Le meurtre de Maëlys. Un crime satanique.
« il suffit que le Rapprochement ait été opéré, pour qu'aussitôt le Serpent se dresse. »p. 230 vol II
Par respect du Droit, je prie les lecteurs d'ajouter par eux-mêmes l'expression « présumé innocent » chaque fois que cela serait nécessaire. J'ai utilisé à cette fin l'abréviation « p. i. ».
Notre sommes tous sidérés par l'effroyable meurtre de la petite Maëlys. J'ai évoqué le sujet dans un article précédent, mais sous le coup de l'émotion, je ne suis pas allé au bout de ma pensée. J'ai hésité, parce que la douleur que provoque un tel drame ne peut faire l'objet d'aucun commentaire. En effet, je crois à la force silencieuse de la compassion partagée. Je veux également éviter de donner relief à son tueur (p.i.) et je me refuse à jamais écrire son nom tant j'estime qu'il s'est retiré, par son acte, de la communauté des humains.
Être lucides face à l'acte commis.
Reste l'attitude que le présumé affiche,
ses aveux, soigneusement calculés et dosés. Il est nécessaire, non pas de juger — un tribunal le fera — mais d'être lucides face à l'acte commis, face à celui (p. i.) qui l'a perpétré et ses manigances riches d'inventions.
Les psychologues ont fait un portrait. Ils disposent certes d'une méthodologie expérimentale
pour décoder les comportements. Mais ne restent-ils pas démunis face
à ce genre d'énergumènes dont l'intelligence déjoue leurs spéculations ? J'observe
que même les spécialistes en criminologie paraissent désemparés dans cette affaire, du moins ceux que j'ai entendus s'exprimer sur le sujet, tant leur
science, dépourvue de grille de lecture fiable, semble incertaine au regard de l'ontologie criminelle. Psychiatres, psychanalystes se sont succédé sur les ondes exprimant leurs opinions, toutes respectables, mais souvent désorientées, confrontées qu'elles sont là, à une puissance
mentale résistant à ce qu'ils ont pu expérimenter au cours de leurs carrières : le rationalisme en effet
a une immense difficulté à reconnaître qu'une entité puisse défier ses
catégories. Sans vouloir minimiser leur science, fort utile pour comprendre les actions et réaction humaines, ce
que certains professionnels ont qualifié de «
perversion narcissique » me semble répondre plus d'une impuissance de leur expertise que d'un véritable
diagnostic. Les descriptions psychologisantes aussi savantes soient-elles sous des dénominations somptueuses délivrent-elles l'identité de l'énergie en œuvre dans ces individus ? Les qualifier de pervers les amuse, les assortir de narcissisme les flatte. Associer les deux les fait exulter.
Qui est le tueur de Maëlys ?
J'ai eu le privilège d'avoir été formé par la
kabbaliste Dominique Aubier, et l'une des choses qu'elle m'a enseignée,
c'est que pour aborder la Connaissance du monde et de la réalité, il fallait s'extraire d'une certaine naïveté et savoir que les forces
du mal existent.
« L'ignorance du mal est une carence de notre culture » écrit-elle dans un livre où elle a démontré l'emprise satanique du nazisme.
Les forces du mal existent en tant que tel, et sont portées par certains êtres qui leur sont dévouées. Elles viennent habiter certains individus qui les accueillent avec joie et s'en portent, pour leur plus grand plaisir, les exécuteurs. Il n'est que notre candeur rationaliste pour croire en la « psychologisation » de ces énergumènes qui exploitent fort bien notre étonnante croyance en des schémas socioculturels, historiques ou familiaux prétendument responsables de leur comportement. Cette crédulité de la pensée rationaliste, typiquement occidentale à l'endroit du Mal, serait acceptable si elle n'aboutissait à justifier, excuser leurs actes, faisant des tueurs les victimes d'une société produisant, selon eux, parmi ses excès et déchets, des êtres comme eux. Pauvreté, illettrisme, misère sociale, chômage seraient alors responsables de la criminalité, nous disent les brillances naïves de l'érudition conventionnelle.
Qui est il ?
Son État Civil m'importe peu.
Son
passé m'est indifférent. — Et que l'on cesse de le désigner comme «
l'ancien militaire ». C'est blesser tous ceux qui ont été militaires que
d'établir un lien analogique entre le tueur-avoué (p. i.) et eux.
Je ne sais rien de sa condition sociale et ne désire pas la connaître, refusant d'entrer dans ce jeu où l'on cherche à cerner la personnalité de l'assassin (p. i.) par les prétendues conjectures psycho-analytique qui l'auraient potentiellement conduit un jour à « devenir hélas le malheureux tueur (p. i.) d'une victime… aussi innocente que lui ». J'entends déjà ce raisonnement que la Défense garde sous le coude. Et il se trouvera un expert puissamment diplômé pour soutenir cette thèse. Je rejette ce raisonnement en ce qu'il n'est qu'une fantaisie cherchant à embrouiller les esprits afin de cacher la véritable identité du « présumé innocent ».
Dans le meurtre de Maëlys, qui est à l'œuvre ?
Je suis très sérieux en posant cette question : qui est à la manœuvre
dans cette affaire. Qui ? La Tradition connaît ses modalités de pensée, ses
rituels, ses vices. La Tradition en a expérimenté la puissance,
l'intelligence, la perversion et en a décrit les ressources. L'entité
animant ces misérables porte un nom. Compte tenu
du crime commis, du
comportement de son présumé auteur (innocent présumé), de ses paroles, de ses modalités de pensée,
nous aurons tôt fait de repérer qui, à travers ces typifications, agit.
Puis-je le dire ? C'est SATAN. Lui aussi, bien sûr, innocent présumé.
Ayant dit cela, j'entends les ricanements de ceux qui croient qu' « il n'existe que des faiblesses humaines plus ou moins graves ». Il n'y aurait, selon eux, « ni bien ni mal, mais juste des nuances de gris entre les deux » et dont il faudrait s'accommoder. Ce sont là d'immenses sottises d'esprits inconséquents n'ayant pas été confrontés à la réalité de ce sur quoi ils se permettent d'opiner. Leur point de vue est d'une indigence navrante, défiant la longue expérience que l'humanité a faite du mal, au cours des siècles. Le Mal, avec une majuscule, il existe. Autant s'en instruire afin de l'identifier, le reconnaître. Le démasquer. Si possible en venir à bout.
Satan, vous n'y croyez pas ?
C'est votre liberté. Les Évangiles lui consacrent plus d'une page, Jésus lui-même l'aurait rencontré à trois reprises. « Les gens ne croient pas au mal.
Même quand il les étrangle », écrit le grand écrivain allemand Goethe
qui a parfaitement cerné la problématique dans Faust. Relisant
son œuvre, on s'aperçoit que l'une des astuces de Satan consiste
précisément à dérouter nos esprits de sorte que l'on ne croit pas en son
existence, ce qui lui permet d'augmenter en puissance, au vu et au su
de tous, sans se dissimuler, s'affichant de plus en plus, jusqu'à ce qu'un éclair de lucidité nous amène soudain
à nous dire, mais trop tard : « c'était donc Toi ? »
Selon ce que j'ai appris par Goethe, Satan est l'acteur du mal absolu, mais il ne peut agir par lui-même : il a besoin d'un bras humain pour perpétrer son projet, besoin d'un exécuteur
accomplissant le forfait ; il lui faut devenir homme au motif d'un contrat passé avec lui. Satan et l'homme devenant alors indissociables, unis par un pacte monstrueux. Mais que ce soit clair, et Goethe le souligne : l'homme signataire du pacte satanique n'est pas victime, car c'est librement et en toute conscience qu'il en paraphe le parchemin. La responsabilité de l'individu est totale et il ne faudrait pas conclure, par l'existence de Satan, que le meurtrier ait été en quelque sorte conditionné par quelque engrammation lointaine dont il répéterait, à son insu, la gravité.
Les stratégies sataniques sont nombreuses. L'une de ses manigances, outre le meurtre, consiste à augmenter de la douleur qu'il inflige à la victime et aux proches par toutes sortes de procédés se rajoutant à l'acte même. Il n'est pas « juste » le tueur occasionnel (p. i.) d'une enfant. Ce serait se contenter de trop peu. Satan veut plus. Toujours plus de plaisir, jouissance qu'il s'accorde également sur le dos de la collectivité, de la société dont il sait combien elle est démunie de tout outil de compréhension qui permettrait de le démasquer. Cet agissement secret, — le mot « pervers » consacré par les professionnels est bien trop faible pour en décrire l'extraordinaire corruption — est au cœur de son avilissement. Dès lors lui conférer un « portrait psychologique » peut sembler intéressant pour la biographie, à ceci près que Satan ne fait qu'une bouchée de tous les experts venant l'interroger, en ce qu'il domine leur science, étant mieux instruit qu'eux, par une inspiration non livresque mais ontologique : autrement dit, c'est le Mal lui-même qui est son instructeur et guide. Il n'entre dans aucune des catégories pré-établies par l'Université, ou au contraire, il les remplit toutes, s'amusant une nouvelle fois de l'étroitesse des grilles de classification qui prétendent l' « expliquer ».
Satan est hors norme.
Dès lors la « normalité » de l'entendement ne le cerne pas. Il appartient à un autre « registre » que celui du « mal ordinaire ». Pour appréhender son « registre » il faut nous départir de notre mode de raisonnement causal fondé sur les « sciences cognitives » : en effet, Satan est un fin connaisseur de ces sciences-mêmes qui prétendraient le déjouer. Ainsi, l'interprétation neuro / psycho / génético / logique… devient l'instrument même de Satan en ce qu'il se réfugie derrière cette vanité que nous aurions de vouloir le « guérir ». Satan s'amuse de notre crédulité — et c'est la maladie de notre siècle — quand nous estimons que seule l'exégèse scientifique serait authentique et recevable face au mal auquel la science justement ne croit pas : Satan nous invite à croire au diagnostic rationnel de sa prétendue maladie, précisément afin d'échapper une fois de plus à son identification réelle.
Satan est hors norme.
Dès lors la « normalité » de l'entendement ne le cerne pas. Il appartient à un autre « registre » que celui du « mal ordinaire ». Pour appréhender son « registre » il faut nous départir de notre mode de raisonnement causal fondé sur les « sciences cognitives » : en effet, Satan est un fin connaisseur de ces sciences-mêmes qui prétendraient le déjouer. Ainsi, l'interprétation neuro / psycho / génético / logique… devient l'instrument même de Satan en ce qu'il se réfugie derrière cette vanité que nous aurions de vouloir le « guérir ». Satan s'amuse de notre crédulité — et c'est la maladie de notre siècle — quand nous estimons que seule l'exégèse scientifique serait authentique et recevable face au mal auquel la science justement ne croit pas : Satan nous invite à croire au diagnostic rationnel de sa prétendue maladie, précisément afin d'échapper une fois de plus à son identification réelle.
La mise en scène démoniaque.
Acte
premier, Satan fomente, prépare son forfait. Il n'est pas simplement opportuniste. Il est certes toujours aux aguets : « le diable ne dort jamais », c'est bien connu. Mais il est surtout calculateur, planificateur. Et longtemps à l'avance, il se raconte le plan qu'il prépare, détermine le calendrier de son projet et aime le récit qu'il s'en fait : première jubilation.
Acte 2 : c'est le passage à l'acte, et c'est une nouvelle jouissance lorsque
la perversion lui réussit : il (p.i.) a choisi, pour frapper son coup, un jour de mariage, union sacrée de deux personnes décidées de lier leurs vies. Il parvient à se faire inviter à ce mariage. Ce jour là, célébration d'union, promesse de vie, il choisit de porter la mort. La satisfaction qu'il en a tirée, outre l'acte même d'assassiner, a dû être intense. Nos âmes normalement équilibrées ont du mal à imaginer la possibilité d'une telle dépravation.
Acte 3 : il se retire, demeure silencieux,
observe le malheur qu'il a provoqué, retourne au mariage et se réjouit du spectacle de la
détresse d'autrui. Nouveau contentement. Dissimulation, maquillage de la voiture dont la mise en vente était, elle aussi, prévue de longue date.
Acte 4 : plus ou moins suspect, l'exercice en devient plus intellectuel, confronté qu'il est à des interrogatoires. Sûr de dominer ce qu'il considère comme un jeu, il s'amuse de la justice, se moque des policiers. Défie
les juges de ne jamais le coincer, allant même demander sa remise en liberté.
Au fond, le vrai désir de Satan, outre le plaisir qu'il éprouve à tuer, c'est paradoxalement… de se faire prendre, afin que son acte soit connu, qu'on le lui attribue et qu'il puisse démonter sa supériorité à tous.
A l'acte 5 : mis en difficulté par la
science, il avoue son forfait, comme si ses aveux étaient encore nécessaires… Ses aveux méritent un commentaire : ils interviennent après que la science ait démontré sa culpabilité. Ils ne servent donc plus de rien. Si ce n'est qu'il montre par là combien il reste le maître du jeu ayant réservé
ses aveux en lieu, date et place que lui seul décide. C'est en effet lui qui a convoqué le juge pour étaler son aveu, c'est lui qui a imposé à la justice le calendrier de son programme.
Ses aveux n'ont émergé qu'une fois que la science a parlé : acculé, il veut immédiatement reprendre la main, cherchant à diminuer la pertinence de la vérité objective, amoindrir ainsi le poids de la preuve en théâtralisant la séance de sa pseudo-rédemption. Nous faire croire, en « avouant », qu'il lui resterait une molécule d'humanité… tout en dosant très subtilement le poids de chaque mot composant ces « aveux »… La science, en effet, a prouvé la présence de la victime dans le coffre de sa voiture mais le raisonnement scientifique, fondé sur l'objectivité rationnelle de l'observation ne peut évidemment pas visionner la scène du crime et en produire le film. Jouant sur cette faiblesse, et en tirant même les avantages, il avoue et pose simultanément la théorie de l' « accident » faisant de lui l'innocent que nous sommes obligés de présumer.
On se souviendra du Tartuffe de Molière, exultant à la joie de s'avouer coupable de ses perversités. Aveux prévus, dans des termes choisis et pesés. Car Satan a besoin d'être reconnu, d'être vu : raison pour laquelle il revendique son acte tout en se laissant des possibilités d'échappatoire. Chez Satan, l'aveu n'est point regret. Bien au contraire, c'est pour lui une occasion nouvelle de pavoiser dans l'affirmation orgueilleuse de ce qu'il considère comme une performance. Il tire à lui les projecteurs médiatiques, affiche même une mine désolée, présente des excuses à sa victime et sa famille : nouveau maléfice que rechercher la rédemption quand il ne s'agit que de la sordide satisfaction simulée dans une mise en scène configurée dans son esprit, et de longue date, depuis l'acte 1.
Ses aveux n'ont émergé qu'une fois que la science a parlé : acculé, il veut immédiatement reprendre la main, cherchant à diminuer la pertinence de la vérité objective, amoindrir ainsi le poids de la preuve en théâtralisant la séance de sa pseudo-rédemption. Nous faire croire, en « avouant », qu'il lui resterait une molécule d'humanité… tout en dosant très subtilement le poids de chaque mot composant ces « aveux »… La science, en effet, a prouvé la présence de la victime dans le coffre de sa voiture mais le raisonnement scientifique, fondé sur l'objectivité rationnelle de l'observation ne peut évidemment pas visionner la scène du crime et en produire le film. Jouant sur cette faiblesse, et en tirant même les avantages, il avoue et pose simultanément la théorie de l' « accident » faisant de lui l'innocent que nous sommes obligés de présumer.
On se souviendra du Tartuffe de Molière, exultant à la joie de s'avouer coupable de ses perversités. Aveux prévus, dans des termes choisis et pesés. Car Satan a besoin d'être reconnu, d'être vu : raison pour laquelle il revendique son acte tout en se laissant des possibilités d'échappatoire. Chez Satan, l'aveu n'est point regret. Bien au contraire, c'est pour lui une occasion nouvelle de pavoiser dans l'affirmation orgueilleuse de ce qu'il considère comme une performance. Il tire à lui les projecteurs médiatiques, affiche même une mine désolée, présente des excuses à sa victime et sa famille : nouveau maléfice que rechercher la rédemption quand il ne s'agit que de la sordide satisfaction simulée dans une mise en scène configurée dans son esprit, et de longue date, depuis l'acte 1.
Il est difficile de deviner ce que Satan mijote dans les dédales obscurs de sa pensée. La première difficulté, pour nous, est de nous libérer du « narcotique de la naïveté intellectuelle face au Mal » (l'expression est de F. Nietzsche). Il est donc quasi certain que dans un acte 6 à venir, il déroulera la suite d'une machination
dont il écrit les rouages : c'était un « accident » a-t-il prévenu. Je le vois venir, dans le non-dit de ce qu'il nous prie de penser à sa place : c'est un accident et… c'est tout juste si la victime n'était
pas elle-même responsable de sa propre mort prétendument « accidentelle ». Et donc c'est lui, le tueur (p. i.)
qui serait injustement accusé. Et il pense cela, parce qu'il sait qu'il
trouvera, dans l'opinion, telle âme compatissante,
compréhensive, admettant qu'après tout, « il est un homme comme les
autres » et que certes « il n'y a pas de bien ou de mal, mais justes des nuances entre le bien et le mal. »
Ne sont-ce pas là ces « naïvetés thérapeutiques », ajoutant à l'euphorie de Satan qui tire de ces
innocences une force inouïe : il en tire le sentiment d'une victoire sur
la vérité, chaque fois que l'un de ses stratagèmes réussit. Ainsi, il ne
manquera pas de simuler telle faiblesse — demander son hospitalisation pour « dépression », exiger qu'on le soigne, et qui sait, qu'on lui apporte
des chocolats — au plus grand mépris des parents de la victime qui sont,
eux, dans la souffrance totale.
Feindre une faiblesse — avec talent —, est-ce une nouvelle manœuvre destinée à nous faire croire chez lui en une possible fragilité humaine ? Qui peut se laisser prendre à telle duperie dont on voit bien ce qu'elle appelle : nous faire admettre qu'il serait, lui aussi, une victime alors qu'il est l'instigateur (p. i.) de la machination au sein de laquelle il tient le rôle principal…
Feindre une faiblesse — avec talent —, est-ce une nouvelle manœuvre destinée à nous faire croire chez lui en une possible fragilité humaine ? Qui peut se laisser prendre à telle duperie dont on voit bien ce qu'elle appelle : nous faire admettre qu'il serait, lui aussi, une victime alors qu'il est l'instigateur (p. i.) de la machination au sein de laquelle il tient le rôle principal…
La pensée de Satan.
Il m'est difficile d'accepter la gentille mansuétude que son avocat ne manquera pas d'appeler à la rescousse, selon
laquelle il serait « un homme comme vous et moi ». Nouveau stratagème qu'établir une relation « entre nous et lui » car cela revient
justement, sur ce plan d'égalité, à faire de vous et moi l'égal du
monstre (p.i.). Donc de nous rendre solidaire de sa déchéance, et qu'en conséquence, nous serions appelés à le sauver afin de nous sauver nous-même, étant, comme lui, des misérables.
Eh oui. La pensée de Satan va jusque-là, et bien plus loin encore. Et si j'en ai compris les mécanismes, c'est parce que mon Maître, initiée et ennemi du mal, m'a enseigné certaines choses sur la puissance du mal, sa force psychique, son extraordinaire propension à ne jamais renoncer à sa superbe. Ce sont des choses qu'aucune école, hélas, ne nous enseigne… Le Mal ne vit que pour cela : d'une part, être le mal, le perpétrer et le célébrer ; et d'autre part, détruire, briser, tuer la Vie. Tout en troublant nos vues et nos esprits de sorte que nous ne nous apercevions de rien.
Le voici sur scène, ce Satan auquel personne ne croira. C'est là qu'il veut paraître. Le crime commis (pardon : l' « accident ») n'est au fond pour lui que l'expédiant lui permettant de monter sur les planches du théâtre judiciaire. Il tue (p.i.)… afin d'être la vedette de son procès qui lui donnera l'occasion de jouer le grand rôle dont il prévoit les répliques, les épisodes, les ponctuations. Son défenseur « qui ne fait que son métier » a laissé entendre plus de choses qu'il ne dit réellement.
Mon Maître, avec qui j'ai vécu pendant plusieurs années en Espagne, m'avait enseigné une grande leçon : nous habitions alors dans un village en Andalousie où personne n'exprimait jamais explicitement sa pensée, ni en bien, ni en mal. Si je voulais m'intégrer, me disait-elle, alors il me faudrait toujours écouter les niveaux de langage, restituer systématiquement le non-dit, attraper au vol l'allusion subtile. Cela s'appelle « cojer al vuelo » disait-elle. Même la pensée la plus positive, ou le plus beau compliment, rien ne se disait explicitement. Il fallait comprendre les métaphores, décoder les allusions, n'en rien dire et à l'occasion, renvoyer la balle en usant de la même technique. Tout le village communiquait sur ce mode. Ce fut un apprentissage difficile que pénétrer la pensée impliquée mais dissimulée, laissant toutefois percer suffisamment d'éléments de surface pour que l'on puisse sonder les eaux profondes de l'indicible. Cette école — pur pragmatisme social — me fut profitable à plus d'une occasion lorsque, revenant en France, je pus, grâce à mon Maître, parfaire ma formation en lecture de signes et décryptages de textes.
Dans le cas présent, j'ai remarqué la technique de l'Avocat. Dès avant le procès qui ne se tiendra que dans quelques années, il inocule dans l'esprit de l'opinion des idées dont il sait qu'elles porteront leur fruit le moment venu. Travail sur le Temps, sur la puissance qu'a le Verbe de créer la pensée, d'orienter l'opinion, de percer et s'imposer le moment venu.
Questions : vous est-il déjà arrivé de subir les implications d'une pensée que quelqu'un vous a plantée dans l'esprit ? Un individu instille dans votre conscience sa volonté, et amène votre pensée à compléter le non-dit selon des termes qu'il a parfaitement calculés… et voici que vous vous comportez exactement comme il le voulait…
C'est exactement ce que fait avec nous l'Avocat du tueur (p. i.). Et moi, ici, dans ce Blog, je veux d'emblée, immédiatement, détruire l'idée qu'il tente de faire passer, selon laquelle cet individu serait « un homme comme vous et moi ».
Je veux m'interdire que ces quelques mots puissent, par leur propre puissance, croître en mon esprit jusqu'à ce que, pris par la niaiserie du « sentiment d'humanité partagée » j'admette leur validité et me range à la suite de l'argumentation déjà préparée. Homme de justice respectable, l'Avocat fait son métier… Mais n'est-il pas manipulé par celui qu'il défend et dont la puissance intellectuelle le domine ? Ayant pour client Satan (p. i.) en personne, il en deviendra le plus génial des Avocats, décuplant ses capacités imaginatives au delà de ce qu'il pourrait jamais concevoir par lui-même. Ses capacités de persuasion, de conviction se verront démultipliées par l'inspiration au service de laquelle il se met. Dès maintenant, on entend ces surprenantes affirmations destinées à flécher l'argumentaire à venir, au soutien du tueur-avoué (p. i.).
Alors, que penser de sa demande d'hospitalisation ? Encore une entaille portée dans le corps d'un enfant qu'il ne cesse de meurtrir, d'une vie qu'il ne cesse de dérober et de détruire ?
Dès maintenant, monsieur l'Avocat, je récuse l'autorité de cette idée fallacieuse selon laquelle l'assassin (p. i.) de Maëlys serait « un homme comme vous et moi ». Non, monsieur l'Avocat, votre Client n'est pas « un homme comme vous et moi ». En tout cas, pas comme moi. Et je ne suis pas comme lui et ne le serai jamais. Car je n'ai rien en partage avec lui, dès lors que par son (ses ?) actes (p. i.) il s'est lui-même séparé de l'humanité que j'aurais pu partager avec lui.
Alors, que penser de sa demande d'hospitalisation ? Encore une entaille portée dans le corps d'un enfant qu'il ne cesse de meurtrir, d'une vie qu'il ne cesse de dérober et de détruire ?
Dès maintenant, monsieur l'Avocat, je récuse l'autorité de cette idée fallacieuse selon laquelle l'assassin (p. i.) de Maëlys serait « un homme comme vous et moi ». Non, monsieur l'Avocat, votre Client n'est pas « un homme comme vous et moi ». En tout cas, pas comme moi. Et je ne suis pas comme lui et ne le serai jamais. Car je n'ai rien en partage avec lui, dès lors que par son (ses ?) actes (p. i.) il s'est lui-même séparé de l'humanité que j'aurais pu partager avec lui.
En hébreu, Satan c'est Schaitan
שטן
C'est le nom biblique de l'Adversaire. Qui est-il, que veut-il ?
Voici quelques précisions tirées de mes lectures :
שטן
C'est le nom biblique de l'Adversaire. Qui est-il, que veut-il ?
Voici quelques précisions tirées de mes lectures :
— « Satan
est d’abord une information. Trois lettres construisent son unité
informationnelle. Schin, Teit et Noun. Le Schin symbolise le Verbe et ses étapes de dévoilement. C'est une lettre magnifique, mais ici, dans le mot Satan, il est en initiale, pointé du côté gauche, non précédé d'Aleph ou de Yod. C'est donc un verbe n'acceptant rien avant lui, qui se pose en instructeur du cycle qu'il prétend gouverner de sa propre puissance. Il en crée le symbolisme (Teit) et en conditionne l'humanité (Noun). Pour comprendre la dynamique de la lettre Schin et ses deux formes, se reporter à ce livre, Le Principe du Langage ou l'Alphabet hébraïque.
— « Dans la symbolique hébraïque, Satan, en sa forme active est appelé Samaël… Son envergure psychologique fait son génie… et le rationalisme n'y croit pas. »
— « Il s’oppose au dynamisme normal de la vie. Il est
donc par définition celui qui se met en travers. » Il est la volonté qui se retourne contre la Vie.
— « Satan
déteste la vie, hait l’intelligence, sauf la sienne. » Mais un rien de méditation fondé sur l’Absolu
l’anéantit.
— « Satan essaie de retenir l’énergie
humaine, il veut empêcher la conscience de passer le pont… Il veut tout immobiliser… D'où son désir de tuer et mettre fin à toute évolution. Il ne
craint qu’une chose : la vérité et le déplacement de l’énergie. La
spécialité de Satan, c’est de détourner l'énergie à son profit.
Il édifie son action sur ce capital de vie volée. »
A-t-il commis d'autres crimes ?
L'enquête le déterminera. Je n'ose publier ce que j'en pense, étant donné que je n'ai aucune preuve de quoi que ce soit. Et si je parle de « tueur » il faut bien évidemment faire suivre ce mot de toutes les modérations indispensables afin que soit préservée la présomption de l'innocence. Mais une chose est certaine, c'est que sa victime était innocente et que Satan (p.i.), n'est pas un débutant en matière de crime. Il est perfectionniste, appliqué, tout impliqué dans son projet. Semble même parfois animé d'une sorte de zèle tout particulier, afin que son forfait éclate au grand jour. Il trouve là l'opportunité de nous défier dans notre humanité. Vouloir faire de nous ses égaux, nous rabaisser à son niveau.
A-t-il commis d'autres crimes ?
L'enquête le déterminera. Je n'ose publier ce que j'en pense, étant donné que je n'ai aucune preuve de quoi que ce soit. Et si je parle de « tueur » il faut bien évidemment faire suivre ce mot de toutes les modérations indispensables afin que soit préservée la présomption de l'innocence. Mais une chose est certaine, c'est que sa victime était innocente et que Satan (p.i.), n'est pas un débutant en matière de crime. Il est perfectionniste, appliqué, tout impliqué dans son projet. Semble même parfois animé d'une sorte de zèle tout particulier, afin que son forfait éclate au grand jour. Il trouve là l'opportunité de nous défier dans notre humanité. Vouloir faire de nous ses égaux, nous rabaisser à son niveau.
Le déni de sépulture.
J'ai été frappé — écœuré — d'apprendre que le tueur (p. i. involontaire selon lui), non content d'avoir mis fin aux jours de la fillette, a « déposé » son corps dans un ravin inaccessible de la montagne. Le mot « déposé » a été repris en boucle sur les ondes de France-Info. J'ignore qui est l'initiateur de ce terme, répété à l'infini dans les journaux radiophoniques en continu. Ce mot pudique de « déposé » pour désigner l'acte de l'agresseur (p. i.) se débarrassant du corps de sa victime m'a semblé un euphémisme cachant une réalité autrement plus sordide.
J'ai été frappé — écœuré — d'apprendre que le tueur (p. i. involontaire selon lui), non content d'avoir mis fin aux jours de la fillette, a « déposé » son corps dans un ravin inaccessible de la montagne. Le mot « déposé » a été repris en boucle sur les ondes de France-Info. J'ignore qui est l'initiateur de ce terme, répété à l'infini dans les journaux radiophoniques en continu. Ce mot pudique de « déposé » pour désigner l'acte de l'agresseur (p. i.) se débarrassant du corps de sa victime m'a semblé un euphémisme cachant une réalité autrement plus sordide.
Je n'ai entendu personne commenter cet acte-là. Il revêt pourtant un caractère très significatif quant à la volonté animant l'auteur de ce geste. Cela fait partie de son scénario dont l'intention s'écrit de plus en plus précisément. Je tiens à démasquer cette intention, la rendre publique, afin de neutraliser l'emprise qu'il a imposée à sa Victime, après la mort.
Car enfin, abandonnant le corps à la surface des pierres d'un ravin, en pleine nature, il a refusé à sa victime toute forme de sépulture humaine, la laissant en proie aux bêtes sauvages et à la décomposition à ciel ouvert. Cet acte de refus, décidé, prévu, calculé s'ajoute au meurtre. Une manière de tuer une seconde fois l'enfant à laquelle il dénie le droit à l'inhumation : a-t-il voulu par là enlever à Maëlys son appartenance à l'espèce humaine, réduire son corps à la dimension d'un objet méprisable ? L'humanité primitive honorait ses morts, l'Homme de Néandertal même fleurissait ses sépultures, et c'est par cet acte culturel, social, entouré de respect que l'humanité s'est extraite de l'obscurité pour devenir pleinement consciente de sa propre vie. Le présumé innocent n'a pas « déposé » le corps, comme l'ont gentiment dit les médias, mais abandonné. Lui refusant la sépulture — ne serait-ce qu'un sommaire monticule de pierre protégeant la dépouille —, ne s'est-il pas lui-même retiré de la Civilisation ? Ne s'est-il pas rangé du côté de la bestialité, la barbarie, le monde des Négateurs, des Monstres avec lesquels nous n'avons rien en partage ?
Comment vaincre Satan ?
Il s'agit en effet de l'empêcher de triompher. De supprimer ses pouvoirs, le démasquer jusque dans ses ultimes replis. D'abord, se mettre soi-même à l'abri, raison pour laquelle j'ai veillé à respecter le Droit et sa présomption d'innocence (p.i.).
Il faut dépouiller Satan de sa prérogative, de son pouvoir.
Il existe, indique le dictionnaire du prof. Abraham Elmaleh (éd. Yavneh, Tel Aviv 1957), en hébreu cette expression : « ouvrir la bouche à Satan ». Elle signifie, dit-il, qu'il ne faut pas fournir à Satan l'occasion de sévir contre nous et ne pas lui donner d'argument contre nous. Raison pour laquelle, dans le cas présent, le Satan reste silencieux, car il attend qu'on lui fournisse les arguments qu'il puisse réfuter. Il me semble donc qu'il faudrait non plus chercher ses aveux, mais l'isoler totalement, ne plus lui parler, ne plus l'interroger. Car quoiqu'il dise, tout est faux et mensonge.
Je veille, dans ma réflexion, à lui retirer la possibilité de recourir à la Science, dont il accepterait volontiers les secours, s'il elle venait, du haut de sa brillante technicité, trouver en lui quelque défaillance motivée par la prétendue « raison pure » de la philosophie ou quelque « complexe d'Œdipe » tout aussi insaisissable. Satan étant lui-même docteur honoris causa de sa propre cause, il déjoue toute forme de raisonnement scientifique, le retournant en sa faveur, parvenant même à faire de la science son alliée en ce qu'elle démontrerait… quelque pseudo-pathologie existante ou qu'un savant épris de scientisme inventera tout spécialement pour l'occasion.
Ôter les pouvoirs au tueur (p.i.) revient à diminuer les forces sataniques tout entière. Pour cela, il faut agir. Comment ? D'abord avoir le courage de le nommer, afin de lui opposer les forces qu'il déteste. Or la seule manière de dominer Satan est de recourir à ce qu’il interdit : la Vie. Satan n’a qu’un seul ennemi : l’Absolu. C'est donc l'Absolu, la Vérité qui en viendront à bout.
Le Zohar, grand livre de la Tradition hébraïque, dit que « la délivrance ne dépend que de l'anéantissement des âmes de la catégorie d'Amaleq ». Pour cela, mettre en œuvre toutes les forces d'Amour, véritable fondement du Monde.
Contre Satan, l'usurpateur, se dressent les puissances de la Vie. Les puissances du Cœur.
Satan est celui qui se prétend maître du monde, issu de l'Inversion qu'il voudrait édicter en origine. Je le dénie cette puissance.
Ce sont donc les forces de l'Amour, puissamment réaffirmées, qui portent la jeune Victime vers sa victoire et qui anéantiront le Prince des Ténèbres.
Il faut dépouiller Satan de sa prérogative, de son pouvoir.
Il existe, indique le dictionnaire du prof. Abraham Elmaleh (éd. Yavneh, Tel Aviv 1957), en hébreu cette expression : « ouvrir la bouche à Satan ». Elle signifie, dit-il, qu'il ne faut pas fournir à Satan l'occasion de sévir contre nous et ne pas lui donner d'argument contre nous. Raison pour laquelle, dans le cas présent, le Satan reste silencieux, car il attend qu'on lui fournisse les arguments qu'il puisse réfuter. Il me semble donc qu'il faudrait non plus chercher ses aveux, mais l'isoler totalement, ne plus lui parler, ne plus l'interroger. Car quoiqu'il dise, tout est faux et mensonge.
Je veille, dans ma réflexion, à lui retirer la possibilité de recourir à la Science, dont il accepterait volontiers les secours, s'il elle venait, du haut de sa brillante technicité, trouver en lui quelque défaillance motivée par la prétendue « raison pure » de la philosophie ou quelque « complexe d'Œdipe » tout aussi insaisissable. Satan étant lui-même docteur honoris causa de sa propre cause, il déjoue toute forme de raisonnement scientifique, le retournant en sa faveur, parvenant même à faire de la science son alliée en ce qu'elle démontrerait… quelque pseudo-pathologie existante ou qu'un savant épris de scientisme inventera tout spécialement pour l'occasion.
Ôter les pouvoirs au tueur (p.i.) revient à diminuer les forces sataniques tout entière. Pour cela, il faut agir. Comment ? D'abord avoir le courage de le nommer, afin de lui opposer les forces qu'il déteste. Or la seule manière de dominer Satan est de recourir à ce qu’il interdit : la Vie. Satan n’a qu’un seul ennemi : l’Absolu. C'est donc l'Absolu, la Vérité qui en viendront à bout.
Le Zohar, grand livre de la Tradition hébraïque, dit que « la délivrance ne dépend que de l'anéantissement des âmes de la catégorie d'Amaleq ». Pour cela, mettre en œuvre toutes les forces d'Amour, véritable fondement du Monde.
Contre Satan, l'usurpateur, se dressent les puissances de la Vie. Les puissances du Cœur.
Satan est celui qui se prétend maître du monde, issu de l'Inversion qu'il voudrait édicter en origine. Je le dénie cette puissance.
Ce sont donc les forces de l'Amour, puissamment réaffirmées, qui portent la jeune Victime vers sa victoire et qui anéantiront le Prince des Ténèbres.
Je souhaite que ce Blog y contribue.
10 commentaires:
Bonjour et merci pour votre analyse. Une question me vient et je souhaite vous la soumettre : Achem n’est-il pas le Maître de toute chose ?
Je pense que ce que vous appelez Satan n'est autre que "Yesser Haraj" que l'on nous demande de combattre
Exposé très stimulant et utile.
Nous sommes confits dans un angélisme ambiant. Croyance très dominante : un bébé est un être par nature bon, un p'tit ange. Comme le furent Attila, Hitler, Landru. On a le mythe du bon sauvage de Rousseau dans la tête.
S'ils virent mal, comme on dit dans les familles, c'est à cause de mauvaises fréquentations ou de souffrances personnelles. Ce qui n'a jamais été prouvé par aucune science.
La psychiatrie parle en effet de pervers narcissiques. Il ne s'agit que de la description des symptômes que présentent certaines personnes. Juste une étiquette qui ne dit rien sur la cause de telle façon de prendre son plaisir à faire souffrir les autres, les humilier, les détruire, les tromper.
Ça existe, on en décrit les méfaits et les dangers. Mais on n'a aucun moyen de leur apporter quelque soin que ce soit. Pas de traitement, c'est ainsi. Toute croyance d'un amendement possible, d'une "réadaptation" quelconque est une dangereuse illusion.
Oui le mal existe et il se fout bien de nous car il est persuadé qu'il est bien plus malin que ceux qu'il sait tromper. Parce que c'est quand même le mensonge, le mécanisme de distorsion volontaire de ce qui est qui est l'énergie motrice de toute perversion. La malveillance, aussi venielle soit-elle est le premier degré auquel bien peu de nous sait échapper. La bienveillance, vouloir du bien, ne baisse jamais la garde.
Lui accorder notre haine, c'est entrer dans son jeu, car il veut nous rabaisser à ses propres sentiments.
Franchement, la haine étant si proche de l'amour, il est dangereux d'y céder.
Quant aux sentiments-émotions de tout autre, la personne diabolique s'en fout totalement. Pour elle/lui toute forme d'émotion est un signe de faiblesse, car il n'en ressent aucune. Hyper dangereux, à fuir absolument.
Comment ne pas penser à Hitler en lisant cet article ?
Ce type qui a piqué la croix des chrétiens qui est bien plus que la figuration de l'instrument de torture de Jésus. Un instrument d'orientation spirituelle comme en témoigne le plan des églises tournées vers Jérusalem.
Cette croix, il en a tordu les branches à angle droit. Et pas comme dans le modèle indien le plus répandu du côté qui sait. Mais bien à l'opposé vers la droite, le côté qui fait. Objectif : son empire de mille ans. Sa stratégie tuer dans l'oeuf tout ce qui peut orienter vers le qui sait.
Vous remettez là dessus une couche de pseudo connaissance scientifique de l'époque sur l'inégalité des races du français Gabriel Gobineau (1855) et notre terrifiante histoire est en route.
Propos librement inspirés de " Réponse à Hitler et/ou la mission juive" de Dominique Aubier dont la lecture me semble capitale pour les temps que nous vivons comme ceux que nous vivrons.
Publicité non payée garantie sur facture. Non ça c'est une pirouette verbale, patient lecteur qui vient de subir avec patience ma prose !
A Excellent. A donner a la partie civile ,pour éliminer cet ignoble
Individu , bravo
Tout accusé présumé innocent a droit à la défense d'un avocat à son procès. Je pense que tout avocat qui se respecte devrait refuser de défendre ce criminel odieux, qui a défié toutes les règles de l'humanité, en perpétrant ce crime sur Maëlys.
Un avocat commis d'office suffit, car il faut quand même le juger, et rabattre ce crime hors norme au niveau de la chose jugée. Il faut en faire un cas normal pour pouvoir le juger, sinon le crime n'aura pas existé.
Bonne idée de nous parler du droit ici, S.
Le droit indique par son nom qu'il est du côté " qui fait" : transformer une transgression de la loi en une peine censée compenser la gravité du délit. Le symbole de la balance.
Quel "qui sait" règne sur l'autre fléau de la balance ? Traditionnellement ce sont les religions qui ont répondu aux populations au nom des divinités de leur fond de commerce.
La parole double comme les deux hémisphères, les mots en passe et repasse jouent un rôle majeur, les hommes de loi en face à face ( magistrats comme avocats ) sont les indispensables porte-voix ou haut parleurs.
Merci pour votre analyse. Maelys enfant sacrifiée au service du mal!oui Satan est un dévoreur! Son temps est ecouté , fou furieux il redouble de cruauté. Voyez Genèse 3:15 .Dieu dans sa mémoire n'oubliéra pas Maelys! Il y aura une résurrection tant des justes que des injustes. Ceci signifie la vie éternelle qu'ils apprennent à te connaître toi le seul vrai Dieu et celui que tu as envoyé Chris jesus .
Que Dieu soit reconnu pour vrai.
Opposez vous au Diable et il fuira loin de vous .
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