Covid 19. La solution systémique (3).
par Dominique Blumenstihl-Roth
(Suite de l'article Lecture initiatique du coronavirus 2.)
Le Corona a changé de nom, voici qu'il s'appelle Covid 19. Pour masquer son identité de voleur de la Couronne ?
Forme de vie soudain énergétisée alors qu'il n'est au départ qu'un cristal, le virus est aussi une forme d'intelligence. Il ne songe qu'à sa propre survie. D'où ses rapides mutations et adaptations. En cela, il se comporte comme tous les virus. Le croyons-nous piégé qu'il est déjà ailleurs. Mutagène à l'extrême, il ne cherche pas à nous résister, il nous fuit sans pour autant nous lâcher. Quelle stratégie développer pour le cerner ? Ne pas faire ce qu'il attend… Le surprendre, car il se pourrait bien qu'il anticipe nos réflexes linéaires. Nous l'abordons en privilégiant ce que nous savons déjà de lui, en nous fiant à ce que nous avons observé de manière empirique. Ainsi, nous estimons que la période de son incubation serait de 14 jours, sur foi des diagnostics effectués. En réalité, c'est là une croyance des scientifiques fondée sur un visuel momentané qui ne répond en rien d'un comportement du virus durablement établi.
Que savons-nous de ses performances adaptatives quand elles répondent aux mesures sanitaires organisées ? Puissamment armé de son codage génétique, ne cherchera-t-il pas à contourner nos précautions ? Qu'il s'aperçoive de la naïveté du délai de 14 jours — durée d'incubation estimée par les blouses blanches — qu'il ne manquera pas d'opérer une nouvelle mutation allongeant sa période d'incubation. Le virus, ne l'oublions pas, est un lutteur habile ayant plus d'un tour dans son sac pour assurer sa survie. Que savons-nous de ses ruses ? Avant qu'il n'y songe, je lui dis : Schadaï. Stop. Arrêt.
Le Corona a changé de nom, voici qu'il s'appelle Covid 19. Pour masquer son identité de voleur de la Couronne ?
Forme de vie soudain énergétisée alors qu'il n'est au départ qu'un cristal, le virus est aussi une forme d'intelligence. Il ne songe qu'à sa propre survie. D'où ses rapides mutations et adaptations. En cela, il se comporte comme tous les virus. Le croyons-nous piégé qu'il est déjà ailleurs. Mutagène à l'extrême, il ne cherche pas à nous résister, il nous fuit sans pour autant nous lâcher. Quelle stratégie développer pour le cerner ? Ne pas faire ce qu'il attend… Le surprendre, car il se pourrait bien qu'il anticipe nos réflexes linéaires. Nous l'abordons en privilégiant ce que nous savons déjà de lui, en nous fiant à ce que nous avons observé de manière empirique. Ainsi, nous estimons que la période de son incubation serait de 14 jours, sur foi des diagnostics effectués. En réalité, c'est là une croyance des scientifiques fondée sur un visuel momentané qui ne répond en rien d'un comportement du virus durablement établi.
Que savons-nous de ses performances adaptatives quand elles répondent aux mesures sanitaires organisées ? Puissamment armé de son codage génétique, ne cherchera-t-il pas à contourner nos précautions ? Qu'il s'aperçoive de la naïveté du délai de 14 jours — durée d'incubation estimée par les blouses blanches — qu'il ne manquera pas d'opérer une nouvelle mutation allongeant sa période d'incubation. Le virus, ne l'oublions pas, est un lutteur habile ayant plus d'un tour dans son sac pour assurer sa survie. Que savons-nous de ses ruses ? Avant qu'il n'y songe, je lui dis : Schadaï. Stop. Arrêt.
Son nouveau nom peut faire l'objet d'un décodage. Au delà de l'anagramme évident Co et Vid(e) (avec le vide), j'ai basculé directement sur l'hébreu, en ce que cette langue donne accès au sens par l'inspection des lettres composant les mots. Il n'est pas interdit de passer le mot au travers du filtre de toutes les langues du monde, et je suis sûr que certaines d'entre elles pourraient nous donner des indices intéressants. L'hébreu a cependant l'avantage de toucher à l'information initiale dont le mot est la transcription visible. En cela, je pose mes pas dans les traces des kabbalistes, tels Abraham Aboulafia.
Du Corona (Qorona), le Covid (Qovid) a gardé le Qof. Preuve en est le numéro 19 dont il a été affublé par les chercheurs. Le Qof est la 19è lettre de l'Alphabet. Pour lire le mot Qovid, j'ai utilisé la technique du Tzérouf. QO, (Qof, Vav) signifie : cordon, ligne, limite, mesure. C'est une sorte de préposition qui peut s'attacher à toutes sortes de mots évoquant les thèmes de la limitation, du contour. Ligne de tir, ligne de communication. La position haute du Qof dans l'alphabet indique la posture élevée dans l'évolution, sur la branche droitière.
Le Tzérouf est une technique kabbalistique (je présente mes excuses à ceux qui le savent déjà) consistant à couper un mot en deux suivant une ligne (Qo) où l'on distingue les composantes. On réalise ainsi une lecture de l'unité, conforme à la structure en deux hémisphères. Une moitié du mot sera lue en hébreu, l'autre dans la langue vernaculaire. De sorte que les deux versants créditent une union dotée de sens.
Il convient de noter — cela est beaucoup moins connu, et c'est mon Maître qui me l'avait expliqué (clarification de l'ordre d'un hidouch) — que le Tzérouf n'est valable que jusqu'au Tzadé. Quand le cycle dépasse le Tzadé (lettre initiale de Tzérouf), cette technique n'est plus applicable, car il n'existe plus d'en-face au-delà du Tzadé, une fois que l'énergie est montée en Qof, Resch, Schin, Tav. A l'instant où l'énergie se voit bloquée sur le Tzadé final, la lecture en Tzérouf est encore valable. Elle est à mon sens extrêmement pertinente à ce moment-là, car les opposites sont à leur maximum de séparation. La lecture unitaire en exprimera la tension de cet instant.
Qorona : le Qof a été usurpé. L'énergie capturée est indûment versée dans la zone interdite « Verboten ». Elle y active ce qui ne devait exister. Des formes de vie toxiques, au revers du projet civilisateur se mettent à prospérer. Ainsi le vid(e) se remplit-il. Le cycle (Vav) qui devait mener au Rosch (couronnement de la tête, du principe d'absolu) est spolié, dépossédé. Tel serait le diagnostic définitif, sans recours possible. Au delà du Tzadé final, l'énergie s'enfonce, par notre choix civilisateur, dans le secteur outrancier du matérialisme. Une idéologie qui impose ses lois. L'énergie, nous l'avons dit, aurait dû être déplacée au moment où elle exigeait de changer de camp. Elle est restée dans le « Qui Fait » sans opérer le transfert. Du coup, l'activation agit sur une somme cumulée de réalisations qui perpétuent leur prédominance, sans permettre à l'autre face de vivre son moment d'efficacité. « Le Bien, dès lors, n'est pas une notion de morale » rappelle Dominique Aubier. « Il consiste à s'ajuster aux commandements qui ressortent du Motif d'Absolu. Le Bien, c'est s'accorder à l'immanence de vérité et ses normes, autrement dit YHVH. »
Relisant cette phrase de mon Maître, je me rends compte que nous ne pouvons plus nous contenter du diagnostic établi ci-dessus par la technique du Tzérouf. Le stade où il était susceptible de nous faire prendre la bonne décision est dépassé. Le Tzadé final a retenu, capturé l'énergie, n'autorisant pas le retour sur la branche droitière de l'arbre des Lettres. Le Qof légitime n'a pu être couronné. L'énergie a été expédié dans l'espace interdit, « beyond », comme disent les anglais, où il n'existe plus de retour possible, quand bien même on dresse autant de diagnostics alarmants que l'on veuille. Certains incendies ne peuvent être éteints de la main de l'homme. Nous l'avons vu en Australie : seule la pluie salutaire a mis fin au désastre.
Que faire face au virus ?
Je ne suis ni médecin ni virologue. Je respecte leur compétence, mais selon ce que j'entends d'eux quand ils s'expriment — et parmi eux certains amis — il semblerait bien que nous soyons extrêmement désemparés, ne sachant absolument pas comment la situation évoluera. N'ayant a priori aucune compétence dans cette affaire de Coronavirus / Covid 19, j'ai l'impression — pour reprendre la formule du kabbaliste Abulafia — que « je me suis emparé de quelque chose de plus grand que mes capacités ».
Du point de vue initiatique, je me rends compte que j'ai commis une erreur en croyant qu'il fallait dire « Schadaï » pour remettre l'énergie sur ses gonds. Schadaï est l'immanence que l'on invoque en Tzadé final, pour intimer l'ordre d'arrêter. Or ce stade est de longtemps dépassé. Une prière n'est efficace que si elle est prononcée au bon moment du cycle et dans les termes qui conviennent. Schadaï n'a pas été respecté. Naïveté donc, de ma part, sous garantie du Zohar, d'avoir écrit qu'il suffirait d'ajouter le Yod à Schad pour tout réguler. C'était peut-être joliment pensé, mais faux, car j'avais oublié qu'il fallait toujours tenir compte du cycle en cours.
Mais tout n'était pas erroné. Il fallait bien lancer un appel. Il fallait bien activer un Yod. Mais où ? Sur quelle immanence ?
Schadaï n'est plus d'aucun secours. L'appeler, ce serait comme jeter un gilet de sauvetage à quelqu'un dont le corps sombre déjà dans les abysses. Quant à plonger dans les profondeurs pour ramener la victime en surface, lui insuffler de l'air, massage cardiaque de rigueur… Remettre le cœur en route, le cœur étant l'organe de la Connaissance (32)… Le rescapé — nous-même — ayant perdu connaissance reviendra-t-il à lui ? Et qui réalisera le sauvetage ? Qui se jettera à l'eau ? Les choses ne dépendent plus d'un improbable héros, mais du Maître interpellé par notre prise de conscience.
S'en remettre à la science et la technologie ?
Il s'agit, dans cette affaire qui n'est pas sans rappeler les 10 Plaies d'Egypte, de s'élever à un « concept supérieur de l'Histoire » (CF Elie Munk, Voix de la Torah, Exode), et ne pas en rester à une naïve croyance où seuls les facteurs matériels seraient gestionnaires de notre destinée. Une compréhension plus lucide — et honnête — est nécessaire pour comprendre les choses de ce monde. Notre idolâtrie matérialiste est un obstacle à la libération, et l'ange destructeur profite de ce terrain favorable que nous lui cédons. Il se pourrait que le virus soit plus astucieux que nos chercheurs, en qui nous avons confiance. Et s'ils échouaient ? La pandémie toucherait alors toute l'humanité…
S'en remettre à la science et la technologie ?
Il s'agit, dans cette affaire qui n'est pas sans rappeler les 10 Plaies d'Egypte, de s'élever à un « concept supérieur de l'Histoire » (CF Elie Munk, Voix de la Torah, Exode), et ne pas en rester à une naïve croyance où seuls les facteurs matériels seraient gestionnaires de notre destinée. Une compréhension plus lucide — et honnête — est nécessaire pour comprendre les choses de ce monde. Notre idolâtrie matérialiste est un obstacle à la libération, et l'ange destructeur profite de ce terrain favorable que nous lui cédons. Il se pourrait que le virus soit plus astucieux que nos chercheurs, en qui nous avons confiance. Et s'ils échouaient ? La pandémie toucherait alors toute l'humanité…
Que faire ? Je crois qu'en dernier recours, après la transgression en « Verboten » qui nous conduit dans le mur, il n'existe plus d'autre recours possible qu'invoquer le Maître du Système, Maître de l'énergie, Maître de la Structure induite.
Faire appel au Yod, celui du « Dieu absent »… A יהוה .
Tonnerre ! J'ose évoquer le nom de l'immanence absolue.
Et j'insiste en ce troisième article, car la parole est une action privilégiée dans ce monde conduit par le Verbe. La parole posée par écrit réalise son instance réaliste. Elle propose l'appel, et il me semble qu'une sollicitation de cet ordre ne peut être murmurée. Il lui faut de la force, et c'est le déploiement du Redoublement qui la lui fournit. D'où cet article, ce texte écrit.
Ce n'est pas Schadaï qui nous tirera d'affaire, sa zone d'intervention étant dépassée, mais le Tétragramme. Le Dieu d'Abraham, de Jacob et de Joseph. C'est aussi celui de Jésus, me semble-t-il… Celui dont le « bras fort » fit sortir les hébreux d'Egypte, non sans avoir infligé les 10 plaies à l'empire de Misraïm.
En écrivant ce texte, la proposition passe de première en seconde instance, et si l'argument du recours au Dieu יהוה ineffable est recevable, le réel en tiendra compte.
En lisant cet article, j'estime que vous participez en associé à cet appel : « tel est le principe (cf. le kabbaliste Yehuda Hayat —1495) : les choses d'en bas éveillent les puissances supérieures, autrement celles-ci ne s'éveilleraient pas ».
Suite de l'article :
— le postillon contaminateur.
— Covid 19 jusqu'au bout du sens.
— Covid 19 : Connaissance et sciences
— Pour ou contre le prof. Didier Raoult ?
— Le « déconfinement » une affaire de mal entendu.
Ce n'est pas Schadaï qui nous tirera d'affaire, sa zone d'intervention étant dépassée, mais le Tétragramme. Le Dieu d'Abraham, de Jacob et de Joseph. C'est aussi celui de Jésus, me semble-t-il… Celui dont le « bras fort » fit sortir les hébreux d'Egypte, non sans avoir infligé les 10 plaies à l'empire de Misraïm.
En écrivant ce texte, la proposition passe de première en seconde instance, et si l'argument du recours au Dieu יהוה ineffable est recevable, le réel en tiendra compte.
En lisant cet article, j'estime que vous participez en associé à cet appel : « tel est le principe (cf. le kabbaliste Yehuda Hayat —1495) : les choses d'en bas éveillent les puissances supérieures, autrement celles-ci ne s'éveilleraient pas ».
Suite de l'article :
— le postillon contaminateur.
— Covid 19 jusqu'au bout du sens.
— Covid 19 : Connaissance et sciences
— Pour ou contre le prof. Didier Raoult ?
— Le « déconfinement » une affaire de mal entendu.
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