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dimanche 23 mars 2025

Que ferait Don Quichotte face à M. Trump et M. Poutine ?

Que ferait Don Quichotte face à M. Trump et M. Poutine ?
par D. Blumenstihl-Roth
 
 
Don Quichotte a l'habitude des adversités. Il rencontre plus d'une fois des « géants » et toutes sortes de moulins : à les affronter directement, il se retrouve jeté à terre. Cependant, il remonte toujours en selle (bien courbatu), prêt à contrer tout impertinent qui oserait remettre en cause la suprématie de sa dame de cœur, Dulcinée du Toboso.
S'il avait dû « négocier » avec un Poutine ou un Trump, qu'aurait-il fait ? Il ne s'y serait peut-être pas rendu : affronter le géant sur son terrain est périlleux, et tout torero le sait, qu'en aucun cas il ne doit entrer dans le territoire du « toro », mais au contraire, amener le « toro » vers lui. Cruel combat dans l'arène !
Don Quichotte aurait suivi les signes, quels qu'ils soient : lui disent-ils d'y aller, il s'y rendrait. Lui disent-ils de rester immobile, qu'il resterait sans rien faire et attendrait paisiblement tandis pleuvent les « tweets » colériques.
 
J'imagine Don Quichotte à la Maison Blanche, face à l'irascible Président des Etats-Unis qui ne jure que par le mercantilisme affairiste, idolâtre d'essence hyponeurienne. Je crois que Don Quichotte aurait avant toute chose expliqué qui il est : un « Caballero andante » tenu par une loi rigoureuse, qui l'oblige à promouvoir fermement certaines valeurs éthiques le poussant à mépriser la toute puissance de l'argent. Il en faut, certes, mais c'est son écuyer qui porte les pièces d'or, que lui-même ne touche jamais, étant essentiellement occupé à défendre la justice et proclamer la beauté « insupérable » de Dulcinée, qui n'est autre que la personnification de la grâce divine, la « Chékinah » des hébreux. Que l'Eglise catholique adapte sous l'image de « l'Immaculée Conception ».
Don Quichotte aurait alors, comme à son habitude lors de chaque rencontre, demandé courtoisement d'abord à son interlocuteur de reconnaître la supériorité de Dulcinée : elle est au-delà de tout objet d'adoration. Elle l'emporte sur toutes les impératrices, précise Don Quichotte, et de toute manière, « elle ne supporte aucune comparaison, si ce n'est avec le ciel même. » De plus, il faut l'aimer sans l'avoir vue, et c'est là justement la vraie admiration, que d'accepter la pré-éminence de sa beauté alors qu'elle est invisible. Elle mérite tous les éloges et toutes les reconnaissances du monde, et que M. Trump se garde d'en douter. M. Poutine, quant à lui, sera bien inspiré de s'aligner sur la droiture quichottienne s'il ne veut que sa tête ne soit fendue en deux par le « Caballero ».
 
— Allons, messieurs, dirait alors Don Quichotte, admettez que Dulzinea del Toboso (la douce lumière de la vérité) l'emporte ! Cessez vos lamentables pitreries qui ne causent que désastre sur terre ! Et sous l'égide de Dulcinée (« cette très haute dame ») engagez une discussion courtoise avec M. Zelinsky, qui de son côté, ne manquera pas de plier genoux devant la dame du Toboso. Car s'incliner devant la Chékinah, c'est lui rendre grâce.
Et attention, M. Trump, face à Don Quichotte, aucune vulgarité n'est admise ! La soumission à vos idoles est bannie. Vous n'aurez pas gain de cause parce que vous n'êtes pas le plus fort. La véritable force, c'est celle de l'esprit. Et vous, M. Poutine, cessez donc cet enfantillage de rêver à regagner un empire mesuré en kilomètres carrés de surface et de morts, passez des Nuits blanches, comme l'a fait Dostoïevski, plutôt à lire Don Quichotte (en russe) et devenez un de ses écuyers ! (C'est bien plus difficile que d'envoyer des missiles sur les hôpitaux et les écoles d'Ukraine).
Don Quichotte vous donnerait, à tous deux, une leçon de courtoisie, de savoir-vivre, de respect. Voyez comment Don Quichotte salue la paysanne en laquelle il croit reconnaître Dulcinée (chap. X, vol. II) ! Il ne méprise pas les trois villageoises montées sur leur ânons, il leur parle toujours en son langage châtié : Don Quichotte est le héros de l'anti-trumpisme, et son auberge n'est pas poutinienne.
A ces vulgaires qui se croient les maîtres du monde, nous leur exprimons notre compassion. Et nous, lecteurs de Cervantes, nous nous rangeons du côté de Don Quichotte, héros de l'élégance d'âme, qui jusqu'à son dernier souffle persiste dans sa noble attitude.
 
 

dimanche 9 mars 2025

Pluie de lumière sur les JO. Décryptage initiatique de la Cérémonie d’ouverture des JO.

Le film Pluie de lumière sur le JO s'adresse à tous les lecteurs de Dominique Aubier et amis de la connaissance :

Cérémonie d'ouverture de la 23e lettre de l'alphabet hébreu
Un film d'Olivier Verger 
Lecture initiatique en mode kabbalistique d'un événement mondial.
 
 

La cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques, Paris, du 26 juillet 2024, a eu un retentissement mondial. Une multitude de symboles ont été mis en scène, à la fois éblouissants, parfois controversés, qui attendaient que la lumière soit faite sur leur sens. Un journaliste de BFM soulignait, lors d'un entretien avec son organisateur, Thomas Jolly : « Il y a forcément plusieurs niveaux de lecture, il faudrait regarder plusieurs fois pour comprendre le sens de cet événement ».

C'est précisément ce qu'a fait le réalisateur Olivier, qui a passé le film de la cérémonie au crible d'une attention aiguisée, au travers d'une grille de lecture efficace ouvrant sur le sens du signifié. Il en résulte ce film : Pluie de lumière sur le JO où le cinéaste décrypte un à un les lumineux symboles qui ont inspiré l'artiste concepteur de l'événement.

Cette cérémonie d'ouverture des JO met en scène le Code d'universalité. On y voit apparaître — la surprise est de taille — le Code, tel qu'il s'écrit au travers de l'Alphabet hébreu, dans le flamboiement des symboles dont chacun raconte un épisode du processus révélatoire. « Tout se raccorde à la cohérence du principe d'unité du Code d'universalité fondé sur la puissance de l'Alphabet », précise la réalisateur. Ajoutant : « Toute l'histoire de la 23e lettre de l'Alphabet hébreu, lettre de synthèse, se déroule là, dans cette cérémonie, sous nos yeux, dans son parcours messianique. Elle demandait à être vue et comprise.» 

Le pari est tenu, dans ce film captivant, rythmé et méticuleusement construit. Il délivre un enseignement précieux qui confirme le rôle de la France au service de l'esprit.

 

 

 

 

Olivier Verger a été pendant 14 ans l'élève de Dominique Aubier. Il a collaboré à sa filmographie (20 films de la Série CinéCode) dévoilant l'identité du Modèle d'Absolu et son Code.

 

Pluie de lumière sur le JO

Réalisation : Olivier Verger

réalisateur des films de Dominique Aubier (série CinéCode) :

— Les secrets de l'Alphabet hébreu

— Les secrets des Séphiroth

etc.


lundi 3 mars 2025

Comment négocier avec Donald Trump ? Une méthode initiatique efficace

Comment négocier avec Donald Trump ?
Une méthode initiatique efficace
Par D. Blumenstihl-Roth


1 Analogie Trump / Esaü
Dans un blog précédent, j'ai établi l'analogie entre le nouveau président des Etats-Unis d'Amérique avec un personnage biblique bien connu. Je vois en lui une typologie ontologique qui, dans la Torah, se nomme ESAÜ (ESAV). Il suffit de relire les chapitres de Genèse où ce personnage apparaît pour reconnaître en lui un portrait ressemblant aux dispositions de M. Trump (Cf. Genèse, chapitre XXV).

Susceptible, violent et querelleur. Ce n'est pas insulter M. Trump que noter chez lui ces traits de caractère. Expert en diplomatie contondante, avec un sens aigu de l'intérêt immédiat (et personnel), appuyé sur la doctrine matérialiste : l'idolâtrie du « faire » et son corollaire inévitable de l'argent pour l'argent. Il a offusqué les dirigeants occidentaux qui, la main sur le cœur, s'imaginaient qu'une paisible linéarité de l'Histoire s'était installée. Voilà que M Trump « renverse la table ».
Esaü non plus n'est pas commode. Son frère, Jacob, en sait quelque chose. Négocier avec Esaü ? On n'obtient de lui rien qui n'aille, prioritairement, dans le sens de sa propre satisfaction, qui n'est pas exempte, par instants, de générosité — à condition que sa vanité en tire profit.

2 Notre-Dame et M. Trump
Le Président Macron s'est récemment rendu à Washington pour « discuter » avec le Président américain. Il y eut des accolades amicales, évocations de bons souvenirs, et notamment celui de la visite de M. Trump à Paris pour l'inauguration de la cathédrale Notre-Dame. Le sacré cependant n'a guère été retenu comme sujet de leur conversation, relégué à une dimension anecdotique. Alors qu'à mon sens, le Président Macron, en messager de la France, aurait dû insister sur la signification de la restauration de la cathédrale, inviter son homologue à considérer la dimension sacrée que pouvait revêtir leur rencontre : inventer une diplomatie sous la gouverne de « Notre-Dame », j'allais dire, en termes hébraïques, concevoir une diplomatie initiée sous la grâce de la Chékinah.
Argument qui aurait surpris M. Trump qui, ne buvant que du Coca-Light, ne se serait pas attendu à ce que le président français lui serve une coupe de sacré. Quitte à « renverser la table », pourquoi pas la sienne ?
La diplomatie européenne tente de convaincre M. Trump avec des discours rationnels qu'ils croient efficaces. C'est entrer dans le domaine de pensée de Trump-Esaü qui ne fonctionne qu'à la pensée hyponeurienne dont il a fait son credo. Nous oublions qu'Esaü est né pour prendre. Nous ne pouvons lui reprocher de vivre sa nature. Il faut la connaître, ne pas s'y soumettre, n'en pas devenir la proie. Opter pour la pensée épineurienne.

3 La diplomatie efficace de Jacob face à Esaü
Le président Poutine, de son côté, a cerné le personnage. Il lui parle son langage. Intérêt pour intérêt, les crocodiles ne se dévorent pas entre eux mais trouvent un terrain d'entente pour piéger leurs proies. L'Europe (le Président Macron rêve d'entrer dans l'Histoire comme un grand serviteur de la cause universelle de la Paix) pourrait s'inspirer de Jacob (le frère d'Esaü). Il est en constante dialectique avec ce frère inquiétant. Comment lui échapper, comment ne pas subir ses prédations ? Jacob évite les affrontements directs, il esquive, il surveille ce qui intéresse Esaü dont l'appétit est insatiable. La succession spirituelle ne l'intéresse pas bien que son droit d'aînesse la lui réserve. Aussi Jacob lui propose un contrat de vente de ce droit, en échange du fameux « plat de lentilles » qu'il lui prépare. Qu'Esaü engloutit. « Laisse-moi avaler de ce rouge » dit Esaü à son frère (Genèse XXV, 30). Qui lui répond « Vends-moi, aujourd'hui, ton droit d'aînesse. » Marché de dupe ? Esaü obtient ce qu'il désire : un bon repas. En toute connaissance de cause, il s'est débarrassé de ce qu'il ne voulait pas, ce droit d'aînesse qui lui pesait et qui le mettait dans l'obligation d'observer l'alliance abrahamique à laquelle il ne croyait pas. Il s'est déchargé d'une lourde responsabilité, Jacob l'a acquise loyalement et légalement.
Certains ont estimé que Jacob avait fraudé en vue de déposséder Esaü : un misérable plat de lentilles en échange d'une succession ! C'est oublier combien cette succession a entraîné de sacrifices au peuple de Jacob, qui, à travers les siècles, a maintenu sans faille la transmission de la Connaissance. Esaü n'a pas désiré assumer ce portage et ne peut, a postériori, sans avoir rien pris en charge, s'estimer spolié de ce qu'il n'a jamais voulu. Il a préféré la dévoration immédiate du « rouge », conformément à son idolâtrie du sanguinaire.

4 Revenons à M. Trump et M. Zelinsky
Le président ukrainien, M. Zelinsky, pense-t-il aux Textes ?  Il a raison de négocier avec M. Trump sur la base d'intérêts matériels, les seuls à qui soient à la portée de l'esprit de M. Trump. Cependant, pour aborder M. Trump, une pincée de spiritualité serait utile. Lui parler du sacré. La mémoire abrahamique du président Zelinsky devrait l'y aider.
Se rappeler que l'on a affaire à un émule d'Esaü. Il faut observer le « rituel ». Il faut l'honorer. Relire le chapitre XXXII de Genèse. Jacob doit rencontrer Esaü. Il installe une stratégie pour « complaire » à son frère. Envoi d'émissaires, propositions de cadeaux : « J'apaiserai son visage par le présent qui me devance… » dit Jacob (Genèse XXXII, 21). Choix judicieux des paroles dont aucune ne permet à l'irascible de s'en saisir.
Jacob craint Esaü et lui témoigne une soumission formelle. Esaü est sensible aux cadeaux de Jacob mais, magnanimité orgueilleuse du surpuissant, il les écarte avec dédain : « j'en ai amplement ; mon frère, garde ce qui est à toi. »  A quoi Jacob, toujours prudent, répond « Oh non ! Si toutefois j'ai trouvé grâce à tes yeux, tu accepteras cet hommage de ma main ; puisque aussi bien j'ai vu ton visage comme on regarde la face d'un ange, et que tu m'as été favorable. » Paroles que le Président Trump rêve d'entendre !
Jacob remercie Esaü. « Tu m'as été favorable ». Il lui offre des présents. Qu'Esaü finit par accepter. Esaü a besoin de « reconnaissance », de la soumission déclarée des autres, besoin viscéral d'être admiré et prouver qu'il existe.
Servons-lui des plats de « rouge » qu'il aime tellement, donnons-lui le prix Nobel de la Paix et, s'il le veut, celui de la littérature ! Disons-lui notre « admiration », déroulons-lui le « tapis (rouge) ». Et laissons le, sans l'affronter jamais, comme Esaü, prendre le « chemin de Séir » tandis que nous irons, en toute indépendance, et fermement résolus, notre propre chemin vers « Souccoth », vers l'esprit.

5 M. Trump est sous la domination de son « Allié »
Le Président Trump s'est rapproché de M. Poutine, en qui il voit un puissant dont il apprécie de recevoir la considération. De son côté, le président russe, en expert du KGB, l'a bien compris : il a certainement servi à M. Trump une diplomatie de révérence, lui exprimant son admiration, sur le ton d'une ineffable courtoisie. Il se sera non seulement très modestement fait passer pour la victime, inversant la réalité, mais il aura réussi à inoculer subliminalement ses éléments narratifs dans l'esprit de M. Trump qui en reprend textuellement les termes : M. Poutine a tout simplement « entrepris » le président américain par la porte de « l'Allié ».

 

L'allié est une notion initiatique. Tout être humain en a un. Il trempe dans toutes les affaires du monde. C'est la puissance qui manœuvre notre esprit, dans le sens de l'action, du comportement et du défaut. À quoi le reconnaît-on ? Réponse de Dominique Aubier (cf. son livre Inédits 1.) : « À la constance avec laquelle il intervient dans vos faits. C'est la disposition d'esprit qui s'oppose, en vous, à la réussite de votre sort. C'est le contraire de votre vocation. L'ennemi intérieur, le mauvais ange. C'est la puissance qui désire vous entraîner dans la faute, dans l'erreur. C'est l'élément concret qui accompagne votre force de vie pour la faire chavirer. Il interprète — en mal — à l'envers, le mot qui, au moment de votre conception, a frappé la cellule que vous alliez être, dans le cerveau de la Vie. Sa fonction est de favoriser vos vices. Chacun doit trouver son propre Allié. Chacun doit connaître le sien, l'apprivoiser, le dompter. A défaut, c'est lui qui fait de vous son esclave, tout en vous donnant l'illusion de la liberté ou du pouvoir. »

 

L'Allié de M. Trump se manifeste par l'irascibilité et la colère. Pour l'identifier, il faut trouver ce qui cause chez lui ces réactions : son Allié, c'est la volonté d'être reconnu et admiré. Son Allié hausse le ton dès qu'il perçoit le moindre frémissement de non-vénération. Son Allié le submerge, prend le pouvoir et dirige son être. Sa vocation est de réaliser la paix dans le monde, son Allié commence par le soutenir positivement, et soudain, il lui inspire la méthode inversée. 
« L'Allié sait où est la limite. Il faut la lui faire dire. C'est alors l'occasion de le maîtriser, alors qu'il est encore l'Hostile. Cette occasion nous est offerte dans des conditions fixées. Don Juan (cf. Carlos Castaneda) connaît cette obligation : " il faut vaincre le Gardien. Il faut chasser le diable de l'Allié." » M. Trump n'a pas réussi, jusqu'alors, dans sa vie, à maîtriser cet allié qui a désormais les pleins pouvoir sur lui. Tant que l'allié n'est pas maîtrisé, il demeure « l'Hostile », le pire adversaire de la vraie vocation. M. Trump en subit la domination. Il est arrivé au pouvoir, une seconde fois, soutenu par son Allié-hostile. Ce dernier ne manquera pas de lui présenter la facture de cet achèvement : l' « Allié inversé », en lui, l'enfoncera dans la déchéance au regard de l'Histoire, entraînant la déconsidération planétaire de son pays, s'il ne parvient, par un sursaut spirituel et un acte de conscience suprême à vaincre son « hostile » intérieur.

6 L'Ukraine quant à elle
ne disparaîtra pas. Elle entre dans une phase nouvelle de son existence, promise à une alliance inévitable avec l'Europe.
Jacob, devenant Israël, a recouvré sa terre, de même je crois que l'Ukraine regagnera son territoire. Cela se fera avec l'accord et le soutien des Etats-Unis : j'ose croire au retournement de situation, (tout dépend de la qualité de la révérence !), comme au chapitre XXXIII de Genèse où Esaü, d'ordinaire férocement courroucé contré Jacob, finit par le serrer dans ses bras lors du retour en Canaan. Jacob cependant prend vite un chemin différent (vers Souccoth), sachant qu'à tout instant Esaü pourrait à nouveau changer d'avis.

Le nom d'Esaü s'écrit Ayin, Schin, Vav
Il est sensible au verbe (Schin) mais ce verbe est exclusivement conditionné par l'apparence immédiate des choses qu'il regarde (Ayin). Cette perception exclusive du réel par son aspect littéral et matériel préempte sa pensée. Il adhère au narratif simpliste fait d'images bloquées et de poncifs. Cela conditionne toutes ses initiatives, dont chacune ouvre un cycle (Vav) faussé par cette vision cloisonnée.
Le succès pour lui peut en a résulté jusqu'alors, (Triumph), car il s'appuie sur la puissance du MA, puissance des forces matérielles du « faire » dans un univers qui est, lui aussi, un « faire ». Mais il y aussi danger pour lui de se « Trumper »  et le Mi informationnel, à tout moment, peut lui retirer son énergie.

 

 

Lire à ce sujet :
— La notion d'Allié, dans le livre Inédits 1.
— L'archétype de l'inversion, d'Esaü : dans le livre La Face cachée du Cerveau.


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