code de la vie… Et dire le nouveau en face du Verboten, zone interdite.
Je sais, on me dira que je pars dans des élucubrations d'illuministes et je suis parfaitement d'accord, d'autant que le monde manque singulièrement d'illuminations.
En tout cas, j'écoute ce qui se dit, et si le mot Corona s'affiche sur la planète — et la contamine — il faut bien se rendre à l'évidence et considérer qu'il s'agit là d'une affaire de Couronne-Corona.
A quoi le mot Corona vous fait-il penser ? Certains, entendant le mot, passant d'une langue à l'autre, ont songé à la célèbre bière du même nom qu'affectionnait le Président Chirac. Et moi, poursuivant le nom, je me suis rappelé qu'en hébreu, la couronne, c'est Kether. Le nom de la première des Séfira.

1. Que veut nous dire la Couronne-Corona ?
— Qu'est-ce qu'un virus à ARN…
— Pourquoi est-il vitalisé maintenant ?
— Pourquoi en Chine ? Que veut-il nous dire ?
— Signe des temps ?
Un virus est un « être » étrange, inerte cristal tant qu'il n'est pas activé — par quelle énergie ? — il reste neutre et sans vie aussi longtemps que… ne s'ouvre pas un cycle qui lui permette de vivre.
Lui aurions-nous ouvert la porte ? Par notre propre mode de vie ? Aurions-nous dépassé une limite qui lui aurait permis de dépasser la sienne et d'accéder au stade d'être vivant ?

Les Boeing, avions "Max", cloués au sol ont déjà signalé l'excès entropique (maximal) touchant l'aéronautique. Un arrêt magistral a été imposé. Une limite à ne pas franchir est mondialement signalée.
De même le virus impose sa puissance aux forces du "faire" : il est, lui aussi, un champion du "faire", par son mode de propagation, sa virulence ; il ne cesse de faire et s'attaque précisément à l'organisation du système soutenant le "faire". Le voici qui déjoue les prévisions des économistes… autres experts du "faire". Finalement, le "Faire" se joue un tour à lui-même, suscitant des forces qui s'autodétruisent.
Comment sortir de son emprise ?
Par la science ? Pourquoi pas. Les instituts de recherche, grassement subventionnés, trouveront peut-être un vaccin… Mais les sciences ne sont-elles pas à leur tour des « créatures » du "Faire" ? Je propose une autre méthode, plus modeste qui pourrait bien agir, à sa manière, sur le virus :

En lui répondant par ce mot hébreu : "Schadai". C'est le nom de l'immanence divine disant : « assez fait ». Et pour cela, accepter que dans nos systèmes nous en avons fait de trop, en construisant une société qui ne croit qu'aux vertus du "faire", du "produire", du "consommer plus".
Un grand "Schadaï" universel devrait retentir imposant une cessation du délire entropique dont nous voyons les dégâts par les désastres qu'il nous fabrique. Mais qui prononcera ce mot ? Nous cherchons bien au contraire à trouver les moyens afin de continuer, comme avant, sans rien changer à notre mode de vie et de pensée. « La science finira par trouver », et nous pourrons continuer à rester captifs de notre enlisement, jusqu'à la noyade.

2. Selon le Zohar, il existe deux couronnes. 
Celle d'en bas et celle d'en haut. Les couronnes inférieures touchent les systèmes qui n'admettent que les deux lettres Schin ש et Dalet ד . Ces deux lettres écrivent le mot "Schad", שד qui signifie ruines, désolation, ravages, fléau.
Pour empêcher les basses couronnes de l'emporter, il faut leur inoculer le Yod. י Ainsi, avec le Yod, s'écrit le mot "Schad" שדי dont la bénédiction peut alors opérer. Le désastre est évité par l'introduction du Yod. La solution réside donc, d'une part à marquer un arrêt réflexif, et d'autre part de propulser le cycle, grâce au Yod, lettre de l'énergie : l'énergie de l'Alef valeur 1 reprise en Yod valeur 10. En se rappelant du Principe fondateur.
La sagesse des Maîtres chinois ne s'opposerait pas à la notion d'arrêt suivi d'une relance sur l'En-Face. En effet, les traditions du monde connaissent le concept de l'arrêt touchant les mouvements expansifs. Mais écoutera-t-on le conseil millénaire des sagesses antiques ?
Que deviennent Lao Tseu et les grands maîtres de la tradition du Taoïsme dans cette affaire ? La Chine les a de longtemps bannis, voire interdits au nom du communisme matérialiste, ces grands esprits qui prônaient le "non - faire" et le recours au Tao — le Principe d'Absolu — issu de la pensée initiatique. Que conseillerait le célèbre Yi-King, face au virus ?
Le principe du Tao est le même que celui dont parle la Kabbale, le principe de la Tête. De la Couronne. « La Couronne désigne le cerveau », dit le Zohar (Livre I, 196.) 
Elle veut être vue, connue.
Elle déclame son nom.
« Tu es mon protecteur et ma gloire, et tu élèves ma tête », disait le roi David. Ajoutant : « Cette faveur est pour moi si précieuse que je m'en réjouis comme d'une couronne… » (Zohar I 82a, p. 472 vol I).

3. Le Coronavirus nous parle : 
Une psychanalyste m'a écrit pour me dire que j'étais « loufoque pour ne pas dire délirant. Car un virus n’est pas doté de langage. Donc il ne nous dit rien. S’il parlait ça se saurait. Mais si vous les entendez, cela s’appelle une hallucination. C’est donner du sens à ce qui n’en a pas. » Du haut de son belvédère, cette spécialiste prétendument lacanienne décrète l'absence de sens alors que sa science consiste précisément à rechercher le sens dans les moindres détails narratifs que présentent les patients lors des consultations. Son point de vue est néanmoins respectable car il donne à la négation l'occasion de s'exprimer. L'archétype de l'Inversion s'en trouve corroboré. Il s'agit de le retourner pour trouver à l'endroit l'expression du vrai. Le virus nous parle :
— Vous ne vouliez pas de la Connaissance ? Vous aurez son contraire. Nous sommes entrés dans une zone interdite, et tout ce qui s'invente dans cette zone est la contrefaçon inversée de ce qui devrait être vécu en face.
Le Virus est né dans cette outre-zone, où l'évolution ne doit pas s'effectuer dans le manifeste.
Il est une entité née dans la zone interdite, que l'Alphabet hébreu situe dans l'espace au-dessus du Tzadé final, à Gauche. 

Il est nécessaire maintenant d'écrire le mot Corona en hébreu :
קורונה

Et de situer chacune des lettres sur l'arbre évolutif de l'alphabet. La Couronne s'inscrit en Qof, lettre supérieure au Tzadé, du côté droit. En aucun cas le Qof ne peut revenir à l'En-face quantitatif borné par le Tzadé final, car après le Qof, l'énergie accomplit un cycle et monte droit vers le Resch. Lettre qui désigne Rosch, la tête. Voulant être vue : Ro. Ce qui est en cause, c'est le cerveau (Rosch), la pensée de l'homme (Noun), sa structure en deux hémisphères gauche et droite (Hé). Nous refusons d'adhérer au Principe d'Absolu ? Nous rejetons la Couronne ? Nous persistons au-delà du Tzadé final ? Dès lors nous donnons puissance aux chaos. L'énergie normalement dévolue au « Séterélion », le «  lieu protégé » du Roi David (dans l'Alphabet ce sont les quatre lettres Qof-Resch-Schin-Tav), est accaparée par des puissances qui s'en nourrissent.

Je pense soudain au Président Chirac. Grand amateur de la bière Corona. Son propre nom, Chirac, s'entend comme Chir ha chirim. C'est le titre en hébreu du Cantique des Cantiques. Autrement dit Le Chant de la Tête. Le symbole en était prometteur. S'il buvait intuitivement avec joie la liqueur de la Couronne, nous aurions aimé qu'il en ennivre sa politique, demeurée hélas conventionnelle, reléguant la Connaissance au Musée des Arts Premiers… Non, la Connaissance n'est pas vouée au musée. Elle doit être en tête, et dans les têtes. Car elle est le Code de la Vie.

Nous n'avons pas opéré le recours à l'Esprit ? Nous n'avons pas réalisé le transfert vers la Connaissance et la réflexion, nous adonnant à l'accumulation entropique, à l'idolâtrie du "faire" ? Le virus dormait si bien… Qu'avions-nous à le vitaliser en lui préparant un terrain propice ? Celui de notre civilisation expansive, ignorant la loi du "Stop". Comment pourrions-nous exiger du virus qu'il cesse d'agir alors que toute notre civilisation est fondée sur la notion de l'incessante métabolisation ?
Il s'est emparé de la Couronne. Il est à l'aise dans la zone interdite où nous lui avons cédé la pleine puissance. Il ne la lâchera pas de sitôt…
D'autant que ce virus n'est pas le premier. Il est une réitération sur le thème Corona qui s'est exprimé en première instance sous l'appellation Sras. Petit rappel à ceux qui sont informé de l'archétype du redoublement : rien ne se fait en une seule fois. Ce qui n'aboutit pas en première instance est confirmé par la seconde. C'est une règle initiatique formelle. La seconde instance augmente et amplifie les effets de la première… Pour en savoir plus sur cet archétype : lire "La Face cachée du Cerveau".

4. Comment ? Le virus serait un Allié ?
A mon sens, il est l'Allié de la Connaissance —  allié au sens ou l'entendait l'Amérindien Don Juan, dans les ouvrages de Carlos Castaneda. L'Allié est l'opposite qui tel un fauve soudain libéré sème le désastre שד (Schad)… Dans un système qui est lui-même désastreux. Il ne devient "allié" que s'il est vaincu.
« L'Allié a la faculté de dire ce qui se passe. C'est dans le feu de l'événement qu'il tient son rôle et c'est parce qu'il participe à l'acte qu'il peut en démarquer le sens » écrit Dominique Aubier. « L'Allié est une entité commise à la surveillance de notre vocation personnelle ou collective, une force qui déploie son énergie pour tirer le signal d'alarme ». Il nous permet de lire l'événement : c'est ce que je fais, dans le but de lui soutirer ses confidences.
Le virus est en ce sens le gardien de la Couronne — il réduit à néant le système ultra-financier-matérialiste qui, tel Napoléon, se couronne lui-même. Le Corona signale violemment le thème de la Couronne, il détrône les imposteurs du système autoproclamé,  nous  rappelant qu'il existe une Tête digne de la porter : le Modèle d'Absolu, la Tête enchantée dont parle Don Quichotte au chapitre 62 du volume II. Le virus vole la couronne… et en réserve la noblesse à la Connaissance, à qui il la remettra… s'il est vaincu.

5. Comment vaincre le virus ? 
Pour l'instant, il y a des centaines de morts, des personnes en souffrance qui méritent le respect. Les spécialistes nous conseillent de nous laver les mains pour éviter la propagation. Noble conseil auquel j'ajouterai que pour calmer le virus, il faut lui dire : "Je sais qui tu es. Je sais ce que tu fais."
Tu es l'arme qui pourrait détruire l'humanité, que tu empêches de respirer. Parce que l'humanité elle-même t'a convoqué par l'inanité de ses projets, la négation de l'esprit, la croyance au seul "faire".
Dès lors, quel scientifique me le reprochera si je suggère de concevoir une politique inspirée par la connaissance de l'Esprit ? Peut-être une goutte de conscience, une parole de vérité, une infime prise de conscience de notre vocation humaine pourrait neutraliser le virus ? C'est cela, injecter le Yod dans l'esprit : renouer avec l'Esprit et le connaître. Alors produisons cette prise de conscience, écrivons ce mot Schadaï, et ne nous contentons pas de transférer-délocaliser notre confiance entre les mains des médecins. Ils font tout ce qu'ils peuvent, ils sont admirables. Nous aussi, avons notre rôle à jouer. Ne nous "en" lavons pas les mains. Au contraire, écoutons le message de ce virus, cherchons l'information. Le virus nous dit "Couronne". Il nous dit "Tête". Il nous dit "Arrêt" et "danger de mort". Il faut y répondre en toute lucidité.

Les forces productives développées à l'excès nous ont précipités contre le mur — le Mur du Temps. Nous avons atteint l'excès de métabolisation. Dépassant cette limite, nous nous écrasons sur d'ultimes illusions qui n'écoutent pas le langage du réel. Le moment est grave, il prononce un verdict à lire dans les faits. La Nature elle-même impose son arrêt. Et cela se passe en ce moment. Un grand Arrêt a été promulgué mettant fin à l'entropie des activités humaines, à l'excès de "faire".
Mon Maître appelait, depuis de nombreuses années, à une "Urgence du Sabbat" : il fallait, depuis longtemps, marquer un arrêt. Savoir s'arrêter. Marquer le Grand Stop, à l'instant de l'entropie se produisant en Couche 5c du cycle. (Cf. La Face cachée du cerveau, l'archétype du Stop).  S'arrêter de "faire" et se tourner vers l'esprit. Opérer cette traversée qui marquera la fin de l'horreur économique. Il me semble qu'il est temps que la culture initiatique fondée sur la connaissance du Code de la Vie est appelée à prendre en main la marche du monde… Le virus nous le dit. Tout en étant notre ennemi, il nous dit ce qu'il faut faire. Il nous indique le recours à la Couronne.

6. Qu'est-ce que la Couronne ?
Ceux qui connaissent le premier mot de la Torah (Bible) savent de quoi je parle. Au commencement, en hébreu, écrit le mot Béréchit, construit sur les lettres signalant justement la Tête, la Couronne. Qui sait si l'identification initiatique du virus n'agira pas en vaccin ? Le recours au motif Tête de la Couronne pourrait puissamment agir. Car le virus s'entend dire qui il est. En lui disant : je sais qui tu es, nous le tenons en respect. Mais cela ne suffira pas. Il faut également quitter son lieu de prédilection, la zone interdite que nous lui avons concédée. Il s'agit donc moins de lutter directement contre lui, sur son terrain, que de quitter l'arène du "Faire".
« Il faut faire quelque chose »… Quitter l'empire où le "Faire" opprime l'esprit est peut-être la chose la plus difficile à accomplir… 
Le virus, hôte de l'Inversion négatrice, nous indique — à l'envers — que la structure d'absolu, la vraie Couronne, veut être vue et comprise. 
Ce travail d'identification initiatique peut aider les acteurs politiques, informés du Code des archétypes, à concevoir une civilisation fondée sur la restauration des valeurs spirituelles. Les virus en seraient affaiblis, ces derniers n'ayant plus aucun territoire propice à leur éveil demeureraient vitrifiés dans leur état cristallisé, tandis qu'en face émergerait une société attentive aux signaux de la vie.
Je suggère de travailler à l'édification de cette société ! C'est le but de ce texte et de ce Blog.

Vos observations, vos études, vos recherches et votre soutien sont les bienvenues…

(un troisième article sur le sujet du Corano va suivre… Il pourrait fortement déplaire. Ou au contraire, nous donner espoir. Dans le troisième article, je reviendrai sur l'affaire Schadaï…)

Suite de cet article ici. 3
Suite de l'article (4) Le Postillon contaminateur
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— Le Code des Archétypes : La Face cachée du Cerveau ;
La Synthèse des Sciences ;
Le Réel au Pouvoir ;
— L'Urgence du Sabbat ; 
— Le Principe du langage ou l'Alphabet hébraïque ;
— Ces Désastres qu'on nous fabrique.

dimanche 9 février 2020

Non, je ne ferai pas un article sur le Coronavirus.

Non, je ne ferai pas un article sur le Coronavirus.
par Dominique Blumenstihl-Roth

(première partie : je ne ferai pas "un" article mais deux et peut-être trois).
Le deuxième article est publié ici. Il reprendra des éléments de celui-ci, en allant plus loin…

— Qu'est-ce qu'un virus ?
— Un virus à ARN…
Pourquoi est-il vitalisé maintenant ?
En Chine ? Pourquoi ?
Que veut-il nous dire ?
Signe des temps ?

Que veut nous dire la Couronne-Corona ?
Sous le couvert — le masque — du virus ?
Excès de croyance au matérialisme productiviste ?
Aurions- nous dépassé une limite ?
Tout le monde aura remarqué qu'il s'agit là d'une affaire de Couronne. Et que dans la kabbale hébraïque, la couronne, c'est Kether. La première des Séfira.
Aucun rapport, me dira-t-on, entre le coronavirus et ce concept de la kabbale. A ceci près que pour comprendre ce qui nous arrive, la raison initiatique se sert d'un tamis des plus fins, il retient les subtilités verbales qui entourent les événements afin d'en distinguer le sens. Accepterons-nous d'écouter les murmures du Verbe qui s'expriment sous les événements ?

Les avions de "Max" cloués au sol ont déjà signalé l'excès entropique (maximal) touchant l'aéronautique. Un arrêt magistral a été imposé.
De même, le virus impose sa puissance aux forces du "faire" : il est, lui aussi un champion du "faire", par son mode de propagation, sa virulence ; il ne cesse de faire et s'attaque précisément à l'organisation du système soutenant le "faire". Que lui répondre si ce n'est "Shaddai" : assez fait ?

Je pense aussi à la Chine. Noble et grand pays. Que deviennent Lao Tseu et les grands maîtres de la tradition du Taoïsme dans cette affaire ? La Chine les a de longtemps bannis, eux qui prônaient le "non - faire" et le recours au Tao — le Principe d'Absolu — issu de la pensée initiatique. Que conseillerait le célèbre Yi-King, face au virus ?

Je ne ferai pas un article sur le Coronavirus, à moins qu'il ne faille le démasquer et dire qui il est, ce qu'il fait. 
Il est l'Allié de la Connaissance — son opposite qui tel un fauve soudain libéré sème le désastre… Dans un système qui est lui-même désastreux. Le virus nous parle : "Vous ne vouliez pas de la Connaissance ? Vous aurez son contraire."
"Nous sommes entrés dans une zone interdite, et tout ce qui s'invente dans cette zone est la contrefaçon inversée de ce qui devrait être vécu en face."
Le Virus est né dans cette outre-zone, où l'évolution ne doit pas s'effectuer dans le manifeste.
Nous n'avons pas opéré le recours à l'Esprit ? Nous n'avons pas observé la pause ? Nous n'avons pas réalisé le transfert vers la Connaissance et la réflexion, nous adonnant aveuglément à l'accumulation entropique ? Nous avons ouvert la porte au virus ; il s'est emparé de la Couronne. Il est le maître de la zone interdite où nous lui avons cédé la pleine puissance. Il ne la lâchera pas de sitôt… 
D'autant que ce virus n'est pas le premier. Il me semble qu'il est une réitération sur le thème Corona qui s'est exprimé en première instance sous l'appellation Sras. Petit rappel à ceux qui sont informé de l'archétype du redoublement : rien ne se fait en une seule fois. Ce qui n'aboutit pas en première instance est confirmé par la seconde. C'est une règle initiatique formelle. La seconde instance augmente et amplifie les effets de la première… 

Comment ? Le virus serait un Allié ?
« L'Allié a la faculté de dire ce qui se passe. C'est dans le feu de l'événement qu'il tient son rôle et c'est parce qu'il participe à l'acte qu'il peut en démarquer le sens » écrit Dominique Aubier. « L'Allié est une entité commise à la surveillance de notre vocation personnelle ou collective, une force qui déploie son énergie pour tirer le signal d'alarme ». Il nous permet de lire l'événement : c'est ce que je fais, dans le but de lui soutirer ses confidences.
Le virus est en ce sens le gardien de la Couronne — il réduit à néant le système ultra-financier qui aurait voulu, tel Napoléon, se couronner lui-même. Le Corona signale violemment le thème de la Couronne, il détrône les imposteurs du système autoproclamé,  nous  rappelant qu'il existe une Tête digne de la porter : le Modèle d'Absolu, la Tête enchantée dont parle Don Quichotte au chapitre 62 du volume II. Le virus vole la couronne… et en réserve la noblesse à la Connaissance, à qui il la remettra… s'il est vaincu.

Comment vaincre le virus ? 
Pour l'instant, il y a des centaines de morts, des personnes en souffrance qui méritent le respect. Les spécialistes nous conseillent de nous laver les mains pour éviter la propagation. Noble conseil auquel j'ajouterai que pour calmer le virus, il faut lui dire : "Je sais qui tu es. Je sais ce que tu fais."
Tu es l'arme qui pourrait détruire l'humanité, que tu empêches de respirer. Parce que l'humanité elle-même t'a convoqué par l'inanité de ses projets, la négation de l'esprit, la croyance au seul "faire".
 Dès lors, quel scientifique me le reprochera si je suggère de concevoir une politique inspirée par la connaissance de l'Esprit ? Peut-être une goutte de conscience, une parole de vérité, une infime prise de conscience de notre vocation humaine pourrait neutraliser le virus ? Alors produisons cette prise de conscience, et ne nous contentons pas de transférer notre confiance entre les mains des médecins. Ils font tout ce qu'ils peuvent, ils sont admirables. Mais nous aussi, avons notre rôle à jouer. Ne nous "en" lavons pas les mains. Au contraire, écoutons le message de ce virus, cherchons l'information. Le virus nous dit "Couronne". Il nous dit "Tête". Il nous dit "Arrêt" et "danger de mort". Il faut y répondre en toute lucidité.

Les forces productives développées à l'excès nous ont précipités contre le mur — le Mur du Temps. Nous avons atteint l'excès de métabolisation matérialisante. Dépassant cette limite, nous nous écrasons sur d'ultimes illusions qui n'écoutent pas le langage du réel. Le moment est grave, il prononce un verdict à lire dans les faits. La Nature elle-même impose son arrêt. Et cela se passe en ce moment. Un grand Arrêt a été promulgué mettant fin à l'entropie des activités humaines, à l'excès de "faire".
Mon Maître appelait, depuis de nombreuses années, à une "Urgence du Shabbat" : il fallait, depuis longtemps, marquer un arrêt. Savoir s'arrêter. Marquer le Grand Stop, à l'instant de l'entropie se produisant en Couche 5c du cycle. (Cf. La Face cachée du cerveau, l'archétype du Stop).  S'arrêter de "faire" et se tourner vers l'esprit.

Est-ce la réponse à donner au virus ?
Il signale la prééminence de la Couronne. Du Principe… En Tête. Ceux qui connaissent le premier mot de la Torah savent de quoi je parle. Le recours au motif identifié de la Couronne pourrait puissamment aider les chercheurs dans leurs investigations, conseiller les acteurs politiques pour concevoir une civilisation informée des règles évolutives qui maintiendrait en respect les virus. Ces derniers n'auraient alors aucun territoire propice à leur éveil et demeureraient vitrifiés dans leur état cristallisé, tandis qu'en face émergerait une société attentive aux signaux de la vie.
Je suggère de travailler à l'édification de cette société !

Vos observations, vos études, vos recherches sont les bienvenues…

— Le Code des Archétypes : La Face cachée du Cerveau.
La Synthèse des Sciences.
Le Réel au Pouvoir.
— L'Urgence du Sabbat.
— Ces Désastres qu'on nous fabrique.

Films
— Les dix plaies d'Egypte
— Le secret des Séphiroth
— L'Alphabet hébreu — le Code