Le Secret de la Rosée (3)
Dans un blog précédent, j'abordais la question du messianisme. Un mot qui fait peur et qui effarouche les sensibilités rationnelles. Pas de quoi sursauter. Le messianisme est tout simplement un état de la Révélation.
3 La démarche messianique.
Après l'époque où la Connaissance s'exprimait en terme métaphoriques et symboliques, le Temps, toujours à l'œuvre, a permis que nous accédions à une nouvelle étape. Nous en sommes à la seconde instance cyclique et cela depuis plusieurs décennies déjà.
Tous ceux qui prétendent que le « secret » doit être gardé retardent d'une ou deux générations. Ou alors ils prétendent garder un secret dont eux-même ignorent tout. Dès lors, leur gardiennage est vain, et ils se gaussent de défendre un joyau alors qu'ils en deviennent les geôliers. C'est là une erreur intellectuelle, car avec ou sans eux, la Connaissance dévoilée, révélée, se répand, et change le monde. Elle est déjà à l'œuvre. Elle est à la disposition de tous — et cependant réservée à une élite. Cette élite ne fonde pas son excellence sur un privilège de naissance, mais elle se compose très démocratiquement de tous les esprits désirant fournir l'effort de s'en emparer. Il suffit de savoir lire, et de se donner soi-même les moyens d'ouvrir la brèche en se munissant des outils nécessaires. Quelques livres… encore faut-il bien choisir lesquels.
Le temps est venu, prévu par toutes les Traditions, qui toutes connaissent la règle : à la seconde grande étape, les choses doivent être dites ouvertement. Et c'est la science qui « ouvre le bal » de ce cycle nouveau, étant l'agent de Gauche signalant que le moment est venu.
La science est actrice de messianisme et cela quand bien même les chercheurs rationalistes haussent leurs épaules à la simple prononciation de ce mot. Ils ne se rendent pas compte que lorsqu'ils parviennent à déférer quelque vérité, leur découverte est une participation à l'émancipation humaine face aux mystères de la Vie. Toute découverte scientifique (je dis bien "découverte" et non pas simple description) procède ainsi… du messianisme. La science, paradoxalement, nie la démarche messianique, et c'est bien compréhensible au regard de la dualité qu'elle forme avec la Connaissance. Elle nie son partenaire d'En-Face, de peur de rencontrer en elle une concurrence qui lui prendrait la priorité au titre de l'importance sociale. La science tremble de perdre sa primauté (et ses subsides) ; c'est la voie de Gauche qui s'imagine posséder la seule méthode pour accéder à la vérité des choses. La science ignore sa position structurelle de partenariat. Lire à ce sujet : la Synthèse des Sciences.
Dans ce livre, Mon Maître s'est employée à faire de la science son partenaire. Elle a ainsi réalisé l'Union Connaissance et sciences, l'Union des Contraires, appelée Qorban en hébreu ou Jam al Jam en arabe conceptualisé des soufis. Le partenaire de la Connaissance, c'est la science. Je dis bien la Science et non pas la philosophie. Car la philosophie n'ouvre aucun mystère du réel, n'établit aucune règle sur ses propres investigations et ne dépose pas de conclusion exploitable. Elle laisse une impression d'entendement et procure je ne sais quel sentiment étrange de satisfaction — ou de désespoir. Elle est un « non lieu » où l'esprit ne peut se poser. Cependant, j'ai pour elle le plus grand respect : je respecte Kant (bien qu'il fut antisémite), Hegel et autres Heidegger. J'ai de la tendresse pour Nietzsche en tant que Poète et son intuition de l'Eternel Retour ; je suis surpris par Spinoza (plus kabbaliste que philosophe) et je suis stupéfait par les aisances locutoires de quelques modernes qui emplissent d'inutilités scintillantes les espaces médiatiques. Mais la philo — je sais que cela déplaira aux amis de Paul Ricœur — n'est pas le partenaire désigné de la Connaissance…
C'est pourquoi je regrette que toute une école de rabbins très brillants se soient impliqués dans ce domaine, croyant que ce serait bonne méthode de recherche que croiser le fer ou synerger avec cette discipline de l'incertain.
Mon Maître, ayant l'esprit bien chevillé au réel, sans rien ignorer de la philosophie, ne s'est pas trompée en élisant pour partenaire les Sciences de la Vie. On trouvait dans sa bibliothèque le Zohar, Talmud, Torah, et bien entendu Don Quichotte — également les titres les plus pertinents d'autres Traditions, Coran, Hadiths, Ibn'Arabî, Al Hallaj, Mahabharata. Et une impressionnante série de livres sur les Traditions et rites du monde : elle aura passé au crible les travaux des ethnologues pour rassembler, en une seule étude, la synthèse unitaire mettant au jour l'identité du modèle commun à toutes ces expressions de la pensée sacrée : trouver ce qui unit les hommes, par delà la diversité des formes expressives. C'était là un vœu de Krishnamurti, Aurobindo, Mircea Eliade, René Guénon, de Raymond Abellio qui parle (mais sans l'identifier) de l'existence d'un Code des Codes, et de Paul Virilio. Ce fut la grande espérance de Teilhard de Chardin, et de nombreux chercheurs de vérité, tel Paul Valéry qui rêvait de trouver ce qu'il appelait « l'agent général de toutes les fusions ».
Ce travail a été fait. Le « Code des codes » est explicité. Dévoilé. Démontré. Donné à voir au grand jour. C'est cela, le « grand saut » dont rêvait le philosophe Kierkegaard. L'identité de la Matrice universelle a été ouverte, expliquée : c'est chose faite dans un livre monumental : La Face cachée du Cerveau — Et l'on s'étonne que l'UNESCO ne s'en soit pas émue alors que c'est justement sa vocation que soutenir pareille mise au point… Cette Institution, actuellement sévèrement critiquée pour ses manquements, pourra-t-elle survivre si elle ne finit par intégrer les résultats déposés par ce grand-œuvre ?
Dans un blog précédent, j'abordais la question du messianisme. Un mot qui fait peur et qui effarouche les sensibilités rationnelles. Pas de quoi sursauter. Le messianisme est tout simplement un état de la Révélation.
3 La démarche messianique.
Après l'époque où la Connaissance s'exprimait en terme métaphoriques et symboliques, le Temps, toujours à l'œuvre, a permis que nous accédions à une nouvelle étape. Nous en sommes à la seconde instance cyclique et cela depuis plusieurs décennies déjà.
Tous ceux qui prétendent que le « secret » doit être gardé retardent d'une ou deux générations. Ou alors ils prétendent garder un secret dont eux-même ignorent tout. Dès lors, leur gardiennage est vain, et ils se gaussent de défendre un joyau alors qu'ils en deviennent les geôliers. C'est là une erreur intellectuelle, car avec ou sans eux, la Connaissance dévoilée, révélée, se répand, et change le monde. Elle est déjà à l'œuvre. Elle est à la disposition de tous — et cependant réservée à une élite. Cette élite ne fonde pas son excellence sur un privilège de naissance, mais elle se compose très démocratiquement de tous les esprits désirant fournir l'effort de s'en emparer. Il suffit de savoir lire, et de se donner soi-même les moyens d'ouvrir la brèche en se munissant des outils nécessaires. Quelques livres… encore faut-il bien choisir lesquels.
Le temps est venu, prévu par toutes les Traditions, qui toutes connaissent la règle : à la seconde grande étape, les choses doivent être dites ouvertement. Et c'est la science qui « ouvre le bal » de ce cycle nouveau, étant l'agent de Gauche signalant que le moment est venu.
La science est actrice de messianisme et cela quand bien même les chercheurs rationalistes haussent leurs épaules à la simple prononciation de ce mot. Ils ne se rendent pas compte que lorsqu'ils parviennent à déférer quelque vérité, leur découverte est une participation à l'émancipation humaine face aux mystères de la Vie. Toute découverte scientifique (je dis bien "découverte" et non pas simple description) procède ainsi… du messianisme. La science, paradoxalement, nie la démarche messianique, et c'est bien compréhensible au regard de la dualité qu'elle forme avec la Connaissance. Elle nie son partenaire d'En-Face, de peur de rencontrer en elle une concurrence qui lui prendrait la priorité au titre de l'importance sociale. La science tremble de perdre sa primauté (et ses subsides) ; c'est la voie de Gauche qui s'imagine posséder la seule méthode pour accéder à la vérité des choses. La science ignore sa position structurelle de partenariat. Lire à ce sujet : la Synthèse des Sciences.
Dans ce livre, Mon Maître s'est employée à faire de la science son partenaire. Elle a ainsi réalisé l'Union Connaissance et sciences, l'Union des Contraires, appelée Qorban en hébreu ou Jam al Jam en arabe conceptualisé des soufis. Le partenaire de la Connaissance, c'est la science. Je dis bien la Science et non pas la philosophie. Car la philosophie n'ouvre aucun mystère du réel, n'établit aucune règle sur ses propres investigations et ne dépose pas de conclusion exploitable. Elle laisse une impression d'entendement et procure je ne sais quel sentiment étrange de satisfaction — ou de désespoir. Elle est un « non lieu » où l'esprit ne peut se poser. Cependant, j'ai pour elle le plus grand respect : je respecte Kant (bien qu'il fut antisémite), Hegel et autres Heidegger. J'ai de la tendresse pour Nietzsche en tant que Poète et son intuition de l'Eternel Retour ; je suis surpris par Spinoza (plus kabbaliste que philosophe) et je suis stupéfait par les aisances locutoires de quelques modernes qui emplissent d'inutilités scintillantes les espaces médiatiques. Mais la philo — je sais que cela déplaira aux amis de Paul Ricœur — n'est pas le partenaire désigné de la Connaissance…
C'est pourquoi je regrette que toute une école de rabbins très brillants se soient impliqués dans ce domaine, croyant que ce serait bonne méthode de recherche que croiser le fer ou synerger avec cette discipline de l'incertain.
Mon Maître, ayant l'esprit bien chevillé au réel, sans rien ignorer de la philosophie, ne s'est pas trompée en élisant pour partenaire les Sciences de la Vie. On trouvait dans sa bibliothèque le Zohar, Talmud, Torah, et bien entendu Don Quichotte — également les titres les plus pertinents d'autres Traditions, Coran, Hadiths, Ibn'Arabî, Al Hallaj, Mahabharata. Et une impressionnante série de livres sur les Traditions et rites du monde : elle aura passé au crible les travaux des ethnologues pour rassembler, en une seule étude, la synthèse unitaire mettant au jour l'identité du modèle commun à toutes ces expressions de la pensée sacrée : trouver ce qui unit les hommes, par delà la diversité des formes expressives. C'était là un vœu de Krishnamurti, Aurobindo, Mircea Eliade, René Guénon, de Raymond Abellio qui parle (mais sans l'identifier) de l'existence d'un Code des Codes, et de Paul Virilio. Ce fut la grande espérance de Teilhard de Chardin, et de nombreux chercheurs de vérité, tel Paul Valéry qui rêvait de trouver ce qu'il appelait « l'agent général de toutes les fusions ».
Ce travail a été fait. Le « Code des codes » est explicité. Dévoilé. Démontré. Donné à voir au grand jour. C'est cela, le « grand saut » dont rêvait le philosophe Kierkegaard. L'identité de la Matrice universelle a été ouverte, expliquée : c'est chose faite dans un livre monumental : La Face cachée du Cerveau — Et l'on s'étonne que l'UNESCO ne s'en soit pas émue alors que c'est justement sa vocation que soutenir pareille mise au point… Cette Institution, actuellement sévèrement critiquée pour ses manquements, pourra-t-elle survivre si elle ne finit par intégrer les résultats déposés par ce grand-œuvre ?
4 Sciences et Connaissance au service de la vérité.
Se dotant des meilleures références dans les domaines scientifiques, mon Maître devint une spécialiste en biologie, botanique, zoologie. Sans rien ignorer de l'astrophysique. Les volumes du Traité de Paléontologie étaient en bonne place dans sa bibliothèque, non moins les ouvrages les plus pointus sur les neurosciences publiés chez les éditeurs spécialisés. Autodidacte suspecte diront les sceptiques, à ceci près qu'elle s'entourait précisément d'amis scientifiques… qui ne manquaient pas de l'interroger sur des questions qu'elle comprenait mieux qu'eux, justement grâce à cette double culture lui permettant d'avoir sur le monde un regard binoculaire là où la science isolée ne vise qu'avec un monocle. Le neurologue Henri Laborit et d'autres sommités n'ont pas craint de rencontrer l'Initiée — à un certain niveau de culture il n'existe plus d'appréhension idéologique mais uniquement le désir de comprendre et de progresser.
Je me souviens d'une après-midi passée avec quelques personnalités du monde de la Recherche. Il y avait là, entre autres, Paul Forlot, excellent cuisinier et titulaire de je ne sais combien de doctorats. Expert en biochimie, docteur en botanique et… dermatologie. La discussion portait sur… Adam et Eve. Se posait l'énigme du fameux Serpent. Pour résoudre la question, Dominique Aubier a écarté l'interprétation psychanalytique en ce qu'elle est fondée sur une imagerie symbolique dont l'interprétation sexuelle classique est peu solide. Mais elle a consulté les Textes (Torah), en a fait la lecture scripturaire hébraïque étudiant les mots, la sémantique, mais surtout les Lettres. Et parallèlement, elle a consulté le Traité de Zoologie où les spécialistes ont consacré d'intenses recherches sur les Ophidiens. Grâce au tir croisé Connaissance et Sciences, elle a non seulement évité les redites traditionnelles ou les banalités sexuelles des commentateurs modernes, mais elle a pu établir une étude aboutie de l'Archétype « Serpent » (Nahasch). Elle avança même des suggestions sur la composition des protéines du venin dont l'expert en biochimie a pris bonne note pour parfaire ses recherches sur les antidotes.
Une autre discussion passionnante eut lieu le lendemain, à propos de l'Alzheimer, du rôle essentiel du symbolisme dans la formation de l'esprit et de sa capacité à nourrir la pensée. Si bien que le symbolisme et l'éducation à la pensée symbolique pourraient bien constituer un rempart à l'Alzheimer qui, selon Dominique Aubier, serait la conséquence d'une indigence collective de notre société ultra-matérialiste à la perception des symboles… Avec Dominique Aubier, le faisceau de la Science rejoint la lumière de la Connaissance, et de la convergence résulte l'intelligence dessillée. Cette convergence se nomme, dans le langage des Soufis, le Tawîd. Il est attendu et espéré depuis des siècles. Et voilà, c'est chose faite.
Bon, je vous ai lassé en parlant (encore) de mon Maître. Mais franchement, dites-moi qui a fait mieux et j'irai lui cirer les bottes !
Se dotant des meilleures références dans les domaines scientifiques, mon Maître devint une spécialiste en biologie, botanique, zoologie. Sans rien ignorer de l'astrophysique. Les volumes du Traité de Paléontologie étaient en bonne place dans sa bibliothèque, non moins les ouvrages les plus pointus sur les neurosciences publiés chez les éditeurs spécialisés. Autodidacte suspecte diront les sceptiques, à ceci près qu'elle s'entourait précisément d'amis scientifiques… qui ne manquaient pas de l'interroger sur des questions qu'elle comprenait mieux qu'eux, justement grâce à cette double culture lui permettant d'avoir sur le monde un regard binoculaire là où la science isolée ne vise qu'avec un monocle. Le neurologue Henri Laborit et d'autres sommités n'ont pas craint de rencontrer l'Initiée — à un certain niveau de culture il n'existe plus d'appréhension idéologique mais uniquement le désir de comprendre et de progresser.
Je me souviens d'une après-midi passée avec quelques personnalités du monde de la Recherche. Il y avait là, entre autres, Paul Forlot, excellent cuisinier et titulaire de je ne sais combien de doctorats. Expert en biochimie, docteur en botanique et… dermatologie. La discussion portait sur… Adam et Eve. Se posait l'énigme du fameux Serpent. Pour résoudre la question, Dominique Aubier a écarté l'interprétation psychanalytique en ce qu'elle est fondée sur une imagerie symbolique dont l'interprétation sexuelle classique est peu solide. Mais elle a consulté les Textes (Torah), en a fait la lecture scripturaire hébraïque étudiant les mots, la sémantique, mais surtout les Lettres. Et parallèlement, elle a consulté le Traité de Zoologie où les spécialistes ont consacré d'intenses recherches sur les Ophidiens. Grâce au tir croisé Connaissance et Sciences, elle a non seulement évité les redites traditionnelles ou les banalités sexuelles des commentateurs modernes, mais elle a pu établir une étude aboutie de l'Archétype « Serpent » (Nahasch). Elle avança même des suggestions sur la composition des protéines du venin dont l'expert en biochimie a pris bonne note pour parfaire ses recherches sur les antidotes.
Une autre discussion passionnante eut lieu le lendemain, à propos de l'Alzheimer, du rôle essentiel du symbolisme dans la formation de l'esprit et de sa capacité à nourrir la pensée. Si bien que le symbolisme et l'éducation à la pensée symbolique pourraient bien constituer un rempart à l'Alzheimer qui, selon Dominique Aubier, serait la conséquence d'une indigence collective de notre société ultra-matérialiste à la perception des symboles… Avec Dominique Aubier, le faisceau de la Science rejoint la lumière de la Connaissance, et de la convergence résulte l'intelligence dessillée. Cette convergence se nomme, dans le langage des Soufis, le Tawîd. Il est attendu et espéré depuis des siècles. Et voilà, c'est chose faite.
Bon, je vous ai lassé en parlant (encore) de mon Maître. Mais franchement, dites-moi qui a fait mieux et j'irai lui cirer les bottes !
5 La délivrance du symbolisme
Ceci concerne les ethnologues et les étudiants de cette discipline dont je constate qu'elle ne progresse pas. Précisément parce qu'elle n'a pas intégré l'élucidation proposée. Un ostracisme comme un autre, venant simplement du fait que la solution n'est pas venue de ses propres rangs. Un peu d'ouverture, que Diable !
Ceci concerne les ethnologues et les étudiants de cette discipline dont je constate qu'elle ne progresse pas. Précisément parce qu'elle n'a pas intégré l'élucidation proposée. Un ostracisme comme un autre, venant simplement du fait que la solution n'est pas venue de ses propres rangs. Un peu d'ouverture, que Diable !
Dominique Aubier a fait sortir le message de la Tradition, en actualisant les termes et la compréhension de la Connaissance. « Savoir, c'est une chose précise, écrit-elle. Les
indiens Hopi appellent le symbolisme "la pensée des nuages". Elle
s'obtient par évaporation de l'eau, premier élément dans lequel s'est
réalisée l'évolution animale. Mais les nuages montent dans l'air, et
c'est là qu'il faut les voir et en recevoir la pluie. Et nous y sommes,
aujourd'hui : il faut décortiquer les rites, les casser comme des
amandes pour manger le sens qui est dedans. C'est la seule façon de
pouvoir régler le problème des intégrismes, des nationalismes, des
identités. Rendre intelligibles des formes cristallisées qui
immobilisent l'esprit et saturent la conscience. Trouver le sens qui est
derrière toute langue, c'est la libérer. Parce que derrière tous les
rites, il y a la langue, et dans la langue, l'identité. »
L'essentiel, c'est que le message de délivrance soit là, énoncé d'une manière conforme à l'air du temps. Et ce travail est offert en partage à tous, suivant en cela l'exemple symbolisé par… Don Quichotte affrontant les moulins (de la pensée conventionnelle).
Et moi, je fais de même, en assumant la publication des ouvrages qui réalisent cette performance. Et poursuivre, si possible une œuvre personnelle dans le prolongement du Maître. « Le Temps a son exigence et je ne saurais servir aux esprits d'aujourd'hui un message écrit dans un langage trop vieux pour être assimilé correctement et dans toute son exactitude. Mon langage doit être adapté au Temps et ma Connaissance doit intégrer l'apport du Temps et les dévoilements successifs réalisés par les initiés qui m'ont précédé. Je n'ai pas le droit de manquer une étape et je dois, en acquérant la maison, non pas reconstruire depuis la fondation, en ignorant ce qui a été dit et fait, mais veiller à actualiser. Je dois consolider, renouveler, perfectionner. Et habiter les lieux favorables en homme de mon temps, sans craindre de percer des ouvertures vers plus de lumière ».
Cela ne peut se faire qu'avec l'aide des Lecteurs, des Amis, tous ceux qui désirent s'impliquer dans la Connaissance au niveau requis d'une actualisation libératrice.
--------------
Une fois que la Rosée s'est déposée, et qu'elle a été bue, l'Initié devient Fontaine…
La suite de l'article dans un prochain blog où je traiterai du concept de la Fontaine.
Pour revenir vers les articles précédents :
— Le Secret de la Rosée 1
— Le Secret de la Rosée 2
PS : Après avoir écrit ce texte, je suis allé déjeuner. Un plat du jour à 10 euros, au village. Et voilà que le serveur, sans que je lui demande rien, m'apporte une carafe de vin rosé qu'il pose sur la table : « Offert par la maison », me dit-il, tout heureux de son initiative. J'accepte, en me répétant ma dernière phrase : une fois que la rosée est bue… allons vers la Fontaine… La Vie semble confirmer l'utilité de cette étude. Prochain Blog : Le Secret de la Fontaine.
— Vous pouvez donner votre avis sur ce blog.
— Poser des questions qui m'aideront à améliorer mes recherches.
— Venir me voir et prendre un café (ou un verre de rosé) ensemble.
L'essentiel, c'est que le message de délivrance soit là, énoncé d'une manière conforme à l'air du temps. Et ce travail est offert en partage à tous, suivant en cela l'exemple symbolisé par… Don Quichotte affrontant les moulins (de la pensée conventionnelle).
Et moi, je fais de même, en assumant la publication des ouvrages qui réalisent cette performance. Et poursuivre, si possible une œuvre personnelle dans le prolongement du Maître. « Le Temps a son exigence et je ne saurais servir aux esprits d'aujourd'hui un message écrit dans un langage trop vieux pour être assimilé correctement et dans toute son exactitude. Mon langage doit être adapté au Temps et ma Connaissance doit intégrer l'apport du Temps et les dévoilements successifs réalisés par les initiés qui m'ont précédé. Je n'ai pas le droit de manquer une étape et je dois, en acquérant la maison, non pas reconstruire depuis la fondation, en ignorant ce qui a été dit et fait, mais veiller à actualiser. Je dois consolider, renouveler, perfectionner. Et habiter les lieux favorables en homme de mon temps, sans craindre de percer des ouvertures vers plus de lumière ».
Cela ne peut se faire qu'avec l'aide des Lecteurs, des Amis, tous ceux qui désirent s'impliquer dans la Connaissance au niveau requis d'une actualisation libératrice.
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Une fois que la Rosée s'est déposée, et qu'elle a été bue, l'Initié devient Fontaine…
La suite de l'article dans un prochain blog où je traiterai du concept de la Fontaine.
Pour revenir vers les articles précédents :
— Le Secret de la Rosée 1
— Le Secret de la Rosée 2
PS : Après avoir écrit ce texte, je suis allé déjeuner. Un plat du jour à 10 euros, au village. Et voilà que le serveur, sans que je lui demande rien, m'apporte une carafe de vin rosé qu'il pose sur la table : « Offert par la maison », me dit-il, tout heureux de son initiative. J'accepte, en me répétant ma dernière phrase : une fois que la rosée est bue… allons vers la Fontaine… La Vie semble confirmer l'utilité de cette étude. Prochain Blog : Le Secret de la Fontaine.
— Vous pouvez donner votre avis sur ce blog.
— Poser des questions qui m'aideront à améliorer mes recherches.
— Venir me voir et prendre un café (ou un verre de rosé) ensemble.