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jeudi 10 février 2022

Le procès de l'horrible tueur de la petite Maëlys…

Par Dominique Blumenstihl

Plusieurs personnes me reprochent de ne pas m'intéresser assez à l'actualité. D'écrire des textes trop compliqués et abstraits alors que chaque jour il se passe des événements qu'il faudrait décrypter pour en comprendre le sens.

Alors j'ai choisi de revenir sur cette affaire dont les médias parlent tous les jours : le procès de l'horrible tueur de la petite Maëlys…

Je refuse d'écrire son nom. Cet individu s'est, par son (ses) actes, extrait lui-même de la communauté humaine. Son nom est effacé et ne saurait figurer en égalité avec celui de sa victime.

Dépassant l'événement brut de ce crime,  j'essaie de comprendre à quoi nous avons affaire… Car enfin, le diagnostic des psychologues qui qualifient le tueur de « pervers narcissique » est faible, et je redoute que ces termes n'ajoutent à la satisfaction que le malfaiteur tire non seulement du crime commis mais aussi de sa préparation, de sa dissimulation, de ses mensonges… Satisfaction de passer en justice, d'attirer l'attention, d'émettre de nouveaux mensonges…

Je ne puis me ranger à la naïveté des observations qui lui trouveront je ne sais quelle pathologie à dénomination savante.
Il existe en effet d'autres forces actives dans le monde, elles portent un nom, bien connu de la Tradition. Elles ne relèvent point de la psychologie. Ni de la maladie. Mais de la conscience la plus aiguë agissant pour le mal. Ce mal auquel notre société ne croit pas, auquel nos thérapeutes de l'âme ne croient pas, car ils sont persuadés que tout s'explique par les relations de cause à effet. Le « mal » pourtant est là. En tant que tel. Actif plus que jamais, avec ses officiants, ses « grands prêtres ». Avec son « Seigneur » qui, de temps en temps, daigne en personne nous visiter sur terre, et répandre malheur, crime. Avec l'ambition de s'imposer, en niant la vie, pour se faire admirer, vénérer, reconnaitre comme le Prince de ce monde.
Je crains que le tueur de Maëlys ne soit un de ses délégués dévoué. Je ne traiterai donc pas de ce lamentable individu, qui ne mérite pas que son nom soit jamais prononcé, mais de l'entité dont il est le serviteur à qui il a vendu son humanité : Satan.

Réfléchissons à cette entité.

Se pose la question :

— Satan existe-t-il ?

Dans ce texte, j'étudie la tactique du Serpent. Il se dissimule, brouille la vue, ne connaît que la manipulation, il accuse et une de ses délectations, c'est de dire… en partie la vérité… Il est menteur, imposteur, tricheur… et il veut que cela se sache   

Seule, en face de Satan, se dresse la Connaissance. La vraie Connaissance. Sans compromission, dans la droiture de son être. Nous y travaillons… avec vous.

6 commentaires:

Rose a dit…

En arabe, le mot correspondant est al-djabr, qui signifie « la réduction, la contrainte » , sommes nous en algèbre qui fait le travail de considérer les opérations
possibles autour du nombre ?
Le dossier dont vous parler est si ancien que seuls les textes en ont la mémoire .
C'est un dossier sur la division , en Gan Eden , division qui fût favorable au qui fait , le qui sait restant sur ses gardes ( les keroubims ).
Le jardin d'Eden est sans jardinier depuis si longtemps que ce n'est même plus une jachère ,mais un pays sauvage et déserté ?

DayaMayi a dit…

Bonjour, ca ne repond pas a la réflexion posée...mais j'aimerais que soit abordé le cas du petit Rayan, mort a 5 ans, le 5 du mois,au fond dun tres etroit puits( non protégé en surface) apres avoir soulevé des foules de prière dans le monde entier.
Merci

François-Marie Michaut a dit…

La psychiatrie parle de pervers narcissique comme d'un type de personnalité observé. Pervers veut dire qui prend plaisir à voir (faire) souffrir les autres, la "normalité" piquée à la tradition biblique étant d'aimer/aider son prochain. Narcissique : quelqu'un qui s'estime supérieur aux autres et doit le prouver.
Ce diagnostic étant fait, les cliniciens savent par expérience qu'ils sont incapables de modifier - traiter, guérir- ce mode de fonctionnement. La science ne le comprend pas, elle lui donne juste un nom.
La réadaptation est une chimère. Autant le savoir pour regarder les choses en face. Satan est bien parmi nous, nous ne savons pas l'éradiquer. Juste, et c'est énorme, le repérer pour lui saper son pouvoir qui est énorme.
FMM

Charles a dit…

Ce que racontent les sciences sont des aspects perceptibles par nos sens et nos techniques de la réalité que nous percevons.
A ce titre, elles doivent être respectées et étudiées de très près. Sans elles, madame Aubier n'aurait jamais pu écrire son double livre phare : La face cachée du cerveau.
En juste retour logique,les scientifiques sont-ils persuadés qu'il y a une face cachée à ce qui leur devient apparent par leur travail ?

Anonyme a dit…

Dans l'Absolu, règne de l’Être, le mal n'a aucun siège.
Le mal s'inscrit dans la dualité, il ne concerne que le régime relatif, donc son action dans l'espace-temps est limitée.
Le mal existe sans être. Image inversée de la vraie Lumière et voulant la singer, cet agent de rébellion - dangereux - n'a qu'un rôle mesuré dans l'organisation de l'existence passagère.
Serait-ce une entité tolérée dans la création de notre monde et de ses créatures dont nous sommes, dans le but que nous combattions avec cet adversaire ?
Combat intérieur terrible qu'il nous faut mener avec persévérance et vigilance affutée, et dont l'arme la plus efficace n'est autre en effet que la Connaissance conjointe à l'Amour.
L'enjeu étant de taille, puisque le Créateur nous propose cette lutte acharnée adaptée à notre dimension et qui, chaque fois que nous la gagnons densifie notre être divin en devenir.
Certes, ce combat est aussi au risque de se perdre...
Il faut donc bien admettre que certains se damnent eux-mêmes, lorsqu'ils ont tellement laissé entrer en eux les forces malignes, d'autant plus si l'individu est conscient... Et que ces fausses lumières ennemies, dotées d'une certaine intelligence se sont installées dans le bas mental endurci de celui_là, finissant par le diriger totalement dans le pire des cas.
Il revient à la justice d'en bas de juger les actes commis par de tels pervertis, et d'exécuter le verdict.
Quant à la Justice d'en haut, nul ne la connait.
Seul ce vide... qui nous laisse démunis et sans voix: la souffrance de l'enfant innocent (et de sa famille) qui a subi ces monstruosités.
Pourquoi ?
MFR
.

Anonyme a dit…

La question du bien et du mal, les religions ont toutes donné leur avis.
Leur perte d'influence nous obligent à chercher ailleurs ce qui en est. Le ni bien ni mal est si commode.