Les hommages su succèdent pour commémorer les attentats (ou plutôt les victimes des) perpétrés contre Charlie heddo. J'ai trouvé que les médias passaient toujours au second rang (quand ils ne les occultent pas) les attentats ayant frappé le magasin hypercachère de la Porte de Vincennes à Paris, survenu quelques heures après. Les médias sont sensibles au fait que ce soient des confrères professionnels qui ont été tués. Les autres victimes sont en quelque sorte de « vagues anonymes ». Leur fascination à l'égard des assassins dépasse également les bornes : on a vu leurs photos jusqu'à en vomir. Les voici devenus des stars criminelles alors qu'ils méritent que leurs noms soient effacés de l'Histoire.
Autre défaut des médias : ils ont tendance à croire que ces actes soient dissociés. La modalité intellectuelle du journalisme traite les informations séparément, éclate les événements sans en produire la vision de synthèse. C'est le résultat de leur formation intellectuelle consistant à observer les événements comme des électrons dispersés sans s'apercevoir qu'ils gravitent autour d'un noyau. Ils passent d'un événement au suivant sans repérer le fil systémique les unissant.
À mon sens, ces attentats ne sont pas des actes épars, réalisés au petit hasard par des fous, mais des cibles soigneusement sélectionnées par des individus en pleine possession de leur moyens. Il s'agit de trouver l'élément de synthèse au cœur des événements, d'identifier le « noyau » réellement visé au travers des crimes.
Qu'est-ce qui est visé au travers de ces lieux et personnes ?
« Pour faire l'analyse initiatique correcte d'un événement, il faut commencer par repérer l'icône sur laquelle il se greffe. Ensuite, identifier le cycle où cette icône est active. Les dimensions du fait donnent celle du cycle ». L'affaire Charlie - hypercachère a le diamètre planétaire. L'icône, c'est l'archétype : il faut regarder les événements au travers des archétype pour en décoder le sens.
Un regard initié relèvera tout de suite la répétition du phénomène. Deux attentats qui se succèdent à brève échéance. Autrement dit : présence de l'archétype du Redoublement. Il y a eu deux attentats, dans un seul cycle temporel de 48 heures, deux jours, formant une unité conceptuelle. Dès lors que le même type d'acte se répète, on peut diagnostiquer l'existence d'une cohérence unitaire déployée en deux instances. Chose bien connue par les initiés des traditions ayant observé que les événements ont une tendance naturelle à se répéter, chose vérifiée par les sciences : le déploiement d'une réalité en deux instances dont la seconde est un rebond de la première a été observé… en biologie, en immunologie… Et c'est chose ultra connue dans la Torah hébraïque. J'en ai longuement parlé. Je ne reviens pas là-dessus, tant la chose a été démontrée (quand bien même le concept n'ait pas été intégré par les conventions culturelles).
Deux attentats donc, formant une seule unité cohérente, animés par la même volonté de tuer, d'annihiler.
Le magasin hypercachère de la Porte Vincennes indique très explicitement que l'attentat touchait au caractère juif de la cible. Était visé « Israël » au travers du choix motivé du tueur. Quel rapport avec Charlie ? À priori aucun. Cependant, si nous mettons nos lunettes, nous pourrons lire ce qui est écrit en petit entre les événements.
Existe-t-il un lien entre la cible hébraïque du magasin cachère et le journal satyrique ? Il semblerait que oui, puisque nous avons déterminé que les deux attentats étaient liés par le phénomène de la répétition. C'est dans le second attentat qu'apparaît l'identité dévoilée de l'intention meurtrière. Le caractère hébreu de la cible a été mis en exergue en 2. Qu'en est-il de « Charlie » ?
Le sens subliminal me paraît justement « super - caché » : un petit exercice kabbalistique de kérikétib résout l'énigme permettant d'ouvrir la Porte et de voir clair. Dans un blog précédant, j'ai ouvert tout le rébus subliminal contenu dans le mot « Charlie ».
J'ai expliqué que « Charlie » s'écrit en hébreu avec les mêmes lettres que le mot « Israel ». Pas la peine d'être un expert pour s'en apercevoir… encore qu'il faut le voir.
Charlie = שארלי
ישראל = Israël
En conséquence, la cible de l'attentat 1, c'était déjà Israël. Chose confirmée dans l'attentat 2 qui trahit ouvertement le nom de la cible qui restait encore subliminale en 1. Le 2 confirme le 1 et le redouble. Il s'agissait donc de décoder, décrypter le sens des événements, au-delà des poncifs relatifs à la liberté d'expression dont le journal Charlie hebdo serait le parangon. (Exposera-t-il cette thèse dans ses colonnes et trouvera-t-il assez d'humour et d'autodérision pour s'apercevoir que, dans son propre nom, Charlie cache un hôte secret ?)
Pour moi — pour tout kabbaliste — le sens des choses se situe dans les mots, dans les noms. Les noms exprimés dans toutes les langues que l'on connaît. S'agissant ici d'une cible clairement désignée par l'identité « cachère » il semble juste de se reporter à l'hébreu puisque c'est lui qui est visé. L'hébreu a cette capacité tout à fait unique de parler et dénoncer l'identité des choses au plus près des archétypes invisibles. « L'hébreu est la langue messagère par excellence, elle capte au plus près les informations délivrées par la réalité ». Aussi faudrait-il faire de ces deux mots « Charlie » et « Israël » une étude précise portant sur les lettres afin d'en dégager le sens le plus exact. La psychanalyse d'ailleurs fonde sa technique sur l'acception de la puissance nominative. D'où ma surprise que les commentateurs d'actualité et autres experts événementiels courant les médias n'aient pas relevé ce réseau sémantique circulant entre les deux attentats, et que les politiques n'aient pas fait le rapprochement. Cela leur permettrait de penser les choses tout autrement et leur feraient concevoir une politique intégrant la puissance de ce message. Ils ne parlent pas l'hébreu ? Ils peuvent tout de même en tenir compte si quelqu'un le leur dit… sans se réfugier derrière l'excuse selon laquelle ils ne connaissent pas cette langue.
Ces attentats ont provoqué un séisme dans l'opinion. L'émoi international a rassemblé dans les rues des millions de personnes manifestant, à n'en pas douter, contre le terrorisme. Cependant, le mot fédérateur scandé sur les médias et les poitrines fut: « Je suis Charlie ». Étrange identification à ce nom. S'est-on rendu compte du contour subliminal du slogan ? Aucun spécialiste parmi les élites de la publicité n'en a décrypté la portée du message caché. « Je suis Charlie » contient en effet par transparence, en langue hébraïque, le message « Je suis Israël ». Les deux mots s'écrivant en hébreu à l'aide des mêmes lettres.
Je suis Charlie s'écrit :
אני שארלי
Il suffit de déplacer la dernière lettre Yod et d'intervertir les lettres Resch et Aleph et on obtient :
אני ישראל
= Je suis Israël
Dès lors, qui est Israël ?
Israel s'écrit :
ישראל
Yod : l'énergie
Schin : le Verbe et les niveaux d'expression
Resch : la structure
Aleph : le système
Lamed : l'enseignement
Cette lecture du nom Israël est tirée du livre Le Principe du Langage ou l'Alphabet hébraïque, par Dominique AUBIER.
En voici le sens exact, lettre par lettre, mis en relation avec la structure corticale : l'énergie circule sur les niveaux d'organisation (du sens littéral au sens symbolique jusqu'à l'élucidation du sens) dans une structure cérébrale Resch (Rosch désigne le Cerveau) où le Système (le verbe) est enseigné.
Tuer Israël c'est tuer le Cerveau du monde.En voici le sens exact, lettre par lettre, mis en relation avec la structure corticale : l'énergie circule sur les niveaux d'organisation (du sens littéral au sens symbolique jusqu'à l'élucidation du sens) dans une structure cérébrale Resch (Rosch désigne le Cerveau) où le Système (le verbe) est enseigné.
C'est tuer le Verbe, la Parole. Pour faire de nous une humanité barbare, régressive vers les états de sauvagerie.
Oui mais quel rapport entre Charlie et l'hébreu diront les sceptiques. L'archétype du Redoublement établit le lien. Depuis Charlie à l'hypercachère, c'est une seule et même cible qui fut dans le viseur des tueurs, et cette cible cachée dans « Charlie » devient explicite dans la seconde cible. Elle porte le nom même, dissimulé dans « Charlie ». Je parle d'Israël. De l'Israël spirituel dont le nom signifie « lutter pour l'Esprit », en référence à Jacob qui obtient ce nom, franchissant le gué du Jourdain après avoir terrassé les forces hostiles. J'ignore si l'État d'Israël, ayant repris ce nom, accomplit actuellement cette mission… L'important, c'est que la France accomplisse sa propre mission, qui est de voir clair, d'expliquer et d'exposer les choses bien comprises. À chacun sa mission, et le fait que ces attentats se soient déroulés en France, dans la capitale est aussi un signe : c'est à la France de dire au monde « je suis Charlie ». Autrement dit…
Partout dans le monde, des millions de personnes ont arboré des Tee-shirt marqués « Je suis Charlie ». Autrement dit, toutes ces personnes, sans le savoir, affirmaient leur soutien et solidarité à la cause de l'Esprit. S'ils l'avaient su avant, il n'est pas certain qu'ils auraient pris cette initiative.
L'Invisible, grand inspirateur de nos actes manqués, aura usé d'une extraordinaire habileté en nous faisant dire, à notre corps défendant, ce message de solidarité avec la cause de l'Esprit, au grand dam de ceux qui en nient l'existence. Humour suprême de l'Invisible, il prend la parole à sa manière (liberté d'expression oblige), nous faisant dire ce que nous ne voudrions pas, et accomplir ce que nous ne ferions jamais si notre opinion consciente nous gouvernait pleinement.
4 commentaires:
où les consciences sont-elles alors impactées ? que l'Esprit agisse, c'est évident ,c'est Sunya En-Soph . Y a t-il un effet vibratoire ? ,
à la fois sur ceux/celles qui affichent "Je suis Israël" ;et par extension diffusion à partir du nombre sur un nombre plus important
d'existences ?
"Je suis Israel" est un ppel de l'Esprit voulant se faire connaître pour nous rappeler que c'est Lui le grand patron ! Et cela même pour les gens qui nient, ignorent, rejettent son existence. Le message nous concerne tous, et pas seulement une élite qui parlerait l'hébreu. Puisqu'il suffit (et c'est le rôle de ce blog) de rendre la chose publique, de l'expliquer à tous. Le message est pour tous, en partage.
En esprit nous sommes avec vous Dominique ...et en public .
Et,nous espérons devenir des multiplicateurs publiques de
l'oeuvre de Dominique Aubier / Dominique B-Roth.
Est-ce là la raison de notre présence sur ce blog ?
Curieusement, Domino écrit hypercachère dans son papier. L'enseigne du lieu de massacre est hypercacher. Le caché que lit le parler français ignorant de tout ce qui est hébraïque - donc caché à son intelligence est distillé par Domino en cachère. I(l) perd qu'a cher. En s'attaquant à ce magasin, celui qui veut tuer le peuple juif reçoit sa réponse foudroyante. Il perd ce qui a une grande valeur.
Le panneau indicateur concerne tous les "Je suis Charlie" de la planète. Invitation urgente à se demander comment eux-mêmes considèrent/ignorent/méprisent tout ce qui est Israel comme expliqué magistralement dans le papier absolument remarquable de Domino.
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