IRMA ou Maria et autres cataclysmes. Comment en sortir ?
Et si les responsables, c'étaient nous ?
Car "Le Devenir du Monde est lié à celui de l'Homme".
Nous ne sommes pas les observateurs extérieurs d'une planète qui se trouverait sous l'objectif d'un microscope. Cette planète, c'est la nôtre, la seule sur laquelle nous puissions vivre. Elle est notre vaisseau spatial et nous supporte. Il se pourrait bien que son temps soit compté… et le nôtre aussi. Dès lors, à quoi bon tous ces reportages télé sur les catastrophes, pourquoi nous montrer tous ces gens désespérés, si on ne nous dit pas comment faire pour éviter les malheurs ?
Les experts savent tout. Ils expliquent tout… sauf la méthode par laquelle nous tirer d'affaire.
Les signes sont clairs. Ils s'expriment dans la réalité, dans les faits. Dominique Aubier écrit à ce sujet :"il faut que les faits traduisent l'intention de la Vie pour que nous puissions lire en eux le conseil qu'elle donne. C'est à quoi servent certains événements très contrariants… "
1. Etre réaliste et lire le "guézer".
Les îles sont sinistrées. Les gens partent. Mais si la terre entière est touchée, nous n'aurons pas d'autre planète où nous réfugier. Il s'agit donc d'être réaliste.
J'ai déjà attiré l'attention sur le fait que notre monde dépend de nous et que nous dépendons de lui. Que c'est notre acte de conscience qui produit les effets observables dans le réel : le MI agit sur le MA. Nous sommes les principaux acteurs dans l'affaire, par notre puissance de pensée, nous déclenchons les événements. La pensée est à elle-même inductrice d'information et l'information ne peut que tendre vers sa métabolisation, suivant un processus désormais bien connu et observable dans la biochimie. Cela est enseigné dans les classes de lycée, je parle du processus menant de l'ADN vers l'ARN puis la protéine s'enroulant sur elle-même. L'acte accompli (protéine) est le résultat d'une information donnée loin en amont, après qu'elle ait subit les différentes transmissions (ARN de transfert, Arn-messager). La fibre terminale, observable en fin de cycle n'est que l'enroulement matériel de tout ce qui s'est décidé en préliminaire. Il est impossible d'agir sur la protéine constituée. On ne peut agir qu'au niveau de l'induction informationnelle.
En terme kabbalistique cela revient à dire qu'on observe le « guézer » et que l'on fait une « guézera cheva », une lecture du signe permettant de voir la tendance de l'information initiale. On s'adapte à cette information, on en tient compte, on prévoit ses conséquences. En deuxième temps surgissent les symboles. Ils constituent l'étape où l'information se métabolise sous forme imagée ou représentative. C'est l'étape bien connue des kabbalistes, dans la formule du PARDES (étape du Remez) mise au point par Rabbi Aqiba. Le symbolisme interprète l'information, la met en scène, la représente mais n'en donne pas encore la constitution réaliste achevée. Il est une étape transitoire vers l'événement accompli. Tout cela est clairement expliqué dans le livre "La Face cachée du Cerveau", par la kabbaliste Dominique Aubier.
Alors ces tempêtes, ouragans et cataclysmes… ne sont peut-être que des signes, des symboles préfigurant une catastrophe bien plus grande qui ne toucherait plus seulement les îles, mais la planète entière.
2. Est-il déjà trop tard ?
Il se pourrait bien que nous soyons à l'étape symbolique (mais très réelle pour les habitants concernés) dans le sens où les îles des Caraïbes symbolisent et représentent la France dans son microcosme. L'étape suivante verra peut-être se déverser sur la métropole une tempête sans précédent ? Cela dépend de notre manière de penser. Donc d'agir sur cette réalité. Mais comment agir ? En pleurnichant ? « Reprendre la vie comme avant » ai-je entendu dire à la télé. Quoi ? Qu'après une telle catastrophe, on veuille « vivre comme avant », comme si rien ne s'était produit ? Au contraire. Il y a avant et après. Le signe a été énorme. N'en pas tenir compte serait criminel. Raison de mon appel : après l'étape symbolique, nous passons à l'étape du "Drash", la phase de l'allégorie. Peut-être que ces tempêtes en sont déjà l'expression et nous sommes en retard sur la compréhension… Avons-nous encore le temps, ou est-il déjà trop tard ?
2. Agir au bon moment.
Il faut agir au moment où c'est encore possible. Le moment de l'action est parfaitement circonscrit et connu des initiés.
Après que le symbole se soit déclaré, l'énergie de l'information pénètre dans son grand deuxième cycle (en "BOP") et subit les inflexions propres à ce stade. C'est à l'entrée du BOP que l'on peut agir. Ayant pris conscience de ce qui se trame depuis le début, ayant bien compris le sens du symbole, on peut agir et introduire des éléments dans le cycle, en réalisant des symboles agissant à leur tour sur le cycle. C'est la raison même de mon article et des livres que je signale. L'initié agit à l'entrée du BOP, et il agit en créant des actes symboliques. Il n'agit jamais en actant sur le fait accompli. Car c'est alors trop tard. Il existe un moment stratégique où l'action de l'initié est possible et efficace : le seul endroit, c'est à l'instant où l'énergie pénètre (par la droite) dans la seconde phase de son déroulé (Bop). L'espace est resserré, le temps est court, mais il existe une brèche dans le cycle, par laquelle il est possible d'introduire un acte symbolique qui agira sur la suite.
***Pour bien comprendre ce processus, relire "La Face cachée du Cerveau". Le code des archétypes : comment agir avec les symboles.
Pour être au fait de l'importance de notre implication dans le processus naturel, voir le livre :
"Le Devenir du Monde est lié à celui de l'Homme".
À nous de jouer ! Car si nous agissons correctement, le Devenir du Monde peut changer. Mais agir efficacement, cela suppose que l'on mène l'action en se conformant aux lois archétypales. Et notre dialogue avec l'Invisible, il faut l'engager selon les règles acceptées par ce Partenaire. Parler SON langage, dans SES termes à lui. On est loin des incantations lyriques exprimées aux Nations-Unies…
Pour être à la page de la pensée, de l'action à mener et pour y participer pleinement, lire et faire lire :
"Ces désastres qu'on nous fabrique"
Votre (notre) action est déterminante.
Tous les livres de Dominique Aubier ont été écrits pour que le Réveil se produise.
Colère sur la "Ma"… implique mansuétude sur le "Mi".
L'espoir est permis.
2 commentaires:
IRMA, puis MARIA
Juste une lettre de plus le A, aleph redoublé.
Les séismes ne sont pas nommés, juste notés comme à l'école.
" Comment en sortir? Agir sur le monde avec le symbole. " titre Dominique B. pour cet article stimulant.
Hasard des coïncidences ( pour ceux qui y croient ), je finis de lire le livre de Philippe Besson : Un personnage de roman. Il s'agit d'Emmanuel Macron dont il a suivi intimement le parcours élyséen.
Voici exactement ce que lui a dit le tout nouvel élu à propos de ses premiers pas ( page 243-244) :
"Je savais que les Français me regardaient. J'étais obsédé par la nécessité d'être à la hauteur.Il faut comprendre que la matière n'est que symbolique. Tout ce qui n'est pas symbolique est du temps perdu et de l'énergie gaspillée. Il y a, bien sûr, des actions à mener, des choses à bouger : c'est le symbolique et le quotidien."
Plus tout à fait les yeux du passé, non ?
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