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lundi 23 novembre 2015

POURQUOI LES ISLAMISTES TERRORISTES ATTAQUENT LA FRANCE ET COMMENT REAGIR…

Pourquoi les islamistes terroristes attaquent la France ?
Justement : "parce que c'est la France".
Qui est la "France" ? Le pays des bistrots ?
Très intéressant : car le bistrot, c'est le lieu où l'on parle. Et si la vocation de la France, c'était justement de parler. Mais parler pour quoi dire ?
Pour bien comprendre la vocation de la France et de la Francophonie, je propose de regarder du côté de la Torah (Bible hébraïque) qui sait exactement qui nous sommes et pourquoi nous sommes faits.

Alors ouvrez bien vos yeux.


Il y a en effet, dans la Torah, un chapitre signé "Obadia" où le nom de la France apparaît, alors même qu'à l'époque où le texte a été écrit, la France n'existait pas encore.
Et les exilés de cette légion d'enfants d'Israël, répandus depuis Canaan jusqu'à Çarefat, et les exilés de Jérusalem, répandus dans Sefarad, possèderont les villes du MidCe texte dit que : "les exilés de cette légion d'enfants d'Israël répandus depuis Canaan jusqu'à Tzarfat, et les exilés de Jérusalem, répandus dans Séfarad, posséderont les villes du Midi…"
Le nom de la France apparaît très clairement : "Tzarfat", ainsi que celui de l'Espagne ("Séfarad").
Et les exilés de cette légion d'enfants d'Israël, répandus depuis Canaan jusqu'à Çarefat, et les exilés de Jérusalem, répandus dans Sefarad, possèderont les villes du Midi

Et les exilés de cette légion d'enfants d'Israël, répandus depuis Canaan jusqu'à Çarefat, et les exilés de Jérusalem, répandus dans Sefarad, possèderont les villes du Midi
Et les exilés de cette légion d'enfants d'Israël, répandus depuis Canaan jusqu'à Çarefat, et les exilés de Jérusalem, répandus dans Sefarad, possèderont les villes du Midi.Et les exilés de cette légion d'enfants d'Israël, répandus depuis Canaan jusqu'à Çarefat, et les exilés de Jérusalem, répandus dans Sefarad, possèderont les villes du Midi.Cette prophétie d'Obadia dit aux "exilés" de partir vers Séfarad, c'est-à-dire l'Espagne, et c'est d'ailleurs ce qui s'est produit, il y a plus de 2000 ans lorsque les premières communautés juives, en exil, sont arrivées en Espagne.
En second temps, les exilés se rendront en "Tzarfat", c'est-à-dire la France. Les noms de deux pays sont écrits en toutes lettres dans la prophétie biblique. Il y a donc deux "sorties messianiques", l'une en Espagne, l'autre en France. La double reprise du phénomène messianique est connue de tous les rabbins et ne fait aucun mystère dans la tradition hébraïque.
A ce sujet, la prophétie Obadia est sans équivoque. Elle est reprise par Cervantès qui la met en œuvre dans Don Quichotte. Le messie, selon la Torah au chapitre Obadia pointera son nez en "Sefarad", donc en Espagne lorsque la connaissance hébraïque flambera dans ce pays. Séfarad est le lieu de la première percée messianique.

Cervantès, avec Don Quichotte, intègre toute la connaissance hébraïque. Il délivre, de manière pédagogique, toute la Connaissance en Occident, à commencer par l'Espagne. Cervantès écrit Don Quichotte. Il récupère les données issues de la tradition hébraïque et il leur confère l'enroulement structurel. D'où son extraordinaire portée universelle.
Selon la tradition, il existe trois mouvements messianiques, symbolisés par trois personnages bibliques que sont Joseph, David et Ephraïm.
Pour moi, Cervantès remplit toutes les conditions pour occuper l’un des postes. Il a effectué le relevé de la Révélation reçue par Moïse, portée par la réflexion hébraïque, pour le transférer à l'Occident sous la forme romanesque. Il a accompli sa mission de "passeur".

La même prophétie Obadia indique qu'après l'Espagne de Don Quichotte, c'est la France (Tzarfat) qui deviendra le territoire d'expansion du messianisme.
C'est exactement cela que les terroristes islamistes veulent empêcher.
Empêcher que la France remplisse sa mission. 
La France est frappée précisément parce que c'est le pays de la sortie messianique, absolument prévue dans Genèse et Obadia.

L'islamisme radical — y compris celui qui émerge de la France intra muros — agit en dynamiteur du processus culturel que le territoire et sa pensée doivent générer. La France est particulièrement visée, non pas comme un ennemi quelconque, mais comme l'adversaire absolu car c'est de là que doit venir, selon la Torah, l'élucidation de la voie messianique. L'ennemi de ce processus se positionne très clairement sur la voie opposite, et cela apparaît si l'on se réfère à l'Alphabet hébraïque.
Regardons de près comment s'écrit le mot Tzarfat (France). Il faut voir, dans les lettres composant le mot, quelle est la signification du message.


Tzarfat, nom de la France en hébreu, est le mot-clé.
La lettre Tzadé en initiale montre une double polarité :
 ץ

De là vient notre clivage en deux pôles contraires qui déchirent notre pays. La divergence est enracinée dans le génie du pays, manifestée par le Tzadé qui est à l’initiale de son nom. Dominique Aubier écrit à ce sujet :
"La France est toujours entre les deux extrêmes. Mais la France s’affirme fortement unitaire quand les contraires se parlent et ils ne se parlent jamais si bien qu’en langue française. C’est pourquoi la France est le territoire du Qorban. Elle est au paroxysme de sa puissance quand elle rapproche les contraires. Elle les met « ensemble » et elle atteint ainsi la véracité communicable qui habite la réalité." (1)

"Le texte fondateur de cette prise de conscience est toujours le verset 20 d’Obadia. Le prophète désigne Tzarfat comme étant obligatoirement le lieu où surgirait le geyser messianique, après que Sépharad ait préparé le terrain. L’Espagne, de son côté, étale la substance de la doctrine à élucider. La France s’en empare et lui offre le traitement qui en libère l’enseignement. Son nom l’indique. Son génie entre en fonction et en efficience quand le cycle civilisateur en vient à écrire Tzadé. La péninsule ibérique a arrondi la formation cyclique autour du message. La France le soumet alors à son jeu de raquette. Du point Tzadé 900, pléthorique, elle renvoie la balle sur le Tzadé 90 qui la rabat au-dessus de lui sur le Qof."(2)

Après les attentats du 13 novembre 2015, la France entière est appelée à vivre un bouleversement total de son état d’esprit.  Les naïfs croient qu'il s'agit de "continuer de vivre comme avant". Faire comme si de rien n'était, comme si rien ne s'était passé… C'est la dernière des absurdités que croire que les choses continueront "comme avant".
Le Président de la République a dit, avec justesse, qu'il fallait lutter contre le terrorisme islamiste par "tous les moyens". Cela implique que ce n'est pas seulement une affaire de législation, de police ou d'armée. C'est affaire de prise de conscience. Notre prise de conscience est l'arme la plus efficace pour mettre l'idéologie animant les terroristes en échec. Nous devons donc savoir qui nous sommes, qui est notre pays et quelle est sa responsabilité.
Elle est d'essence culturelle, civilisatrice : je dirais "messianique", bien que ce mot puisse déranger ou incommoder.
Le Président de la République, M. Hollande, a également souligné que le terrorisme était fomenté par des idéologies, au "nom d'un Dieu trahi". Je suis tout à fait d'accord avec cette expression. Dieu a été trahi, par ceux là-même qui revendiquent les meurtres en son nom.
Il s'agit dès lors de réparer cette trahison et renouer la relation avec Dieu, à l'endroit. De réaliser ce que l'on appelle, dans la Tradition, un Tikoun : un acte initiatique propre à réparer les faisceaux brisés par la folie meurtrière.
Je crois que la France a pour mission de réaliser cette "réparation", au sens lourianique.
Dès lors, il faut avoir le courage de son identité et être à la hauteur de la mission française. La mission française… elle concerne toute la jeune génération que l'on appelle désormais la génération "Bataclan".
Cette génération sera-t-elle prête à s'engager au service de cette vocation ?

Le mot "Bataclan" est au pavois. Il se fait entendre partout. C'est donc qu'il mériterait une exégèse précise qui nous dirait exactement où nous en sommes et comment réagir. Mais je crains que si je me lançais dans cet exercice, cela susciterait une peine immense car elle met en cause la frivolité intellectuelle de notre nation, le dilettantisme de son élite et son incapacité à dégager le sens véritable des événements. La génération "Bataclan" devra tout justement intégrer tout autre chose que les poncifs qui articulent actuellement notre projet culturel. Chercher le sens des événements et ne pas avoir peur de l'affronter…

Suite de l'article sur le Blog

Pour bien comprendre la mission française, lire ou relire son livre :
Don Quichotte, le Prodigieux secours :
Qu'est-ce que le messianisme : pages 161-222
Le secret de Tzarfat : pages 432-447
Sur l'Islam, lire aussi : L'intégrisme musulman et l'Occident.

Un sujet qui devrait être au cœur de toutes les conversations dans les bistrots de Paris.
Et les exilés de cette légion d'enfants d'Israël, répandus depuis Canaan jusqu'à Çarefat, et les exilés de Jérusalem, répandus dans Sefarad, possèderont les villes du Midi
- וְגָלֻת הַחֵל-הַזֶּה לִבְנֵי יִשְׂרָאֵל אֲשֶׁר-כְּנַעֲנִים, עַד-צָרְפַת, וְגָלֻת יְרוּשָׁלִַם, אֲשֶׁר בִּסְפָרַד--יִרְשׁוּ, אֵת עָרֵי הַנֶּגֶב.

4 commentaires:

ELIDUKFAR a dit…

j'habite un village pres de jerusalem. depuis 5 ans j'ai assisté a 2 ou 3 brit milot dans ce village de 500 familles dont une vingtaines française. le premier shabbat apres l'année de shmita shabbat berechit nous avons eu une brit. Fait remarquable car une brit shabbat est deja un evènement, remarquable, mais un shabbat apres la shmita, le premier, est encore plus, remarquable de remarquable!. Etais present le klal qui a valeur aujourd'hui de prophète dans notre pays, ainsi qu'un représentant de la knesset qui a l'équivalent du nassi toranique, et qui plus est, est un cohen et a donc béni l'enfant. donc l'enfant fut beni par un prphète et un prince du peuple ! remarquable de remarquable de remarquable....Mais le remarquable du remarquable du remarquable du remarquable fut le nom donné à l'enfant, iddon, qui selon les téhilims est un des prenoms du machiah, et son pére est, bien sur, de famille française!!! c'est la raison de mon ecrit aujourd'hui car au final j'ai plaisir a penser que nous avons assisté ce jour là, à la brit du machiah...simplement.....

Anonyme a dit…

Oui, c'est très remarquable ! Vous avez assisté la naissance de cet enfant qui signale le Machiah. Cet enfant est le représentant symbolique qui invite à considérer que le messianisme est là. Cependant, il n'est pas à titre personnel le Machiah, et il ne faut pas confondre entre le symbolisme et la chose symbolisée. Le petit Idon est très important car il indique que c'est du côté de la France qu'il faut regarder. Le messianisme doit s'opérer en Tzarfat, voir Obadia et Genèse 28-14 (oufaratza). Le messianisme c'est l'opération de "sortie" par laquelle la Connaissance d'Israël se répand dans le monde. Cette opération se fait en 2 temps (fils de Joseph et fils de David). La première ouverture se fait par l'Espagne (Sefarad) et la seconde par Tzarfat (France). Le petit Idon est le signal que la France est maintenant au coeur du problème, parce que c'est un pays très réfractaire à sa propre mission, un pays divisé sur le Tzadé et qu'il ne parvient pas à choisir le bon côté du Tzadé. S'il reste sur le Tzaddé 900 c'est le désastre… Lire à ce sujet "L'Alphabet hébraïque" par Dominique Aubier.

Anonyme a dit…

J'aime beaucoup lire vos explications Dominique ainsi que les commentaires bien que je sois française avec une connaissance nulle des livres hébraïques mais je comprends. Je comprends aussi la synchronicité comme votre coq et le petit Idon, je note aussi les 2 marches pour la Paix au Donbass 1 venant de l'Est et l'autre de l'Ouest pour se retrouver à Kiev et ce du 3 au 27 juillet 2016. Ce que j'entends aux bistrots et dans les rues sont comme une prise de mayonnaise, si je peux me permettre, les gens ont compris en grande majorité qui étaient leurs véritables ennemis et que nous, et nos enfants, sommes perdus si nous ne réussissons pas. C'est tout simple. Mais nous aimons nos enfants. Que Titus se relève ! :)

Anonyme a dit…

On a mis le chahut avant l'hébreu.