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mardi 11 août 2020

Le Liban au cœur de nos cœurs. Par Dominique Blumenstihl-Roth

Le Liban au cœur de nos cœurs.
Par Dominique Blumenstihl-Roth

Nous avons été choqués par la terrible explosion qui a détruit une partie de Beyrouth. Un immense entrepôt de nitrate d'ammonium a sauté provoquant une onde de choc effroyable arrachant tout sur son passage. 
Nous avons vu, dans le ciel libanais, s'élever ce « champignon » de fumée qui ressemblait au funeste dôme que provoqua l'explosion nucléaire d'Hiroshima… L'esprit ne peut s'empêcher de faire le lien et dût-il rabrouer ce réflexe non-rationnel qui met en relation les choses entre elles, il n'apparaît pas moins qu'une image en rappelle une autre et en restitue subliminalement le message. D'autant que la déflagration au Liban a eu lieu le 5 août, celle d'Hiroshima un 6 août et celle de Nagasaki un 9 août. Décalage horaire aidant, nous sommes sur un plan de cohérence temporel : le syndrome des anniversaires est un fait bien connu des psychanalystes qui savent que les événements dramatiques personnels ou familiaux ont tendance à se répéter, à échéances de dates fixées dans le calendrier. La déflagration de Beyrouth n'est évidemment pas d'ordre atomique, mais il convient de rechercher le noyau nucléaire ayant agit. Autrement dit : que s'est-il passé réellement ?
Il s'agit non seulement de raconter l'événement — les médias s'en chargent — mais de « voir la trame sous-jacente des événements » (cf Carlos Castaneda, le Voyage définitif, p. 192).

« Tout ce qui ne remonte pas à la conscience revient sous forme de destin. » écrit C.G. Jung. Et prend l'aspect de symptômes, maladies, accidents, échecs. Cela est valable aussi bien pour l'individu qu'un groupe, d'une nation. Quelque chose d'enfoui enfonce ce pays dans l'impossibilité de naître à lui-même. Pour identifier ce « quelque chose », il faut faire remonter ce drame à l'état de conscience le plus élevé pour que cesse la fatalité qui semble opprimer le pays du cèdre dont le véritable destin est d'être une nation heureuse, épanouie, au cœur puissant. Quel est ce mal « venu de plus loin » qui empêche la libération du Liban ? Et en quoi sommes-nous concernés ?
Il faut voir ce qui se déroule derrière le rideau de la réalité immédiate. Tous les événements de nos vies sont des coagulations issues d'une information préalable, délivrée en amont. (D. Aubier) L'actualité n'en présente que l'apparence, parfois dans toute sa brutalité comme c'est le cas ici, pour le Liban. Ce drame épouvantable, avec ses victimes, est la manifestation d'une information antérieure, codée, qu'il est possible de trouver et de déchiffrer.

Pour retrouver cette information initiale, il faut faire une lecture réaliste de l'événement, dans ses détails. Aller de la chose à son information codante. « Les détails qui façonnent un événement dénoncent l'intrusion de la nouveauté et en sont les signes. Ces signaux sont toujours symboliques…» écrit Dominique Aubier : signaux réels, parfois dans des formes extrêmement démonstratives. L'initié guette alors les noms et mots significatifs émergeant. Le plus évident ici est Liban. Lebanon. Ainsi que nitrate d'ammonium. Et bien évidemment, Beyrouth : Beth, Yod, Resch, Vav, Tav.
Cet alignement permet de voir plus clair. A quoi il convient d'ajouter ce qui n'aura échappé à personne : le Redoublement. Il y a eu deux explosions.
Les lecteurs de La Face cachée du cerveau reconnaîtront là qu'il s'agit d'une marque puissante du réel. Un Redoublement été vu, entendu au travers de la médiatisation mondiale couvrant l'événement. La présence de l'archétype si puissamment évidente exige que notre vigilance s'exerce au maximum. Il y a là un message à considérer — et le peuple libanais l'a bien compris quand il manifeste aussitôt sa légitime colère contre les corrompus au pouvoir. Cela aussi est un signe qu'il convient de lire. Le peuple libanais montre à toute l'humanité que certaines formes politiques ne sont plus admissibles : c'est la fin d'une époque, un processus irrévocablement terminé. Et cela vaut pour l'ensemble de la classe politique, à tous les niveaux. Ainsi en va-t-il de l'histoire des « groupes dominants » dans l'Histoire des espèces. Après les expansions glorieuses, l'ordre d'arrêt tombe : tel groupe ou espèce qui se croyait parvenu au sommet chute dans la décadence et s'éteint, laissant parfois des formes reliquaires, mais relayés par des innovateurs prenant leur place selon un processus balisé par des relais. Cette révolution est en marche au Liban qui nous indique là un chemin de progrès. L'évidence est dans le processus et non dans le résultat.

La double-explosion du NH4NO3 dans le port de Beyrouth a immédiatement ramené en surface le souvenir — le précédent — survenu il y a 18 ans à l'usine AZF de Toulouse, causé par le même produit. Malgré les nombreux témoignages, l'enquête avait longtemps nié qu'il y eut deux explosions et l'on ne sait toujours pas très bien ce qui s'est passé. AZF : à ce mot, j'entends AZ-F. M'appuyant sur le code de l'Alphabet hébreu, en tant qu'il est le sur-Code du réel, le mot AZ signifie c'est alors… Un mot qui s'allume dans la Torah, dans Exode, chaque fois que Moïse s'exprime pour signaler un acte important : Alors (az) Moïse et les enfants d'Israël chantèrent ce cantique au Seigneur… Rabbi Abba écrit : j'ai constaté que toutes les louanges adressées au Saint, béni soit-il, commencent par le mot "alors" (az). Ce mot az renferme les lettres Aleph et Zaïn, précise Dominique Aubier : le système divin (Aleph) jusqu'à sa victoire (Zaïn).

Parce que l'intelligibilité des choses vient toujours de l'aire du langage…
J'ajoute le F à AZ. La lettre F est emblématique de la féminité et du code international postal de la France. Le rébus AZF concernait donc bien la France, à Toulouse dont le nom se lit en mode Hipoukh, à l'envers, AZULOT. Autrement dit : les émanations. La France, à l'époque, était fortement priée de considérer au plus près la chant de l'absolu  — le Chant de la Tête (Chir Hachirim, Cantique des Cantiques), tel qu'il s'adressait à elle. Qui en a écouté le message ?

Aujourd'hui, au Liban, même produit, mais en quantité démultipliée. Même double-explosion, elle aussi démultipliée en intensité. Effet de redoublement entre Toulouse et Beyrouth. « Une fois lancées en Bip, les forces qui habitent une matrice évolutive terminent irrésistiblement leur projet…  » (D. Aubier).
Les liens entre la France et le Liban sont plus que millénaires et viennent d'être renforcés par le voyage qu'a effectué le président Macron qui s'est immédiatement rendu sur place. Ce voyage, lui aussi, doit retenir notre attention : il confirme que les événements du Liban concernent la France, et si le président Macron, inspiré par une intuition souveraine, y est allé, c'est en raison d'une relation structurelle profonde unissant les deux territoires. L'un et l'autre sont liés : par quel mystérieux agent ?
Là encore, le secret se trouve dans les noms des protagonistes dont le sens demande à être dévoilé. Si le monde est d'essence verbale, alors sa vérité se trouve nécessairement dans les mots. Un décret verbal animé en Qui Sait, côté invisible, se convertit en chose, côté Qui Fait.
Nous avons eu la « chose ». L'événement, le désastre. Mais quel fut le décret verbal prononcé ?

Ce décret dit : Beyrouth. Liban. Nitrate. France…
Beyrouth. S'écrit Bet, Yod, Resch, Vav, Tav.
La structure Bet reçoit l'énergie Yod du Verbe en son édifice  cérébral Resch, cette énergie ouvre un cycle Vav qui l'emmène et se projette jusqu'au bout Tav d'un processus évolutif. Magnifique vocation d'une noble ville portuaire ouverte sur la Méditerranée, en frontière d'Israël dont elle capte l'irradiation pour l'envoyer, de tout cœur, dans le monde.
Car qui dit Liban prononce, sans même le savoir, un terme biblique et écrit les lettres Lamed, Beth, Noun. Or Lamed-Beth, c'est le cœur. Et Noun désigne l'homme culturel.
ל  ב  ן
Le Liban est un terme biblique dont les lettres écrivent une équation : l'enseignement de la Connaissance (Lamed) par la structure (Bet) ouvre pour l'humanité (Noun) un cycle (Vav) porteur du projet culturel de l'humanité complète (Noun final).

Du Liban, avec moi, Epouse
Du Liban, avec moi tu viendras…
(Cantique des Cantiques IV-8)
L'épouse en cause étant la Connaissance. L'humanité est invitée à s'en revêtir : « l'odeur de tes vêtements est comme le parfum du Liban… » (C. IV-8). Dès lors, ce qui souffre par l'explosion de Beyrouth, c'est le cœur de l'homme culturel, meurtri dans le concept Liban.

Le désastre a frappé le cœur de l'Homme et tout le projet civilisateur : voilà le message dramatique de cette explosion. Quelque chose de l'humain va ou est déjà en train de mourir, victime de la dénaturation (anagramme de nitrate) de sa vocation. C'est notre propre humanité dont le cœur est attaqué. Le mot Liban exprime très clairement le lien organique avec le cœur (Leb).
Le président Macron y a été sensible — j'ignore s'il a identifié le sens de l'événement, mais il a senti passer la décharge, étant le chef d'État de la France — Tzarfat biblique dont parle le prophète Obadia — nation devant prendre en charge tout le message du cœur biblique dans la perspective messianique. Si la France a une autre vocation, qu'on me le dise vite. Peut-être elle n'en a aucune, comme voudraient le faire croire les philosophes nihilistes adeptes du matérialisme?
Pour l'instant les décideurs en France sont à cent lieues de concevoir le véritable contenu liant le pays au Liban. On nous sert des tartines d'humanisme de grande générosité dont les corrompus sur place feront leur affaire, sans aller au fond de la question : elle est spirituelle et engage le destin des deux nations.

Le Liban, (Lebanoun) nous rappelle la mission de la France et sa responsabilité face au Verbe. La France a le choix : n'être rien et sombrer dans l'anéantissement : être balayée par une onde de choc. Ou assumer ce pour quoi elle est faite et gagner sa raison d'être. Qui s'accompagnera d'un vaste développement culturel et économique pensé sur de toutes nouvelles bases dont nos actuels n'ont pas la moindre idée.
Peut-on dire cela à nos responsables ?
Que peut-on espérer de l'ignorance, somptueuse et fière, drapée d'orgueil et de suffisance, quand elle est au pouvoir ? Du moins existe-t-il une certaine intuition qui fait vibrer le cœur… Le cœur est bien le mot-clé de l'affaire libanaise.  

Qu'est-ce que le cœur ? Un organe passionnant à étudier en cardiologie et l'on y retrouve tous les éléments initiatiques fonctionnels du Modèle d'absolu dont il est la palpitante représentation organique dans notre corps, en liaison avec le cerveau.
J'aimerais dire au président Macron, au retour du voyage à Beyrouth, pour ce qu'il a vu de ses propres yeux l'étendue du désastre : « Tu sauras aujourd'hui, et tu le reconnaîtras en ton cœur que le Seigneur est Dieu… » (Deutéronome - Débarim, IV-39).
Dans ce verset, monsieur Macron, vous qui savez tant de choses — sauf peut-être l'essentiel, mais cela ne peut vous être reproché car ce que l'on ignore, on peut l'apprendre — le mot cœur est écrit d'une façon anormale. Et si ce n'était la Torah, les grammairiens s'insurgeraient contre cette orthographe « défaillante ». En effet, le mot « Leban » est écrit ici Lebban, ou plutôt : Al - lebban. Avec deux « bet ».  Pourquoi ?
L'organe cardiaque, dans sa physiologie, en deux moitiés Gauche et Droite — comme le cerveau — propose une réponse. Le mot désignant l'organe comporte ici deux « Bet », lettre de structure répétée dont chacune désigne ce que le talmudiste appelle un « penchant ». Celui du Qui Sait et celui du Qui Fait (cf La Face cachée du cerveau).
« Si tu recherches la vérité avec les deux penchants, tu la trouveras… » dit le talmudiste. Reste à savoir si la double explosion au Liban n'est pas le signe qui annonce la proche pulvérisation de ce double pilier soutenant l'Homme culturel. Ne sommes-nous pas déjà une humanité sans cœur, ravageant la planète, massacrant la vie au nom d'intérêts misérables ?

Si le Bet au cœur du Liban était anéanti,
ל ב נ ו ן
il ne subsisterait que les lettres Lamed et Noun, écrivant le mot « Lan » qui signifie « à nous » (cf dictionnaire El Maleh p. 1427).
Nous aurions le mot : 
ל נ ו ן
« A nous» (Lamed-Noun), un enseignement (Lamed) sans contenu, pour l'humain (Noun) parlant du cycle (Vav) de l'humain… Mais un humain dévitalisé, sans structure.
Et si l'on enlève les lettres Lamed et Bet (cœur) il ne reste que Noun tout seul : l'homme culturel (Noun) dans le cycle (Vav) qui ne sait de quoi se remplir, étant privée de tout enseignement, de tout savoir (Lamed), de tout cœur.
Humanité dont le cœur vital serait arraché et qui ignorerait même ce qui lui manque.
C'est pourquoi il importe que Lebban s'écrive avec deux Beit afin que nous nous rappelions le modèle d'absolu et sa structure unitaire en deux hémisphères, dont le temple à deux piliers évoque l'architecture. Ce pilier, aucune déflagration ne pourra l'anéantir : le peuple libanais le démontre, mobilisé qu'il est à défendre les valeurs de la Vie.
La France doit non seulement soutenir ce combat, mais s'en inspirer, se rappeler son idéal, son projet : culture, civilisation, Connaissance.

PS :
L'affaire du cœur, dans Don Quichotte
Lire les poignants chapitres 22 et 23 (vol. 2) de Don Quichotte où le célèbre chevalier descend dans la grotte de Montésinos. Dans un palais souterrain tout de cristal, Don Quichotte voit la sépulture du chevalier Durandart à qui le cœur fut arraché. Il rencontre le vénérable Montésinos qui est prié de transporter ce cœur sanguinolant en France : « je vous ai arraché le cœur du mieux que j'ai pu, sans vous en laisser la moindre parcelle dans la poitrine, je l'ai essuyé avec un mouchoir de dentelle ; j'ai pris en toute hâte le chemin de la France après vous avoir déposé dans le sein de la terre… » Dans la même grotte, Don Quichotte rencontre Bélerme, ayant bien reçu le cœur de Durandart, elle porte en procession dans ses mains l'organe vital de son amant… Une scène allégorique visant expressément la France, priée de recevoir le cœur de la Connaissance et de la prendre en charge.
Nous y travaillons.
— Je voudrais ajouter, quitte à déplaire : le Liban, complètement ruiné, se paie le luxe d'être en guerre contre Israël depuis des décennies. Je suggère à la classe politique nouvelle qui émergera de mettre au point un traité de paix avec Israël et de mettre fin à la haine qui est, elle aussi, un des éléments causant les désastres. Un renouveau spirituel doit naître avec la nouvelle nation qui ne gardera rien des anciennes erreurs.

Le Liban dans la Torah : dans le Cantique des Cantiques.


10 commentaires:

François-Marie Michaut a dit…

Je confesse humblement ma tendance à plomber ce blog de commentaires pas toujours d'intérêt général.
Mais là, je suis subjugué par la profondeur de cette lecture de ce qui se passe au Liban. Et encore plus des perspectives que cela ouvre pour chacun de nous.

Comment remercier Dominique Blumenstilh de nous livrer sans que nous ne demandions rien cet énorme travail d'investigation en profondeur ?

Quand je vois que la plus grande partie de la fin des articles publiés par le Monde sur le net n'est accessible qu'en payant un abonnement, j'avoue avoir un peu honte de cette inégalité...

Theophile a dit…

Retour au ras scientifique des pâquerettes du BOP de Beyrouth.
C'est du nitrate d'ammonium qui a explosé, dit-on.
L'ammonium, c'est l'azote. Le gaz le plus abondant que nous respirons, mélangé avec 25% d'oxygène.
Le mot azote a été inventé par Lavoisier. Azote veut dire privé de vie. Faut-il entendre que cela vient du patronyme : la voie (x???) (z) y est ?
Le nitrate de ce gaz devenu explosif se présente sous la forme d'un atome d'ammonium-azote au centre d'un cristal tétraédrique, avec donc 4 faces triangulaires.

Anonyme a dit…

Le même jour dans la commune de Martigues, le village de La Couronne s embrasait. Martigues est l anagramme de Guematri. La guematrie du département de Martigues (13500) est 9. Une invitation à considérer cet incendie comme un symbole?

Frédéric THOMAS a dit…

Dans le plan de cohérence avec la question soulevée ici de l'acte de Cham, ne pourrait-on rapprocher la mutilation sauvage de Beyrouth avec celle de la "biroute" (le pénis en argot) de Noah ? Et plus loin, relever l'opposition entre l'attentat de Cham et la Brit milah, acte de conscience réparateur dans le rituel instauré par Abraham ?
Le redoublement de Toulouse-azf sur Beyrouth me semble bien interpeller le Youd et le Pé de Japhet et alerter Tzarfat.

C.P. a dit…

Bonjour,
j'ai une question : quand on prend Toulouse et Beyrouth, et que l'on enlève les lettres identiques, il reste lous et Byrhn, Toulouse et Beyrouth ont le même nombre de lettres, et il reste 4 lettres, est-il possible de décoder quelque encore,
bonne journée,
Cordialement,
C. P.

Pierre REGINA a dit…

Ces deux explosions qui se sont produites à Beyrouth nous ramènent de fait à ce qui s’est produit à Toulouse sur cet autre site AZF.
A l’époque des témoins ont bien rapporté le fait de deux détonations qui se seraient produite et qui ont été clairement perçues.

D’abord le boum de l’explosion qui concernait le dépôt principal en question, puis quelques petites secondes plus tard une seconde explosion qui laissa par la suite les enquêteurs dubitatifs car aucunes traces ou quoique ce soit qui aurait été en lien avec cette étrange détonation n’était visible sur le terrain. C’est du moins ce que les medias avaient rapporté à cette époque.
C’est le fruit de recherches d’une connaissance à moi qui décela la cause vraisemblable de cette seconde et mystérieuse détonation.
Il m’exposa ces faits bien des années après que ce soit produit l’évènement.

Travaillant pour la police scientifique lui et son équipe avait été sollicitée par les autorités pour tenter de résoudre cet énigme.
Et ils en vinrent après d’intenses recherches sur place à la conclusion que cette deuxième détonation n’était en fait rien d’autre que l’écho de la première.
Un écho qui se serait produit selon ses dires à la faveur de conditions particulières et exceptionnelles dans l’atmosphère et impliquant des paramètres bien trop techniques pour le lambda que j’étais dans ce domaine.

Je crois néanmoins avoir compris que le constat d’un tel phénomène était une première d’un point de vue scientifique. C’est en tous les cas la version qu’il me livra, version vulgarisé à mon attention et dès lors je n’avais pas pu m’empêcher de songer en premier lieu au principe du bis-répetita si souvent évoqué par D.Aubier.

Cordialement

François-Marie Michaut a dit…

Ce matin vendredi 14 août 2020, le Monde annonce que Les émirats arabes unis viennent de reconnaitre l'existence diplomatique de l'état d'Israel.
Une première sensationnelle du Réel répondant au dernier paragraphe ("Je voudrais ajouter..." du stimulant article de DBR). L'explosion de Beyrouth avec son implosion politique ouvrant la porte aux soutiens iraniens du Hezbollah constituant le bip de cet improbable BOP géopolitique.
Un coup magistral de la 23ème lettre, celle que sut écrire Cervantes pour notre compréhension à retardement avec DA, via l'espace somatosensoriel du grand système des systèmes ?

Anonyme a dit…

je me demande si votre regard sur cet évènement pourra avoir un quelconque effet sur le gouvernement français!!!!!il me semble que les intérêts financiers (vente d'armes, promotion prochaine électtion et autres choses de type manipultions politiques) passent avant toute compréhension autre....

Domino a dit…

Réponse à C.P. qui a écrit :
"quand on prend Toulouse et Beyrouth, et que l'on enlève les lettres identiques, il reste lous et Byrh, Toulouse et Beyrouth ont le même nombre de lettres, et il reste 4 lettres, est-il possible de décoder ?"

Réponse : C'est très intéressant ! En effet si on enlève les lettres identiques, on garde Lous (Louz) et Beir (Bet, Yod, Resch).
Louz = lumière en espagnol et Luz est le lieu où Jacob pose sa tête quand il voit l'échelle.
C'est le nom de Jérusalem.
Bet Yod Resch, c'est Ber, le puits.
et Routh, c'est Resch Vav Tav, comme Ruth, la bis-ailleule de David (la femme de Booz).
or c'est de Ruth que descend la lignée messianique (elle était de Moab).
Alors Beir / Ruth pourrait s'entendre : "le puits de Ruth".
Autrement dit le puits d'où sort le lignée messianique (celle de David). On n'est pas surpris alors que ce lieu subisse des dangers, et qu'il soit visé par des forces négatives, mais il est protégé.

La France se sent particulièrement concernée car elle est liée et même responsable du messianisme. Le Liban est un terme biblique (n'en déplaise à certains) qui revient 6 fois dans le Cantique des Cantiques. et ses lettres écrivent une équation : l'enseignement de la Connaissance (Lamed) par la structure (Bet) ouvre à l'humanité (Noun) un cycle (Vav) porteur du projet culturel de l'humanité complète (Noun final).

François-Marie Michaut a dit…

Vite, vite, un cardiologue de l'Esprit !
Notre volatile mémoire collective a déjà oublié ce qui se passe et se joue au Liban, le jour où commence le tour de Tsarfat suivi chaque années par toutes les nations à la télé ! Comme un pélerinage dans un lieu saint...