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vendredi 1 novembre 2019

La Porte de France. Dominique Aubier. Tome 3 de la série Haute kabbale de l'Eternité.

La Porte de France
Tome 3 de la série Haute kabbale de l'Eternité
 Dominique Aubier.

Présentation du livre par Dominique Blumenstihl-Roth
 

A la faveur d'un heureux hasard, à moins que le hasard ne soit la volonté de Dieu, j'ai trouvé un texte inédit de Dominique Aubier. Il s'agit de la suite de La Porte de l'Inde. L'ouvrage semblait mis en réserve dans la mémoire de l'ordinateur de l'Auteure où il s'était caché dans le repli d'un fichier non identifié. Dominique Aubier avait-elle renoncé à son édition ? Sa publication était-elle permise ?
Il n'était que lire le texte pour y trouver les instructions laissées par l'Écrivain. Sa publication non seulement était désirée, mais nécessaire. Reportée et non exclue : une phrase explicite y figure qui en prévoit l'édition après sa mort. Le temps aura par lui-même choisi le moment.

La Porte de l'Inde (tome 2 de la série la Haute kabbale de l'Éternité) était un livre singulier : Dominique Aubier s'en explique. « Ce livre raconte comment j’ai découvert, dans le répertoire cinématographique indien, l’existence d’une sélection de films récents ayant la propriété de rendre intelligible la symbolique de l’alphabet hébreu. L’étonnement m’a donné le courage d’éprouver la véracité de cette perception et les cinq premières lettres de la séquence ont été regardées au travers des films qui transportent en toute responsabilité l’enseignement de ce qu’elles sont, savent et signifient. Les lettres Alef, Beit, Guimel, Dalet et Hé ont été radiographiées, dans l’ordre où elles ont accroché mon attention… La fonction révélatoire, prouvée, en a été consolidée par la mise en évidence d’une pensée pédagogique prenant soin de guider le spectateur et l’exégète… »

Troisième volume de la série, le livre retrouvé s'intitule La Porte de France. Faisant suite à La 23ème Lettre de l'Alphabet hébreu (tome I) et à La Porte de l'Inde (tome 2), il offre une remarquable étude de plusieurs films initiatiques issus du cinéma indien qui ont ceci de particulier qu'ils déploient, au travers de leurs scénarii, un subtil exposé non seulement des archétypes actifs dans le réel, mais également… du code de l'Alphabet hébreu. La surprise est de taille. L'Alphabet désirant apparaître comme véritable maître d'œuvre invisible de ces créations artistiques s'affirme en puissance subliminale ayant guidé l'inspiration des cinéastes et des comédiens. Une dizaine de réalisateurs à l'imaginaire flamboyant, conscients ou non du phénomène, ont l'esprit assez libre pour recevoir cette induction céleste. Ils ont mis au point un projet cinématographique étonnant dont l'objet consiste à « faire voir » les Lettres dans leur puissance d'action. S'agirait-il d'une reprise de la thématique du Sinaï où les Lettres divines, données, apparaissent et se font entendre ? Serait-ce une réitération à portée mondiale, sur grand écran, donnant à voir, à entendre l'Alphabet et sa grande portée métaphysique ? Apothéose du 7è Art devenant vecteur de Révélation ?


Encore fallait-il que le regard d'une initiée compétente, expérimentée, parfaitement informée de la leçon initiatique, réalise le décryptage de ces œuvres qui, autrement, méprisées par la critique occidentale, passaient inaperçues.
Le décryptage des Lettres, exposées visuellement par le cinéma Indien, se réalise en langue française. Vocation de la France que d'être l'agent libérateur d'universalité. Cela est conforme à la prophétie Obadia, verset 20, selon laquelle la France (Tzarfat) serait, avec l'Espagne (Séfarad) — celle de Don Quichotte —, l'un des deux lieux qui abriteraient la sortie au grand jour du dévoilement. Dominique Aubier, dont on n'oubliera pas sa puissante étude de référence Le Principe du Langage ou l'Alphabet hébraïque, explore ici, au travers d'une sélection de films, plus précisément les lettres Alef, Guimel, Vav, Zaïn, Resch, Schin. Sans oublier le Tzadé dont elle rappelle qu'il est à l'initiale du mot Tzarfat qui désigne, en hébreu, la France.


« Va pour La Porte de France » écrit Dominique Aubier. Et de poursuivre : « J’ai mis la majuscule à Porte parce que c’est celle ouvrant à la parole absolue. Je continue à égrener les glyphes en scrutant les fastes des scénarii qui les exposent. J’irai jusqu’au bout même si mon comportement exaspère. »
Et d'ajouter : « L’opération a besoin d’être soutenue. Le cordon de fidélité qui m’entoure est déjà électrifié par la conviction de vivre le plus extraordinaire des événements. L’avis s’adresse à toute personne qui pourrait me reprocher de n’avoir pas prévu et inclus sa participation. Trop heureuse si elles sont plus nombreuses que le cœur ne s’y attend. C’est bien le cœur qui appelle et par-delà le mien, le nôtre et le vôtre, celui de l’amour qui fait la force de la vérité… »



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La Porte de France
348 pages au format 16,5 x 24.
Vient de paraître
57 euros (expédition 8 euros incluse).

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La Haute kabbale de l'Eternité :

— Tome 1. La 23ème Lettre de l'Alphabet hébreu
— Tome 2. La Porte de L'Inde
— Tome 3. La Porte de France. Vient de paraître.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

J'attends avec impatience les commentaires de ce blog.
Et là, c'est le vide. Je suis en manque, alors je plonge.
Bigre, faut charcuter le mot : COMMENTAIRE
- comme en terre, vivent les graines d'un autre chose
- comme enterre, au cimetière des idées toutes faites
- comment taire, mon envie de mourir moins idiot
Enregistrement terminé.

Sendirosch a dit…

Un livre remarquable,des révélations inimaginables, un peu complexe certes, ou l'on se retrouve dans l'intimité profonde de la pensée Aubiéresque.
Tellement actuel,c'est comme si Dominique Aubier est toujours avec nous !