Pour ou contre le prof. RAOULT ?
Par Dominique Blumenstihl-Roth
(première partie)
(première partie)
La dispute a éclaté dans le monde des chercheurs. On est « pour ou contre » le prof. Didier Raoult.
Ce chercheur préconise une thérapie contre le Covid19 à base de chloroquine accompagnée d'un antibiotique. L'orthodoxie scientifique s'y oppose férocement, avançant des arguments de méthodologie. Science contre science, voilà la dispute du siècle sur décors de pandémie. Un bon sujet pour une pièce de théâtre. Pendant que l'humanité est en proie au virus, la petite communauté des scientifiques, investie du pouvoir suprême de nous sauver, se chamaille dans d'infinis débats, finissant par être elle-même touchée par le virus et disparaître…
L'indignation des chercheurs face aux rêves-prétentions-espoirs-illusions-erreurs (ou vérité) du prof. Raoult est déconcertante, mais normale. La science n'avance que par théories successives, vérifiées ou non, d'erreurs en erreurs, qu'elle se pardonne toujours elle-même, n'ayant au-dessus d'elle aucune autre entité qui serait à même de la diriger ou la juger.
C'est donc en toute légitimité que le corps des chercheurs s'offusque des travaux de M. Raoult qui, en tant que scientifique, bénéficie d'un crédit intellectuel au moins égal à celui de ses détracteurs. Et à égalité avec eux, il participe de la même entité : la science qui veut à tout prix être seule à détenir la vérité.
A-t-il tort ou raison ?
Je ne suis pas un scientifique et grand bien m'en fasse, car ce n'est pas un titre de noblesse garantissant l'immunité face à l'erreur. N'étant pas un chercheur de laboratoire, que vaut mon opinion ? Je n'ai pas d'opinion, je suis un chercheur de vérité. Comme nous le sommes tous. Mais ma démarche est différente des scientifiques qui, de leur propre aveu, affirment qu'ils ne savent pas et qu'ils cherchent.
« La science ne cherche plus la vérité, elle cherche la sienne », écrit le prof. François Jacob, dans son livre La Logique du Vivant. C'est exactement cela qui s'oppose au prof. Raoult. Qui lui-même est exactement dans la même situation.
A noter que la science n'est rien qu'une analyse sélective de la réalité, qu'elle n'embrasse pas la compréhension du Tout : elle est incertaine par essence. Elle est un processus culturel dont les résultats ne sont admis qu'après débat, négociation, critique… et souvent compromis.
« Quelles conditions doivent être remplies pour qu'une explication soit considérée comme satisfaisante ? » s'interroge la sociologue Dorothy Nakin (Université de New York, La mystique de l'ADN, éd. Belin). « Un chercheur n'acceptera pas une explication différente si elle ne correspond pas à ses attentes… » Et justement, quelles sont les attentes des chercheurs ? Trouver la vérité ? Trouver leur vérité ? Outre les attentes personnelles où les égos sont dramatiquement de la partie : cela s'est vu, sur les médias, où quantité de « spécialistes » ont défilé, somptueuse autorité, assurance péremptoire des sommités affirmant que Covid19 n'était qu'une petite grippe, peu contagieuse…
A noter que la science n'est rien qu'une analyse sélective de la réalité, qu'elle n'embrasse pas la compréhension du Tout : elle est incertaine par essence. Elle est un processus culturel dont les résultats ne sont admis qu'après débat, négociation, critique… et souvent compromis.
« Quelles conditions doivent être remplies pour qu'une explication soit considérée comme satisfaisante ? » s'interroge la sociologue Dorothy Nakin (Université de New York, La mystique de l'ADN, éd. Belin). « Un chercheur n'acceptera pas une explication différente si elle ne correspond pas à ses attentes… » Et justement, quelles sont les attentes des chercheurs ? Trouver la vérité ? Trouver leur vérité ? Outre les attentes personnelles où les égos sont dramatiquement de la partie : cela s'est vu, sur les médias, où quantité de « spécialistes » ont défilé, somptueuse autorité, assurance péremptoire des sommités affirmant que Covid19 n'était qu'une petite grippe, peu contagieuse…
En tant qu'initié, passablement kabbaliste, (Yavné), je considère que le monde entier, la terre, est un laboratoire où la Vie expérimente ses essais. Et nous sommes dans les éprouvettes du grand laborantin qui nous met face à ce satané virus, dont on ne sait, justement, si c'est du vivant ou non. Il se pourrait que l'Homme soit lui-même responsable de l'éveil de ce virus, jusque-là sagement endormi depuis l'origine des temps. Il est formé d'ARN, comme nous l'avons dit : donc un concentré d'informations en quête de protéinisation. Notre corps semble lui convenir. Nous est-il réservé ?
Tout initié sérieux, quelle que soit sa tradition, sait que la réalité des choses se cache sous le masque des apparences. Et voilà que nous sommes en pénuries de masques protecteurs ! Indispensable que les soignants et autres professions exposées disposent de masques. Le sujet s'impose en réalité observable devant être lue et interprétée : symbole d'un message sur le thème « vivre sans masque ». Nous sommes priés d'avancer dans la vie à visage découvert. Bas les masques, autrement dit, cette absence de protection face à la pandémie est un signe évident. Par delà l'événement crucial imposé, nous sommes dans l'obligation de renoncer à nos mascarades sociales, politiques, nos révérencieux ego : vivre désormais en nous exposant au réel de manière transparente. Fin des simagrées. Fin des occultations, la vérité veut être vue. La vérité de nos misères, des mesquineries politiques, des petits calculs, les dissimulations doivent cesser.
« Ouverture générale des vannes » est un autre thème qui soudain monte en surface. Vannes financières, bien sûr. Mais également déversement de la vérité sur toute chose.
L'initié, devant toute énigme,
recherche l'information initiale. J'ai consacré un article à ce sujet, parlant du « Coronavirus » comme étant l'interprète inversé du thème de la « Couronne ». Citant le Zohar : « La Couronne, c'est la tête ». C'est là, l'information initiale, subissant une inversion. Le Zohar, livre de synthèse de la kabbale hébraïque du XIIè siècle, consacre ce thème de la Keliha, ou couronne = beauté, joyau, désir ardent. Et puisque nous en sommes aux références hébraïques (celles du bouddhisme et des cultures amérindiennes sont tout autant respectables), il existe une prophétie au sujet de la Couronne, figurant dans la Mishna des Maximes des Pères, I-13, Hillel dit : « Celui qui fait usage de la Couronne et de la Torah à mauvais escient quittera le monde.* » J'en ai déduit que le virus étant une inversion de la Couronne, imposteur ayant ravi le pouvoir, quittera le monde. A jamais. A condition que quelqu'un lui oppose l'argument du sacré. C'est ce que je fais ici. Voici la formule : "Ude-ishtamesh wedishtamash be-Taza halef". *
Que les ricaneurs s'en amusent, c'est leur droit, en tant qu'ils résident dans le domaine de l'Inversion, leur moquerie garantit la valeur de ce qu'ils dénient.
La couronne est un sujet qui est également traité dans le film The Foutain de Daren Aronofsky : le personnage de Liz, traversant les temporalités de l'Histoire, apparaît comme Reine d'Espagne portant la Couronne (Kéther), puis, se retrouvant au temps présent, est hospitalisée dans la chambre 620, valeur numérologique de ce mot hébreu. Toujours et encore la Couronne dont la thématique hante subliminalement tout le film. J'ai écrit une série d'articles sur ce film.
L'information première est dans le nom.
Le nom de qui ? Du virus qui se trahit. Autour de lui, la tempête sociale. Dans ce malheur qui tue des milliers de personnes, surgissent les dysfonctionnements, les mensonges, les désespoirs aussi. Tout remonte en surface, tout est mis en lumière. Quelle image saisissante du pape, à Rome, consterné, prononçant son grand discours Urbi et Orbi, devant une place totalement vide. Osera-t-on faire une lecture du symbole évoqué ? Le prêche dans le vide ? L'humanité absente ? Pendant ce temps, au Pakistan, les mosquées sont pleines à craquer, en lieu et place du confinement, les foules se pressent, les gens s'agglutinent pour la prière collective, dans l'espérance que leur dévotion sera entendue… Et sans doute l'est-elle. Oserais-je dire que Satan est de la partie, qu'il exploite le sentiment religieux des braves gens à son bénéfice pour s'insinuer ? Que penser des juifs de la secte ultra-orthodoxe qui se rassemblent avec ferveur et se communiquent allègrement le virus au point qu'ils forment près de la moitié des malades en souffrance dans les hôpitaux d'Israël ? Ils espèrent une prompte intervention messianique — et qui leur donnerait tort sur ce point ? — si ce n'est que le diable, qui ne dort jamais, auquel ils croient avec raison mais qu'ils sont bien incapables d'identifier quand il est à leur porte, leur tend un piège terrible en faisant d'eux les propagateurs de ce dont ils prient le messie de les débarrasser.
Et que dire du mouvement évangéliste ? Réunis en toute dévotion d'empathie à Mulhouse, fêtant l'Evangile, chacun des 2000 participants à cette euphorie est devenu porteur de l'inversion de la « Bonne nouvelle », sans le savoir, en toute bonne foi et inconscience.
Le réel du virus prononce là un Stop puissant, un arrêt à ces formes pathétiques d'extases collectives : l'heure est à la pleine conscience personnelle, à la réflexion, à l'intelligence du Code de la Vie.
Et que dire du mouvement évangéliste ? Réunis en toute dévotion d'empathie à Mulhouse, fêtant l'Evangile, chacun des 2000 participants à cette euphorie est devenu porteur de l'inversion de la « Bonne nouvelle », sans le savoir, en toute bonne foi et inconscience.
Le réel du virus prononce là un Stop puissant, un arrêt à ces formes pathétiques d'extases collectives : l'heure est à la pleine conscience personnelle, à la réflexion, à l'intelligence du Code de la Vie.
Le Virus fait éclater les scandales.
Je pense aux EHPAD dont les malheureux pensionnaires décédés par centaines ne sont pas comptés dans les rapports fastidieux du Ministre de la santé, sous prétexte qu'il n'existerait pas de "méthode de calcul"… Et qu'il faut "attendre que les chiffres remontent". Comme le dit le Maharal, Rabbi Liwa, le mensonge est un aspect de la vérité… L'anonymisation des décès, leur dissimulation… astuce connue qui rappelle de tristes méthodes d'un autre temps. Il faut à tout cela plus de compassion. Une immense pitié devrait étreindre le corps politique, qui a du mal à sortir de son confinement intellectuel de manipulateurs fascinés par la volonté de « pouvoir ».
L'hécatombe dans les Ehpad est telle qu'elle n'est pas dicible, aussi pour en amoindrir le choc, préfère-t-on donner un pourcentage global de mortalité, sans chiffre exact. Il sortira, progressivement, peu à peu, pour nous préparer… Pendant ce temps, les spécialistes de la communication nous noient sous des avalanches de news, l'entropie devant dissoudre la vérité. Les "communiquants", relayés pas les médias, créent une narration épique de la crise, et par le biais d'histoires répétées des multiples sauvetages, composent un récit, une sorte "d'hégémonie idéologique" (cf. la sociologue Dorothy Nakin) : d'où la métaphore présidentielle « nous sommes en guerre ». C'est là un cliché appuyé sur des images de navires et d'hélicoptères, visant à susciter le sentiment de l'unité nationale, effacer le erreurs, aller de l'avant, au combat… les mains nues.
Rien cependant ne résistera à l'émergence du Vrai. Parce que la vérité n'est ni une théorie, ni un système philosophique spéculatif, ni une vision intellectuelle. La vérité est le visage même de la réalité écrit Yogananda Paramahansa. (Autobiographie d'un Yogi, éd. J'ai Lu, 2007, p. 589). Cette vérité sautera toutes griffes dehors, en plein visage des dissimulateurs, déconsidérés à jamais.
Rien cependant ne résistera à l'émergence du Vrai. Parce que la vérité n'est ni une théorie, ni un système philosophique spéculatif, ni une vision intellectuelle. La vérité est le visage même de la réalité écrit Yogananda Paramahansa. (Autobiographie d'un Yogi, éd. J'ai Lu, 2007, p. 589). Cette vérité sautera toutes griffes dehors, en plein visage des dissimulateurs, déconsidérés à jamais.
Comment découvrir la vérité derrière le chaos du verbiage humain ?
Il se peut que nous soyons à la veille d'une immense rupture — déjà en cours. Ce virus meurtrier nous oblige à penser le monde tout autrement, mais avec quels critères ? Ceux du passé qui nous ont jeté dans l'obscurité ? Déjà se préparent les grandes mutations — les révoltes — dans un processus historique de bouleversements. Oserais-je parler d'une rupture messianique ? Le Maharal de Prague écrit qu'avant cette révélation, nous assisterons à la néantisation de ce qui existe… car tout existant nouveau signifie la disparition de l'existant précédant… Serions-nous à l'aube d'une néantisation de la pensée obsolète qui jusque là s'est imposée à notre culture ? L'échec des philosophies est flagrant. L'échec des sciences économiques est consternant : mais ses experts continuent de pérorer alors même qu'ils n'ont aucunement prévu la catastrophe dont ils prétendent nous tirer. Ils ignorent la notion d'arrêt. Leur excuse, d'une platitude désolante : « nul ne pouvait prévoir ». Or les initiés ont de longtemps averti, car à la différence des « experts » à la mode, ils disposent d'une grille de lecture et d'une modélisation qui leur permet de voir clair. « Car je ne suis pas sans modèle en ce que je fais » s'écrie Don Quichotte, chapitre 10, vol. I. Une carte initiatique mise en œuvre dans ce livre qui a annoncé le désastre que nous vivons.
Quant aux politiques, il leur sera beaucoup pardonné s'ils font repentance et ma compassion m'interdit d'en dire davantage.
Trêve de critiques, pénitence de silence pendant 24 heures. Je reprendrai la suite de cet article prochainement.
Suite ici. Deuxième partie.
Quant aux politiques, il leur sera beaucoup pardonné s'ils font repentance et ma compassion m'interdit d'en dire davantage.
Trêve de critiques, pénitence de silence pendant 24 heures. Je reprendrai la suite de cet article prochainement.
Suite ici. Deuxième partie.
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*La formule est mentionnée par Gershom Scholem, dans un cours qu'il a donné à Jérusalem le 2 décembre 1964. Texte publié dans La cabale du livre de l'image et d'Abraham Aboulafia, éd. de l'Eclat, p. 44.
PS : Il semblerait que le virus revienne à la charge en Chine. Aurait-il pratiqué un « repli » sur une position antérieure d'ARN, pour reprendre l'assaut quand on se croit tiré d'affaire ? J'en ai parlé dans le blog.
A moins qu'il n'agisse en Redoublement : il me semble que ce virus exploite cet archétype (incubation / déclenchement. Attaque faible / attaque forte.) L'archétype Redoublement est bien connu des initiés — et fort ignoré des sciences qui pourraient s'en instruire (explication de l'archétype dans la Face cachée du Cerveau). Toute chose se construit en deux temps. Aussi le virus ne manque pas d'agir selon cette loi du réel. Il faut donc PREVOIR dès maintenant la possible RECIDIVE et ne pas s'illusionner lorsque l'épidémie semblera s'arrêter. Après une pause momentanée (fin de la phase Bip) le virus peut revenir à la charge, encore plus fort, en phase BOP. Et attention, mon Maître l'a précisé : « La reprise en BOP second temps — se distingue de la première en ce qu'elle comporte de nouveaux éléments de fabrication. » Autrement dit : mutation possible. Entre les deux phases, un certain temps peut s'écouler, favorisant notre assoupissement. Et il n'est pas certain du tout que les primo-infectés et malades guéris soient immunisés. On se souviendra que dans la Bible/Torah — récit des expériences humaines — le peuple qui se croyait tiré d'affaire après la traversée de la Mer Rouge subit soudain la féroce attaque d'Amaleq. Et Amaleq ne renonce jamais.
8 commentaires:
L'évidence ne supporte plus l'attente , elle est enfin visible , l'humanité n'a jamais été portée par sa propre volonté ,( même dans le côté visible , le "qui fait" de l'expression du créateur) . Sans l'intention et son impulsion première ,ce monde serait encore invisible. L'humanité est en permanence portée par une volonté qui demande à se faire connaitre et re-connaitre . Et nous sommes nombreux pour acceuillir
cette occurence , les humains n'ont jamais été aussi nombreux pour entendre et voir
les nouvelles tables qui sont en écritures .
Dominique svp , que faire de la formule que vous mettez à notre disposition ?
Merci.
Que veut dire : pour on contre Didier Raoult ?
- Pour qu'un médecin, reconnu comme une sommité des maladies tropicales, agisse en médecin, c'est à dire mette au premier plan de son éthique d'action les humains atteints par une maladie nouvelle ? En prenant le risque de se tromper.
- Contre DR, parce qu'il ne met pas au premier plan de ce qu'il fait l'orthodoxie des méthodologies scientifiques. Dame Epidémiologie de la famille de Sainte Statistique, héritière du Royaume absolu du savoir, celui de Sa Majesté Mathématique.
DR va à rebrousse poil : le qui-Sait est pour lui du côté de l'Homme, et la méthodologie de la science devant rester du domaine du qui-fait.
Dernier point. Peut importe finalement l'efficacité pharmacologique des remèdes, leur capacité de mettre en oeuvre l'effet placebo chez les malades demeure une réalité clinique indispensable. Le "on a aucun remède connu" est humainement indéfendable pour un médecin digne de ce nom.
Il ne le sait peut-être pas clairement lui-même, mais le sieur Raoult nous donne à tous une belle leçon de compréhension du Réel.
Rien à dire sur le nom de Raoult ? Moi je note que c'était en partie le cri de guerre des gilets jaunes...on en fait d'ailleurs des pastiches savoureux.
Le devenir du monde est lié à celui de l'homme par Dominique Aubier page 88 quand elle cite Lecomte du Nouy .
L'avènement est douloureux en ces temps ,et Bip ,et Bop . Qui va là ?
"Rouah" Haim : Le "souffle" de la vie.
L'âme humaine "insufflée" Nephesh doit indexer sa parole (phé) sur le verbe(schin) pour s'accomplir en Neschama.
Ausculter Didier Raoult à travers son état civil est une idée que peuvent comprendre les lecteurs de ce blog.
Au risque de faire un gros plat, je plonge.
Didier, ça cause tout seul : DIS, DIS, EH ! Gros encouragement à exprimer quelque chose, et il a une grande gueule médiatique notre professeur.
Alors RAOULT , ça peut dire quoi ? Début par un Rosh (une tête) suivi par un Aleph ( pas imperméable au système des systèmes)? Pour le reste, le ..OULT, ben j'ai pas trop d'idée.
Alors, je botte en touche... Au suivant !
Théophile bonjour,
C'est un très bon début de décodage, à mon sens ! Le Rosh à lui seul en dit long, quant au ''oult'' restant je me hasarde...''il faut que cela sorte'' hors du Rosh, hors de la tête...N'est-ce pas d'ailleurs ce que fait ce Professeur...?
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