LA FRANCE BLESSEE A MORT ? LA LECTURE DES SIGNES.
Il y a quelques semaines, un ami m'a fait un cadeau bien étrange. Voici qu'il m'offre une paire de petits poussins, tout blancs, dont il me dit qu'ils deviendront dans quelques temps deux poules magnifiques pour l'ornement du jardin.
J'accepte ce cadeau pour le moins curieux, et je les installe au fond du jardin, dans un abri où ils prennent leurs aises. Et les voilà qui vivent leur vie, picorant graines et insectes tout au long de la journée et se couchant avec le soleil.
J'avais noté que les deux volatiles m'avaient été offerts le jour même où je répondais au rabbi Dinovicz. Ce dernier, dans un de ses cours, parlait de la France dont il stigmatisait bien à tort l'animal symbolique, le coq. Il lui reprochait d'avoir l'habitude de monter sur les tas de fumier. Je répondais au Rabbin qu'il était bien incongru de reprocher à un animal d'être ce qu'il est, et qu'en effet sa caractéristique était fort noble, car dans les fermes, il monte tout en haut des déchets produits par l'activité humaine, il les surplombe, et pousse son chant du haut de ce promontoire. Animal symbolisant la mission française, s'agissant de s'élever, de grimper sur la pensée matérialiste, de la dominer, et d'entonner d'une belle voix le chant accompagnant la lumière du lever au coucher du soleil.
En outre, il protège les poules… et sans lui, pas de poussins !
Au début je pensais que ces deux poussins donneraient des poules, mais bien vite, l'un des deux a présenté une haute crête rouge sur la tête… C'était bien un coq ! Je le surveillais de près, guettant en lui tous les comportements, précisément parce qu'il représente la France. L'animal totémique de notre pays, installé dans mon jardin, devenait "loquace".
Loufoque, rétorquera l'esprit rationaliste !
Pourtant, lire les symboles est d'une extrême utilité pour diriger sa vie. Et pour comprendre ce qui se passe.
1. Lire les symboles
Lire les symboles est une des spécialités des kabbalistes, mais aussi de tous les initiés de toutes les traditions. Grand expert, le sorcier amérindien Juan Matus, rendu célèbre dans les ouvrages de l'ethnologue Carlos Castaneda. Une des techniques bien connues, et éprouvée, consiste à "ouvrir la fenêtre". En face d'une question que l'on se pose, quand on ne sait que faire, il faut regarder dehors. La vérité se promène dans la rue. Ainsi le roi David se déguisait en quidam, quittait son palais, et dans l'anonymat interrogeait autour de lui. Il lisait les signes que la vie lui envoyait. Il y a toujours une réponse que la vie nous fait voir, en cohérence parfaite avec le plan d'unité temporelle de notre question. Cette réponse peut consister en un événement anodin, une phrase entendue en passant, prononcée par un inconnu… Un événement singulier qui surgit à l'instant, devant nous, à l'impromptu… Une rencontre, le nom d'une personne… La vie invente toutes sortes de rébus, à nous destinés, à titre personnel et collectif.
J'accepte ce cadeau pour le moins curieux, et je les installe au fond du jardin, dans un abri où ils prennent leurs aises. Et les voilà qui vivent leur vie, picorant graines et insectes tout au long de la journée et se couchant avec le soleil.
J'avais noté que les deux volatiles m'avaient été offerts le jour même où je répondais au rabbi Dinovicz. Ce dernier, dans un de ses cours, parlait de la France dont il stigmatisait bien à tort l'animal symbolique, le coq. Il lui reprochait d'avoir l'habitude de monter sur les tas de fumier. Je répondais au Rabbin qu'il était bien incongru de reprocher à un animal d'être ce qu'il est, et qu'en effet sa caractéristique était fort noble, car dans les fermes, il monte tout en haut des déchets produits par l'activité humaine, il les surplombe, et pousse son chant du haut de ce promontoire. Animal symbolisant la mission française, s'agissant de s'élever, de grimper sur la pensée matérialiste, de la dominer, et d'entonner d'une belle voix le chant accompagnant la lumière du lever au coucher du soleil.
En outre, il protège les poules… et sans lui, pas de poussins !
Au début je pensais que ces deux poussins donneraient des poules, mais bien vite, l'un des deux a présenté une haute crête rouge sur la tête… C'était bien un coq ! Je le surveillais de près, guettant en lui tous les comportements, précisément parce qu'il représente la France. L'animal totémique de notre pays, installé dans mon jardin, devenait "loquace".
Loufoque, rétorquera l'esprit rationaliste !
Pourtant, lire les symboles est d'une extrême utilité pour diriger sa vie. Et pour comprendre ce qui se passe.
1. Lire les symboles
Lire les symboles est une des spécialités des kabbalistes, mais aussi de tous les initiés de toutes les traditions. Grand expert, le sorcier amérindien Juan Matus, rendu célèbre dans les ouvrages de l'ethnologue Carlos Castaneda. Une des techniques bien connues, et éprouvée, consiste à "ouvrir la fenêtre". En face d'une question que l'on se pose, quand on ne sait que faire, il faut regarder dehors. La vérité se promène dans la rue. Ainsi le roi David se déguisait en quidam, quittait son palais, et dans l'anonymat interrogeait autour de lui. Il lisait les signes que la vie lui envoyait. Il y a toujours une réponse que la vie nous fait voir, en cohérence parfaite avec le plan d'unité temporelle de notre question. Cette réponse peut consister en un événement anodin, une phrase entendue en passant, prononcée par un inconnu… Un événement singulier qui surgit à l'instant, devant nous, à l'impromptu… Une rencontre, le nom d'une personne… La vie invente toutes sortes de rébus, à nous destinés, à titre personnel et collectif.
Il nous appartient de les décoder pour "lire" nos signes, comprendre ce que la vie veut nous signifier.
Cette technique de lecture, chacun peut l'exercer dans sa vie.
2. Comment cela fonctionne-t-il ?
Mon maître, Dominique Aubier m'a expliqué, un jour, en Andalousie où nous vivions, qu'à chaque instant, dans un de nos cycles de vie, s'effectue une sorte de plan en coupe. "Dans ce cercle, apparaissent des faits appartenant par force à la texture de l'immédiat", m'a-t-elle dit. "L'initié consulte les éléments proches de lui pour augurer ceux qui, à distance, participent du même état. " Cette technique, simple, trouve sa justification dans les conceptions évolutives de la Zoologie et de la Botanique. L'être de Connaissance s'en sert pour explorer la partie invisible de sa vie. Ainsi peut-il discerner l'intention d'une personne perpétrant à son encontre un mauvais projet. Il le voit grâce à quelque signe apparu dans le plan d'unité. C'est ce que Ibn' Arabî appelle les « signes de surface ». En termes bibliques, cela revient à cueillir les fruits de l'Arbre de Vie. Dominique Aubier m'avait même dit que les conditions d'existence changeraient lorsque les hommes consacreraient leur intelligence à pratiquer ce déchiffrement. Il suffirait que chacun le fasse pour soi. La Vie en serait adoucie sur terre…
J'en reviens à mon coq.
Cette technique de lecture, chacun peut l'exercer dans sa vie.
2. Comment cela fonctionne-t-il ?
Mon maître, Dominique Aubier m'a expliqué, un jour, en Andalousie où nous vivions, qu'à chaque instant, dans un de nos cycles de vie, s'effectue une sorte de plan en coupe. "Dans ce cercle, apparaissent des faits appartenant par force à la texture de l'immédiat", m'a-t-elle dit. "L'initié consulte les éléments proches de lui pour augurer ceux qui, à distance, participent du même état. " Cette technique, simple, trouve sa justification dans les conceptions évolutives de la Zoologie et de la Botanique. L'être de Connaissance s'en sert pour explorer la partie invisible de sa vie. Ainsi peut-il discerner l'intention d'une personne perpétrant à son encontre un mauvais projet. Il le voit grâce à quelque signe apparu dans le plan d'unité. C'est ce que Ibn' Arabî appelle les « signes de surface ». En termes bibliques, cela revient à cueillir les fruits de l'Arbre de Vie. Dominique Aubier m'avait même dit que les conditions d'existence changeraient lorsque les hommes consacreraient leur intelligence à pratiquer ce déchiffrement. Il suffirait que chacun le fasse pour soi. La Vie en serait adoucie sur terre…
J'en reviens à mon coq.
Titus,
c'est son nom, devenait bien dodu, menant son existence "pépère" à la
française. Bonne chair, bon climat, un lit bien douillet…
Et voici que survient l'attentat terroriste à Nice. J'ai écrit un article à ce sujet, où j'ai expliqué qu'un kabbaliste, devant un tel événement d'ordre collectif, considère le drame comme un signe majeur frappant l'identité même du pays, et chaque habitant à titre personnel. J'ai établi l'analogie entre la blessure infligée à Nice, dont j'ai entendu le nom en hébreu Netzah, avec la séphirah du même nom.
Netzah, c'est le "triomphe".. La blessure est des plus sérieuses, disais-je, puisque Neztah désigne, sur le corps humain, la cuisse droite. Je rappelais que c'est à cet endroit que fut blessé Jacob, le fils d'Isaac, lorsqu'il franchit le Jourdain, au gué de Yabok. Cette blessure lui fut infligée par un ennemi, un "ange" auquel Jacob fut confronté et qu'il parvint à maîtriser au bout d'une nuit entière de combat. De cette victoire, il tira son nouveau nom, Israël.
Dès lors est Israël, celui qui combat pour l'esprit et qui vainc l'ange adverse.
L'attentat prépétré à Nice-Neztah met en cause la France, en tant qu'unité organique, ayant ses propres séphiroth. Le pays est grièvement touché à l'endroit même où Jacob fut blessé. J'en ai déduit que notre pays est sérieusement atteint, mais nous aussi, en tant qu'individus, car nous sommes ses habitants et nous sommes donc autant de cellules vivantes dans cet organisme. Cette lacération nous touche tous. Nous sommes les indivudus porteur de notre nation. Elle nous porte autant que nous la portons. Et nous souffrons autant qu'elle souffre. De même, nous avons tous, à titre individuel, une mission à accomplir qui se synthétise au niveau national dans le nom de notre pays : Tzarfat.
Dès lors est Israël, celui qui combat pour l'esprit et qui vainc l'ange adverse.
L'attentat prépétré à Nice-Neztah met en cause la France, en tant qu'unité organique, ayant ses propres séphiroth. Le pays est grièvement touché à l'endroit même où Jacob fut blessé. J'en ai déduit que notre pays est sérieusement atteint, mais nous aussi, en tant qu'individus, car nous sommes ses habitants et nous sommes donc autant de cellules vivantes dans cet organisme. Cette lacération nous touche tous. Nous sommes les indivudus porteur de notre nation. Elle nous porte autant que nous la portons. Et nous souffrons autant qu'elle souffre. De même, nous avons tous, à titre individuel, une mission à accomplir qui se synthétise au niveau national dans le nom de notre pays : Tzarfat.
3.Tzarfat, faut-il le rappeler, est le nom hébreu de la France.
Ce nom est mentionné dans la Prophétie Obadia. Valeur numérique 770. Dans ce chapitre biblique, la sortie messianique est prévue. Il dit que les exilés de Jérusalem, répandus en Séfarad, "posséderont les villes du Midi…" Séfarad signifie sefer, descends, livres, descends là. Nous sommes, dans ce texte, dans le cadre de l'ère juive, et la prophétie d'Obadia dit aux exilés de Jérusalem de partir vers Séfarad, c'est-à-dire l'Espagne, et c'est d'ailleurs ce qui s'est produit. En second temps, les exilés se rendront en Tzarfat, c'est-à-dire la France. Les noms des deux pays sont écrits en toute lettres dans la prophétie. Il y a donc deux sorties messianiques, l'une en Espagne, l'autre en France.
Et la France, nous y sommes. Que cela nous plaise ou nous déplaise, nous y vivons. C'est notre pays. Avons-nous le droit de dire, en tant que Français, que c'est « notre pays » sans incommoder l'idéologie mondialiste ? Chaque territoire a sa vocation, sa sensibilité, sa raison d'être au regard de l'absolu, ne se mélangeant à aucun autre, quand bien même hommes et marchandises se déplacent. Chaque région du monde correspond analogiquement à une fonction cérébrale dont elle développe plus spécifiquement un aspect. La distribution des cultures sur terre correspond à une cartographie cérébrale dont les langues rendent témoignages. "Tous les territoire humainement occupés, si petits soient-ils, reçoivent la totalité des données cosmiques. Chacun s'en saisit à sa manière", écrivait mon Maître dans son livre Don Quichotte, la Révélation messianique de la Bible, (p. 418).
4. Nous sommes donc chez nous.
Peut-on le dire sans être taxé de nationaliste ? Chez nous, dans ce pays dont le nom hébreu signifie… purifier, mais aussi changer. Tzar-fat s’entend aussi : pain d’affliction, morceau d’adversité, lieu étroit. Je vous invite à lire l'exégèse du mot Tzarfat dans le livre de Dominique Aubier, "Don Quichotte, le prodigieux secours du messie-qui-meurt…" p. 433. "Dans ce nom, la lettre Tzadé et sa double polarité sont les insignes de son comportement. Toujours entre deux extrêmes. La France s’affirme fortement unitaire quand les contraires se parlent et ils ne se parlent jamais si bien qu’en langue française. C’est pourquoi la France est le territoire du Qorban. Elle est au paroxysme de sa puissance quand elle rapproche les contraires. Elle les met « ensemble » et elle atteint ainsi la véracité communicable qui habite la réalité."
Tzarfat, la France, est blessée à la Séphira Netzah.
4. Nous sommes donc chez nous.
Peut-on le dire sans être taxé de nationaliste ? Chez nous, dans ce pays dont le nom hébreu signifie… purifier, mais aussi changer. Tzar-fat s’entend aussi : pain d’affliction, morceau d’adversité, lieu étroit. Je vous invite à lire l'exégèse du mot Tzarfat dans le livre de Dominique Aubier, "Don Quichotte, le prodigieux secours du messie-qui-meurt…" p. 433. "Dans ce nom, la lettre Tzadé et sa double polarité sont les insignes de son comportement. Toujours entre deux extrêmes. La France s’affirme fortement unitaire quand les contraires se parlent et ils ne se parlent jamais si bien qu’en langue française. C’est pourquoi la France est le territoire du Qorban. Elle est au paroxysme de sa puissance quand elle rapproche les contraires. Elle les met « ensemble » et elle atteint ainsi la véracité communicable qui habite la réalité."
Tzarfat, la France, est blessée à la Séphira Netzah.
Quelques jours plus tard, nouvel attentat, à quelques dizaines de kilomètres de chez moi, à Saint-Etienne du Rouvray. Deux musulmans — excusez-moi de les nommer ainsi, mais c'est bien ainsi qu'ils se nomment eux-mêmes, du moins prétendent-ils l'être, au grand dam des autres musulmans qui, de leur côté, leur dénient cette qualité et réciproquement — pénètrent dans l'église du village et assassinent le prêtre en train d'officier une messe matinale. Cible sélectionnée, pour sa portée symbolique : un religieux, un lieu de culte. Jusqu'au mode d'assassinat par égorgement, dont le geste voudrait évoquer l'immolation sacrificielle. N'est-il pas remarquable d'observer combien ces tueurs sont sensibles aux symboles ? Tandis que nous, braves occidentaux, nous ne croyons qu'aux relations de cause à effet linéaires, aux politiques et actes accomplis dans la neutralité d'une efficacité immédiate.
Ce meurtre, je l'ai appris tandis que j'étais au café du village où je suivais le journal télévisé vers 10 heures du matin. L'attentat s'est déroulé non loin de chez moi. En Normandie. Sidération au bistrot. Un silence de plomb est tombé, chacun se regardant, écrasé par la stupeur.
Revenant à la maison, c'était donc le 27 juillet 2016, sonné par l'assassinat du prêtre Jacques Hamel, je m'aperçois que le coq qui d'habitude trottine dans la cour est couché et ne bouge plus.
Coïncidence ?
Je vais vers lui, pour voir ce qu'il a. Je vois qu'il traine la patte droite. Netzah ? Sur un coq ? Mais oui, lui aussi a sa petite courbe séphirotique ! Il reste couché là, amorphe. Luxation ? Déchirure musculaire ? Au palper vétérinaire, aucune trace de fracture ni de luxation. Infection ? Blocage du gésier ? Le mieux, me dit-on, est de l'installer dans son nid, et le laisser tranquille.
5. Lecture du signe
— Le jour même de l'assassinat du prêtre de Saint Etienne du Rouvray, le coq de mon jardin se retrouve paralysé.
Le coq, animal symbolisant la France, est sérieusement abattu. Il a "encaissé" l'agression portée à l'encontre du pays. Celle de Nice-Netzah (la patte droite) d'abord, puis le meurtre du prêtre.
Depuis, il est là, affaissé, prostré. Et je l'observe en me demandant s'il va s'en tirer. Je lui ai donné un antibiotique et je le force à boire pour éviter la déshydratation. Heureusement que le "véto" habite juste à côté !
Le coq est-il bien l'animal totémique de la France ? Alors, en le voyant réduit à un tel état de faiblesse, j'en déduis que la double blessure mortelle de Nice et St. N. du Rouvray a profondément endommagé son être. L'animal-symbole interprète, dans son corps, la violence portée au corps d'une nation dont il est le représentant.
Que faire ?
A peine le petit coq gémit-il alors que sa souffrance est intense.
Il me permet de lire en direct l'état de notre pays.
Il a besoin de soins, de compassion. Besoin d'être soutenu, défendu.
Il doit être entouré, protégé.
Il a besoin de nourriture — celle qu'il demande, celle de l'esprit. Donc de la Connaissance.
J'ignore si les politiques s'en rendent compte. C'est l'identité même du pays qui se trouve entaillée. Une immense douleur traverse les âmes, depuis l'attentat de Charlie. L'insouciance et la légèreté d'être se sont dissoutes, laissant place à un silence intérieur plein de souffrance, qui ne trouve pas d'exutoire pour s'exprimer.
6. Que faire ?
Intervention du "Veto" ?
Autrement dit : poser un "véto", une limite. Savoir dire "non" ?
En tout cas, se poser les bonnes questions face au vrai problème.
Pourquoi les terroristes islamistes attaquent-ils la France ?
La réponse est ici.
Ensuite, une petite mise au point à propos de certaines naïvetés fort répandues : NON, contrairement à ce qu'imagine le sympathique Pape François Ier, les religions ne sont pas compatibles entre elles. Elles défendent chacune leur pré carré. Les rencontres inter-religieuses organisées à l' initiative du Concile Vatican II, ont échoué. Certes, les bonnes volontés ne manquent pas. Bien sûr, l'imam et le curé peuvent toujours boire un thé ensemble à titre personnel et participer ensemble à toutes sortes de cérémonies. Mais les systèmes religieux ne se dissolvent pas et restent en état de fermeture sur le corps conceptuel de leurs dogmes, cultes, et logique.
Les religions ne peuvent s'entendre entre elles qu'à la condition qu'une synthèse supra-religieuse qui les domine toute aura tiré le décodage universel des symboles représentatifs et que chacune d'elle aura achevé sa propre exégèse sur la base de cette synthèse universaliste. C'est affaire d'actualisation des données, de mise au clair.
Chose faite dans "La Face cachée du Cerveau". Qui s'en est aperçu ? L'Unesco ? Elle devrait en effet (elle aurait dû) soutenir l'édition et les traductions de cette œuvre magistrale. Mais qu'irions-nous espérer quoique ce soit des officiels de la recherche et de la culture quand ils craignent que ces travaux supplantent leurs errances. C'est précisément chez eux que se dresse l'obstacle le plus puissant car ils ont peur de perdre leur autorité (et subsides)… Ah, je ne citerai pas les noms de ceux qui ont tenté de bloquer ce livre, je me refuse à leur accorder cet honneur de parader encore.
Alors, Ami Lecteur, c'est à vous de jouer.
Que faire ?
Ce meurtre, je l'ai appris tandis que j'étais au café du village où je suivais le journal télévisé vers 10 heures du matin. L'attentat s'est déroulé non loin de chez moi. En Normandie. Sidération au bistrot. Un silence de plomb est tombé, chacun se regardant, écrasé par la stupeur.
Revenant à la maison, c'était donc le 27 juillet 2016, sonné par l'assassinat du prêtre Jacques Hamel, je m'aperçois que le coq qui d'habitude trottine dans la cour est couché et ne bouge plus.
Coïncidence ?
Je vais vers lui, pour voir ce qu'il a. Je vois qu'il traine la patte droite. Netzah ? Sur un coq ? Mais oui, lui aussi a sa petite courbe séphirotique ! Il reste couché là, amorphe. Luxation ? Déchirure musculaire ? Au palper vétérinaire, aucune trace de fracture ni de luxation. Infection ? Blocage du gésier ? Le mieux, me dit-on, est de l'installer dans son nid, et le laisser tranquille.
5. Lecture du signe
— Le jour même de l'assassinat du prêtre de Saint Etienne du Rouvray, le coq de mon jardin se retrouve paralysé.
Le coq, animal symbolisant la France, est sérieusement abattu. Il a "encaissé" l'agression portée à l'encontre du pays. Celle de Nice-Netzah (la patte droite) d'abord, puis le meurtre du prêtre.
Depuis, il est là, affaissé, prostré. Et je l'observe en me demandant s'il va s'en tirer. Je lui ai donné un antibiotique et je le force à boire pour éviter la déshydratation. Heureusement que le "véto" habite juste à côté !
Le coq est-il bien l'animal totémique de la France ? Alors, en le voyant réduit à un tel état de faiblesse, j'en déduis que la double blessure mortelle de Nice et St. N. du Rouvray a profondément endommagé son être. L'animal-symbole interprète, dans son corps, la violence portée au corps d'une nation dont il est le représentant.
Que faire ?
A peine le petit coq gémit-il alors que sa souffrance est intense.
Il me permet de lire en direct l'état de notre pays.
Il a besoin de soins, de compassion. Besoin d'être soutenu, défendu.
Il doit être entouré, protégé.
Il a besoin de nourriture — celle qu'il demande, celle de l'esprit. Donc de la Connaissance.
J'ignore si les politiques s'en rendent compte. C'est l'identité même du pays qui se trouve entaillée. Une immense douleur traverse les âmes, depuis l'attentat de Charlie. L'insouciance et la légèreté d'être se sont dissoutes, laissant place à un silence intérieur plein de souffrance, qui ne trouve pas d'exutoire pour s'exprimer.
6. Que faire ?
Intervention du "Veto" ?
Autrement dit : poser un "véto", une limite. Savoir dire "non" ?
En tout cas, se poser les bonnes questions face au vrai problème.
Pourquoi les terroristes islamistes attaquent-ils la France ?
La réponse est ici.
Ensuite, une petite mise au point à propos de certaines naïvetés fort répandues : NON, contrairement à ce qu'imagine le sympathique Pape François Ier, les religions ne sont pas compatibles entre elles. Elles défendent chacune leur pré carré. Les rencontres inter-religieuses organisées à l' initiative du Concile Vatican II, ont échoué. Certes, les bonnes volontés ne manquent pas. Bien sûr, l'imam et le curé peuvent toujours boire un thé ensemble à titre personnel et participer ensemble à toutes sortes de cérémonies. Mais les systèmes religieux ne se dissolvent pas et restent en état de fermeture sur le corps conceptuel de leurs dogmes, cultes, et logique.
Les religions ne peuvent s'entendre entre elles qu'à la condition qu'une synthèse supra-religieuse qui les domine toute aura tiré le décodage universel des symboles représentatifs et que chacune d'elle aura achevé sa propre exégèse sur la base de cette synthèse universaliste. C'est affaire d'actualisation des données, de mise au clair.
Chose faite dans "La Face cachée du Cerveau". Qui s'en est aperçu ? L'Unesco ? Elle devrait en effet (elle aurait dû) soutenir l'édition et les traductions de cette œuvre magistrale. Mais qu'irions-nous espérer quoique ce soit des officiels de la recherche et de la culture quand ils craignent que ces travaux supplantent leurs errances. C'est précisément chez eux que se dresse l'obstacle le plus puissant car ils ont peur de perdre leur autorité (et subsides)… Ah, je ne citerai pas les noms de ceux qui ont tenté de bloquer ce livre, je me refuse à leur accorder cet honneur de parader encore.
Alors, Ami Lecteur, c'est à vous de jouer.
Que faire ?
Je serais tenté de dire : dépasser le stade de la religiosité.
Entrer résolument dans le sacré post-religieux.
Entrer dans la période messianique, synthèse post-religieuse, intégrant le savoir des sciences. Union Connaissance et sciences. C'est une attitude… absolument indiquée par la Torah, par les Evangiles, par le Coran (voir le sens du Ramadan).
Cela ne signifie pas qu'il faille mener la guerre contre les religions. Mais il faut passer résolument à l'étape suivante, les religions n'étant qu'une étape transitoire de la transmission du message. Cet effort, c'est à l'Occident qu'il appartient de le fournir car l'étape messianique, c'est la mission occidentale. C'est même la mission française, que dire, expliquer, élucider. Voir la prophétie Obadia. Cet effort, c'est nous qui devons le faire. C'est en appuyant sur la Connaissance que l'on "dégonflera" l'intégrisme religieux.
Entrer résolument dans le sacré post-religieux.
Entrer dans la période messianique, synthèse post-religieuse, intégrant le savoir des sciences. Union Connaissance et sciences. C'est une attitude… absolument indiquée par la Torah, par les Evangiles, par le Coran (voir le sens du Ramadan).
Cela ne signifie pas qu'il faille mener la guerre contre les religions. Mais il faut passer résolument à l'étape suivante, les religions n'étant qu'une étape transitoire de la transmission du message. Cet effort, c'est à l'Occident qu'il appartient de le fournir car l'étape messianique, c'est la mission occidentale. C'est même la mission française, que dire, expliquer, élucider. Voir la prophétie Obadia. Cet effort, c'est nous qui devons le faire. C'est en appuyant sur la Connaissance que l'on "dégonflera" l'intégrisme religieux.
Lire à ce sujet :
— "Catalina la Bonne aventure dite aux Français". (Comment ? Vous n'avez pas ce livre ?
C'est pourtant une très belle étude sur le sens de la mission française.)
— "La Face cachée du Cerveau". Le Code des archétypes du Réel. Un livre messianique.
— Voir le film : "Le Messianisme".
7. Epilogue
J'ai proposé l'amour comme arme contre le terrorisme.
Un amour impitoyable qui ait le courage de dire la vérité. L'amour et le cœur.
Parce qu'il y a des personnes qui m'ont dit que dans mes textes, je manquais de cœur.
A quoi je réponds : le coeur, c'est le mot hébreu "Leb". Lamed + Bet. Ce qui signifie : enseigner la structure. C'est ce que je fais. Avec bonne volonté, avec cœur.
"A vot' bon coeur", dirais-je, à ceux qui me critiquent (et qui me lisent attentivement !)
Question : se pourrait-il que les intégristes terroristes assument le rôle des anges maudits, comme celui qui avait tendu son piège contre Jacob ? Se peut-il que l'islam tienne le rôle de l'adversaire, prêt à nous prendre à la gorge si nous restons cloîtrés dans notre attitude de "béni-oui-oui" ? Car avoir du coeur, cela ne signifie pas être sot. Etre solidaire, je suis d'accord, si c'est pour produire tous ensemble l'acte de lucidité supérieur : sommes-nous réduits, par notre philosophie égalitariste, à ne point oser nommer l'adversaire ? Nous refusons l'idée même qu'il puisse en exister un, tant nous sommes convaincus que la laïcité, garante de la paix civile, nous dispense de posséder une identité. Une identité dont nous aurions honte ? Nous sommes anesthésiés par les philosophes de l'édonisme et nous frayons trop avec l'irréalisme des pseudos penseurs qui n'ont du réel que l'expérience de leur jactance. Bavardage sur bavardage, ils occupent les tribunes médiatiques, nous assommant de concepts qui ne résistent pas une seconde devant la réalité.
La réalité du coeur exige non le sentimentalisme, mais la clarté des points de vue.
J'ose, pour ce qui me concerne, dire que l'intégrisme musulman est la signature d'une religion bloquée dans sa lecture littérale (Zahir). Elle n'a produit aucune exégèse (Tawîl) de ses propres symboles. Les soufis ont appelé à cette exégèse. Leurs efforts ont été brisés par les appareils politiques. Les meilleurs d'entre eux furent assassinés, comme Mansûr Al-Hallaj. Quant à l'élite musulmane, elle s'est délitée. Aujourd'hui, elle est absente.
Reste un islam de masse ignorant de lui-même, de sa mission, de ses propres textes, reprochant au monde, à l'Occident, son "infidélité", alors qu'il est lui-même l'obstacle à l'émergence d'une métaphysique dévoilée.
Mais, bonne nouvelle !
Ce dévoilement… il est déjà là. Il est déjà fait… Il est tout entier décrit et donné dans ce livre : "La Face cachée du Cerveau" ! Le Code ! Il est là, ouvertement dévoilé.
Il n'est que de le faire connaître, de notre mieux, autour de nous. Alors à nous de jouer.
J'espère qu'ainsi, par notre action, le coq se remettra de sa blessure…
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POST-SCRIPTUM
J'ai écris ce livre au sujet de l'Islam : pour y voir clair.
FATIMAH, LA DELIVRANCE DE L'ISLAM
C'est une étude sur le Jihad. Sur le sens des lettres non-lues du Coran. La parousie du Mahdi. Les yeux d'Ismael. Le sens du Ramadan. Le sens du voile. L'antagonisme Ismael - Israel. L'intégrisme islamique.
FATIMAH, LA DELIVRANCE DE L'ISLAM
C'est une étude sur le Jihad. Sur le sens des lettres non-lues du Coran. La parousie du Mahdi. Les yeux d'Ismael. Le sens du Ramadan. Le sens du voile. L'antagonisme Ismael - Israel. L'intégrisme islamique.
J'étudie dans ce livre :
1. Le retour des formes intégristes
2. Fondamentalisme sous regard initiatique
3. Fondamentalisme et conversion
4. L'Éternel retour et Etat islamique
5. Chîîsme et sunnisme
6. L'Occident et l'intégrisme
7. Faut-il construire des mosquées ?
1. Le retour des formes intégristes
2. Fondamentalisme sous regard initiatique
3. Fondamentalisme et conversion
4. L'Éternel retour et Etat islamique
5. Chîîsme et sunnisme
6. L'Occident et l'intégrisme
7. Faut-il construire des mosquées ?
Il faudrait envoyer ce livre aux députés et sénateurs, aux élus, pour qu'ils se rendent compte de l'enjeu civilisateur et comprennent que cela dépasse leurs petites luttes pour le pouvoir. L'envoyer au Président de la République et autres prétendants à la fonction…
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Supplément : Comment lire un signe ?
Voici l'enseignement du Maître (extrait du livre "Alzheimer, sous regard kabbalistique" par Dominique Aubier) :
"La cohérence de la doctrine du Sacré s’enracine dans la carte à trous de l’événementialité, celle qui est à chacun nous personnelle et celle qui nous est commune, collective. La puissance de voir, de comprendre d’un initié dépend du pivot qu’il enfonce profondément dans la substance privative de son être, jusqu’à toucher celle qui est le bien de tous. Ces données d’essence privée doivent être exposées à ciel ouvert, parce qu’elles ouvrent sur le Ciel. Leur émission publique en fait des éclats holographiques du Tout. Ce qui est dit ainsi participe à la condensation du support général. La pensée cosmique en est éclaircie. Sa révélation gagne en puissance. C’est le rôle des moyens intimistes que la rendre perceptible quand ils sont exprimés. Leur substance concrètement déposée augmente l’épaisseur matérielle du réel. Leur pointillisme s’avère d’une immense utilité puisqu’il aide à voir ce qui est trop vaste et trop haut pour être regardé. Intercession d’un pragmatisme évident. Donnant vue sur le général, il permet au particulier de s’ajuster à son projet. Un être de connaissance se fie en permanence à cette disposition : il ne crache pas un jet de salive sans se demander pourquoi il en a eu le désir. Et s’il ne le sait pas, il enquête."
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