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mardi 3 mars 2015

C'est Pourim… En mémoire de la reine Esther ! Le devoir de mémoire.

 Pourim, le devoir de mémoire

Il est certes nécessaire de fêter Pourim et se souvenir que la Reine Esther et Mordehai ont sauver le peuple Juif il y a 2400 ans. Ensemble, ils ont réussi à conjurer le sort, et à retourner la situation.
Oui, il faut s'en souvenir et le célébrer dans la joie.
Mais est-il suffisant de "commémorer" ?
Devoir de mémoire… L'expression est belle, mais elle reste creuse si on ne sait pas exactement de quoi il faut se souvenir.
Se souvenir qu'il y a 2400 ans, il y a eu cette tentative de génocide ?
Se souvenir que deux personnes, initiées, ont réussi à faire en sorte que le désastre n'ait pas lieu ?
Se souvenir qu'il faut lire et relire la Méguillah d'Esther — non pour le récit, mais pour la compréhension des événements ?
Mais qu'en est-il de la leçon ? La leçon que nous enseigne le texte ?
Pour comprendre la Méguillah, il ne suffit pas de faire la fête. Ou de lire et relire le texte. Il faut entrer dans le coeur du propos et sonder la Méguillah ligne par ligne, mot par mot, lettre par lettre.
Alors la vérité se fait voir.
Et l'on comprend mieux comment Esther a fait.
Quelle était sa méthode. Sa technique. Sa stratégie. Je dirais même : sa politique.
Une grande leçon de pragmatisme.

J'ai écrit ce livre à ce sujet :


Pour aller plus loin que la simple célébration rituelle.
Pour dépasser la commémoration.
Pour aller vers le sens et l'engagement personnel : vers la délivrance du sens.


ESTHER, La Délivrance d'Israël

Décryptage de la Méguilla d'Esther

Dominique Blumenstihl-Roth
Éditions Peleman


La Méguilla d'Esther est un court chapitre biblique en 166 versets contant l'histoire de la jeune Hadassa, choisie pour devenir l'épouse d'Assuérus qui régna sur l'Assyrie, il y a 2400 ans.
Despote sanguinaire, ce roi organise et planifie un génocide dont il laisse le soin de le mettre en œuvre à son ministre Haman, descendant d'Amaleq. Le roi ignore cependant que sa propre épouse, dont il est fort amoureux, est juive.
Suivant le conseil de son cousin Mardochée, la jeune femme cache son identité et se fait appeler Esther. Parviendra-t-elle à empêcher le crime ? Quelle sera sa méthode ? Quel est son « code » lui permettant de voir clair dans les intentions assassines de son mari ? Quelle est sa grille de lecture ? Réussira-t-elle à déjouer le projet des exterminateurs ?
Cette étude propose une lecture inédite de la saga, en ce qu'elle dégage non seulement les clés archétypales de l'épopée, mais décrypte les procédés initiatiques déployés par Esther et Mardochée, réalisant ensemble le sauvetage in extremis du peuple d'Israël en un moment crucial de son histoire. La victoire d'Esther, aujourd'hui encore célébrée lors des fêtes de Pourim, met en garde : à tout moment, le pire peut recommencer… à moins que sa leçon soit entièrement dévoilée et comprise ? Pour entrer pleinement dans la confidence d'Esther, l'auteur sonde le texte hébreu originel, décode les versets et réalise le décryptage des lettres hébraïques par les procédés kabbalistiques aboutissant à une exégèse éclairante.

Dominique Blumenstihl-Roth est né à Strasbourg.
Auteur de séries radiophoniques pour France-Culture et la Radio nationale d'Espagne, il a écrit Jean Racine, Kabbaliste — les sources hébraïques du théâtre racinien — ainsi qu'une biographie de José Rizal. Il a été l'assistant de la kabbaliste Dominique Aubier pendant 27 ans.

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Bon de commande : (internet)
ESTHER, la Délivrance d'Israël
228 pages, éditions Peleman, ISBN 2-952221-6-4
Edition courante : 37 euros ; édition originale reliée numérotée : 57 euros
Expédition incluse pour toute destination CEE.
Autre : + 4,80 €

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DBR - Diffusion  BP 16 - 27 240 DAMVILLE - France / e-mail : dbr()dbmail.com


1 commentaire:

François-Marie Michaut a dit…

Pourim, devoir de mémoire ?
Oui, cela semble évident pour tout esprit un poil curieux.
Une question me travaille.
Existe-t-il un devoir de prise de parole quand on a le privilège de pouvoir recevoir un enseignement ?
Mon impression est un peu que chacun tête le lait de la connaissance uniquement pour sa petite jouissance personnelle. Ce que j'apprends, c'est à moi, et je me le garde.
Peut-on prétendre aimer les autres ( ou, au moins en avoir le respect ) quand on ne fait rien pour aller vers eux ?
Un enseignement sans un retour des apprenants vers les appreneurs ne peut être qu'un bourrage de crâne, et même une simple manipulation mentale.
Pardon de radoter, mais le devoir d'expression devenu techniquement facile est une nécessité plus que jamais vitale.