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samedi 25 août 2018

Commentaire sur Hava (Eve) et le Serpent biblique (2)

Le Péché d'Eve (2/2)

Commentaire kabbalistique. Par Dominique Blumenstihl-Roth

Cet article est la suite du Commentaire sur le Péché d'Eve paru ici.
Dans la première partie de cette étude j'ai fait la différence entre Isha et Hava en distinguant le sens de leurs noms respectifs. En aucun cas, Hava n'est liée aux force de Vie, dans la mesure où son nom ne contient ni le Yod ni l'Alef . Revenant au texte de Genèse, j'en viens à élucider ici les rapports entre Hava et le Serpent. Ce commentaire peut paraître difficile car j'entre dans le codage hébraïque. Mais avons-nous le choix si nous désirons ouvrir le sens des versets ? Un lecture patiente devrait lever la difficulté. Je vous en remercie.


1. Les tuniques de peau

Le savant Rabbin Elie Munk signale que certains commentateurs estiment qu'Eve fut nommée ainsi parce qu'Adam avait décidé qu'elle ne pouvait plus être « la compagne à ses côtés qui l'aiderait à atteindre le but idéal de sa vie, mais que son rôle se limiterait à être la mère de tous les vivants ». Il indique que « les Sages du Midrach voient dans l'assonance entre le mot serpent ( חיויא ) et Hava l'allusion du reproche adressé par Adam à sa femme… » Et ajoute que « Baya relève la parenté entre le nom de Hava et le verbe signifiant raconter, rapporter, bavarder (cf Job XV, 17) et remarque que le nom de la femme touche discrètement le vice par lequel elle incite l'homme au péché. » (Elie Munk, La Voix de la Thora, la Genèse,  éditions de la Fondation Samuel et Odette Levy, librairie Colbo, Paris 1969, p. 43). Le commentaire rabbinique est très intéressant en ce qu'il relève un jeu d'assonance entre deux mots. Dès lors allons plus loin. Dépassons l'assonance et entrons dans les mots, allons jusqu'au cœur des lettres qui les composent. Car toucher à la Lettre, c'est cela, lire véritablement le Texte. Repartons de la note d'Elie Munk et observons que le mot « serpent » חיויא en effet consonantique de Hava, possède deux Yod, donc beaucoup d'énergie. Et un Aleph. Serait-ce l'Aleph volé à Ischa ? Et cette répétition du Yod : l'un d'eux au moins aurait-il été volé à la Vie pour que Hava en soit dépossédé au bénéfice du Reptile qui s'accapare doublement l'énergie du Yod, relancé par l'Aleph final ?
Dans la Torah, le serpent se nomme Nahasch. Noun Het Schin. Il ouvre le verset 3 de Genèse et nous apprenons qu'il était rusé. Son nom s'écrit ainsi :
 נחש
Un mot — un nom — qui mérite que l'on s'y attarde et j'y reviendrai dans un prochain Blog. Dans l'immédiat, le Lecteur impatient pourra se rendre au commentaire très détaillé qui en est donné dans le livre Catalina, de Dominique Aubier.
 
Aurais-je fait une découverte ?
La bibliothèque hébraïque est tellement vaste qu'il est impossible au commun des mortels de la cerner au cours d'une seule vie. C'est pourquoi je n'aurai pas l'outrecuidance de prétendre à une découverte, étant presque convaincu qu'un talmudiste ou kabbaliste en ait parlé avant moi. Je ne voudrais pas lui voler les mérites des observations ci-dessous dont je ne suis peut-être que le répétiteur (en Bop). Un inconnu de moi a-t-il déjà conduit la démonstration ? En attendant de connaître son nom et de l'ajouter ici même, je le salue fraternellement en lui présentant mes excuses de ne pas le connaître. De toute manière, j'estime — découverte originale ou redite — que c'est le Texte lui-même, désirant être vu et remarqué, qui se projette sous la rétine du Lecteur et qu'il donne à voir ce qu'il estime devoir être vu. Je n'aurais donc d'autre mérite qu'avoir mis mes lunettes au bon moment. Et encore : qui m'a inspiré de porter ces lunettes à cet instant-là ?
Au verset de Genèse 30-20, « L'homme donna pour nom à sa compagne Hava parce qu'elle fut la mère de tous les vivants. L'Éternel-Dieu fit pour l'homme et pour sa femme des tuniques de peau, et les en vêtit », on s'aperçoit que les 10 mots hébreux suivant le mot Hava (donc écrit sans Aleph et sans Yod) possèdent tous soit un Aleph, soit un Yod, soit les deux. Cette série de 10 se referme sur un mot qui ne possède ni Aleph ni Yod :
כ ת נ ו ת  Caf Tav Noun Vav Tav qui signifie « tuniques de peau ».
Rachi, surnommé « Parchan Data », c'est-à-dire l'Interprète de la Loi, passe directement de Hava à tuniques de peau. Étrange commentaire que celui qui consiste à rester silencieux sur la phrase qui unit ces deux mots. Est-ce une invitation — par défaut — pour passer au crible ce qui se dit dans ce silence ? Il se passe bien des choses entre ces balises. En effet, entre Hava (premier mot à droite) et « tuniques de peau » (dernier mot à gauche), on compte 10 mots contenant Aleph ou (et)  Yod. Voici l'extrait des versets de Genèse 30/ 20-21 en hébreu pour que vous puissiez suivre le raisonnement :
חוה  כי  הוא  היתה  אם  כלחי  ויעש  יהוה  אלהים  לאדם  ולאשתו  כתנות    

Compter les Yod et les Aleph : on peut le faire même sans connaître l'hébreu. 5 Aleph א et 6 Yod י (en gras surlignés) sont répartis sur ces 10 mots suivant le nom de Hava qui n'en possède aucun. L'énergie de l'Aleph (5 fois) reprise par Yod (6 fois) se fixe sur tous les mots sauf celui de la personne ayant ouvert le cycle : le rythme est le suivant : Yod Aleph Yod Aleph Yod Yod Yod Aleph Yod Aleph Aleph. Le cycle inauguré par Hava se déploiera donc dans son entièreté de 10 strates (10 mots) réparties normalement sur 6 couches, 6 relances de l'énergie Yod. Tout cycle vivant s'organise en 6 couches et 10 strates. Voir La Face cachée du Cerveau. Ainsi en est-il de la Création en 6 jours et 10 paroles. On remarquera ici, que dans les 10 mots suivant Hava, on ne trouve que 5 Aleph. Où est passé le 6ième ? Est-ce l'Aleph manquant à Hava ?
À l'issue de la série des 10 mots contenant Aleph ou Yod, apparaît un mot ne contenant pas ces deux lettres et qui signifie « tuniques de peau ». Il ferme le cycle ouvert par Hava. Il existe donc un lien entre les deux mots :  

 חוה  et  כתנות

Hava en ouverture du cycle est liée aux tuniques de peau en fin de cycle. Est-ce couverte de tuniques animales que l'humanité finira en fin du cycle inauguré par l'absence d'Aleph ? L'expression « tuniques de peau » a fait l'objet de nombreux commentaires, dont celui du Rabbin Elie Munk qui note que le mot « peau » est constitué en hébreu des mêmes lettres que le mot qui signifie « aveugle ». Ces tuniques de peau « enveloppent tout l'univers et rendent l'homme aveugle ».  Ce cycle enfanté par Hava, sans Aleph, sans Yod, aboutit à recouvrir l'esprit de l'homme d'un voile obscur, soumis à l'autorité d'une entité qui a subtilisé ces deux lettres codantes de Vie. Ne sommes-nous pas les « enfants de Hava », vivant dans un cycle privé de l'Aleph et de Yod ? Cette tunique de peau, n'est-ce pas celle du positivisme matérialiste faisant de nous les adorateurs du Veau d'or, rendant culte à l'économie-reine, nous jetant aux pieds des idoles du « Faire » ? Ce rejet délibéré de l'Aleph (est-ce là le fameux « péché d'Ève ?), rejet du système divin, tellement visible dans le nom Hava, construit un projet civilisateur tout entier fondé sur cette négation. L'absence d'Aleph et de Yod ressort à l'issue du cycle, dans ce mot  כתנות (tunique de peau) contenant deux fois la lettre Tav, redoublement de la dernière de l'alphabet qui balise effectivement la fin. Une fin sans Aleph. L'Aleph final ayant été concédé au Serpent : 
 חיויא
   2. Nahasch, nom du Reptile rusé Il ne manque pas d'indiquer que l'Homme (Noun) doit traverser le Pont (Het) afin d'atteindre les sommets du verbe (Schin). Sa valeur numérique est 358. Même valeur numérique que le mot « messie », Maschia. (Mem, Schin, Yod, Hé). « Le serpent est la scorie de l'or » écrit l'auteur du Zohar (vol I, Béréchit III, traduction Charles Mopsik, éd. Verdier, p. 268).
Quoi de plus normal que les deux opposites absolus soient reliés systémiquement comme le sont l'onde et la particule et que l'une indique toujours où se trouve l'autre, sans qu'elles se touchent jamais ? Par inversion, le Serpent dénonce le messie. Il en est « l'anti », le traitre jaloux et c'est paradoxalement grâce à lui que l'on peut identifier le Messie : au point que pour signaler le Messie, le Serpent est devenu, pour certains, son emblème qu'il fallait bien entendu lire dans une configuration inversée au miroir : il figurait sur la bannière de la tribu de Dan de laquelle le messie est issue du côté maternel.  C'est toujours dans le paradoxe qu'évolue la reptation du reptile, aussi Nahasch, rusé, induit l'humanité en erreur par son discours perfide cependant que la marche à suivre correcte se trouve indiquée, à son insu, dans son nom : traverser le Pont (labyrinthe), réaliser la montée. La nature l'a pourvu d'une langue bifide : le vie projette sur ce détail de l'anatomie le sens de l'archétype à repérer : dualité, bifurcation, ambiguïté. Suggère-t-il de demeurer, stagner, croire en la toute puissance du secteur linéaire de sa pensée construite sur le raisonnement de cause à effet, que son propre nom trahit le mensonge de sa parole inversante. Son nom indique à l'homme culturel (Noun) que le Verbe (Schin) se situe en face, sur l'autre Rive, celle dont il ne veut pas. Nahasch est le négateur du Maschia auquel il est pourtant intimement lié : Maschia contient le  Schin, le Verbe doté de l'énergie Yod, soutenant la structure Hé. Le — ou la ! car il se pourrait que ce soit une femme — Maschia sera donc l'instructeur du nouveau cycle (Mem) doté du Verbe, de l'énergie, corrigeant l'effet calamiteux issu de l'erreur d'Ève. La venue du Maschia, dit la tradition, mettra fin à la souffrance du Serpent. Je reparlerai de cela dans un prochain Blog. Dès maintenant, on peut étudier la question du messianisme en regardant ce film : le messianisme.
Le cycle imposé par Hava se distingue par l'absence de l'Aleph-Yod.  Il commence par Hava et se termine par « des tuniques de peau ». De nombreux initiés ont tenté de le corriger. Il faut en compter au moins 10 puisque 10 mots contenant Aleph ou (et) Yod s'écrivent après Hava. Parmi eux, certainement Noé, Abraham, Moïse… Sans aucun doute Jésus de Nazareth, Aqiba, et qui sait, certains prophètes d'autres traditions dont l'action ne saurait être minimisée, s'agissant d'une restauration collective (rassembler les étincelles) touchant l'humanité entière d'un cycle gravement blessé. Je compte parmi ces grands correcteurs le Maître qui m'a formé, qui m'a expliqué ce passage de la Torah et sans qui ces lignes ne pourraient être rédigées. J'ignore si, à ce jour, en 2018 (— mis à jour 2020 !) nous sommes sortis de ce cycle de l'Aleph manquant et du Yod subtilisé. Les réparateurs ont fait de leur mieux, pour réaliser progressivement le Tikoun adamique. Il n'en reste pas moins que l'action décisive sera l'œuvre du Messie, et c'est le Serpent lui-même qui l'indique, étant l'inverse de la démarche messianique dont il siffle (ou persifle pour s'en moquer ?) la mission au travers des lettres écrivant son nom. 

3. Hava n'est pas la « vivante ».
Je tire les précisions sur le nom de Hava de l'enseignement de Dominique Aubier qui m'avait expliqué que (voir son livre Catalina, p. 184 et 225) : « Hava » n'est pas analogue au mot « vivant ». Pour être vivante, il aurait fallu qu'elle porte le nom de « Hiya » ou « Hayi », c'est-à-dire qu'elle fasse sortir le « Yod » du tunnel. En réalité, « Hava », c'est la « fumeuse », « l'enfumeuse », « l'éteinte ». Son nom s'écrit Het, Vav, Hé. Avec ces trois lettres on peut écrire « Havoh », c'est-à-dire publier, énoncer, dire. Et en effet, Hava rend publique son erreur. Avec un Yod en plus, on aurait « Havaiah » : le vécu, l'expérience, l'événement qui marque la vie de quelqu'un. Mais sans le Yod, sans l'énergie, qu'est-ce que l'expérience ? En réalité Hava a raté son expérience, elle s'est contentée de la logique linéaire, croyant que les choses allaient continuer comme par le passé. Elle n'a pas intégré la nécessité de « passer ». Il y a une grande différence entre Hava et Hiviah. Entre les deux, il existe un pont. Or l'hébreu, c'est justement le passeur. Hava n'est pas passée. Dès lors, si elle est la « mère de tous les vivants » ce sont les vivants d'une humanité déchue. Hava est l'anti-passeuse.
La correction est cependant possible. Réalisée analogiquement par une femme, donc par une initiée qui non seulement dénonce l'erreur, mais accomplit le redressement, et opère le grand « tikoun » réparateur. C'est peut-être chose déjà faite ? J'en suis convaincu. Les temps messianiques sont déjà en cours. J'en ai parlé à la fin de l'article publié sous le titre « mâle et femelle furent créés à la fois » où j'évoque l'idée selon laquelle le messianisme opératif serait œuvre féminine.

Faut-il préciser que les hommes ne sont pas exclus de l'aventure messianique, s'agissant de trouver en eux la part féminine la plus instruite pour avancer dans ces temps nouveaux ?

Dominique Blumenstihl-Roth


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Références :


Pour les personnes désirant reprendre des éléments de ce blog : les textes publiés ici bénéficient de la protection des droits d'auteurs. Il est donc nécessaire et juste de citer loyalement la source.
Je remercie les personnes qui apportent leur aide et soutien à ce Blog et à l'édition des ouvrages de référence cités.

9 commentaires:

Serge a dit…

A la lecture de ce texte flamboyant , comme d'habitude chez DBR, il me vient l'idée que Havoh , l'éteinte/l'enfumeuse , a drôlement bien réussi son intention de rendre sa présence ( elle est encore là)comme bande passante pour l'humanité . Je la vois plutôt comme la auto-victime sacrificielle qui a magistralement réussi son pari d'ouvrir l'humanité au messianisme et c'est elle qui tient à distance le persiflage du discours trop évident du faire . Bien enfumé le nahasch !! Ce que démontre de façon unique Dominique Aubier .

Anonyme a dit…

Bonjour à chacun des lecteurs de ce blog où je n'ai aucun intérêt personnel. Juste un fan sans nom intéressant.

Je souligne la dernière ligne de cet article si riche d'enseignement. Belle modestie,est écrit en tout petit :

"Je remercie les personnes qui apportent soutien et mécénat à ce blog et à l'édition." Avec un lien pour faire un don directement par internet.

DBR livre sur ce blog des trésors. Comme tout homme, il a besoin de vivre. Aucun échange n'est durable s'il n'est pas à double sens. Si on enlevait le hérisson au fond de sa poche ?

Serge a dit…

L'impasse Caïn-Abel une fois mise au clair , il reste le signe de Dieu sur Eve & Adam
par le troisième fruit de leur rencontre quoi que Eve souligne que l'enfant -Seth- soit un pur produit divin dont Enoch sa progéniture laissera apparaitre le renouveau d'un dialogue direct entre dieu et ces nouveaux enfants .Le nom de dieu sera a nouveau célébré .On peut rendre à Eve son Iod provisoirement éloigné ? Rusée l'Eve ? Ruse élève ?

François-Marie Michaut a dit…

Proposition d’un commentaire d’une petite partie de ce texte remarquable ( à relire absolument tant il est riche).

Je cite DBR : « Hava en ouverture du cycle est liée aux tuniques de peau en fin de cycle. Est-ce couverte de tuniques animales que l'humanité finira en fin du cycle inauguré par l'absence d'Aleph ?
L'expression « tuniques de peau » a fait l'objet de nombreux commentaires, dont celui du Rabbin Elie Munk qui note que le mot « peau » est constitué en hébreu des mêmes lettres que le mot qui signifie « aveugle ». Ces tuniques de peau « enveloppent tout l'univers et rendent l'homme aveugle ». Fin de citation

Pour l’esprit centrifugé par le formatage scientifique dont je viens, une évidence.
La rencontre entre « tuniques de peau » et « aveugle » fait tilt. Le diagnostic médical jaillit : la cataracte. Cataracte en grec veut dire quelque chose qui se met en travers, qui freine. Mais le père Moïse qui a bien connu le coin sonne l’alarme. Les cataractes ce sont des parties très importantes du cours du Nil, comme des torrents. Sans elles, et les crues fertilisantes, disent les historiens, il n’y aurait pas eu de civilisation égyptienne,

Dernière petite remarque, cette fois zoologico-vestimentaire. Pour les serpents, la mue est un beau changement saisonnier de tunique animale, non ? De là à conclure que c’est le serpent biblique qui a formaté les descendantes d’Eve à avoir un tropisme particulier pour les fringues, il y a un pas aux relents sexistes de mauvais aloi. Ce qui n’est possible qu’à ceux qui n’ont pas lu l’article.

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Serge a dit…

Un aparté en secret de Rosée avec Catalina Dora Pierre Amar(d) et DaBaR , comment exalter la puissance de cet ouvrage qui Dit la Bonaventure aux Français .
Bien sûr Dominique Aubier est encore parmi nous à travers ses textes ,mais le DaBaR
qui nous reste est ici , le dernier initié en mesure de tenir la Tête Haute et Parlante se nomme Dominique Blumenstihl Roth .

Bill Boquet a dit…

Les temps messianiques ne sont pas en cours ? Mais si, mais si...

François-Marie Michaut a dit…

Cet article commence, en titre, par Commentaire sur Hava ... (2).
Écrire un commentaire, c'est aussi ce que propose Google pour les blogs innombrables qu'il héberge.
Ici, comment ne pas penser au Talmud ? Fantastique cette idée quand les rouleaux de la Thora du 2éme temple de Jérusalem ont été brulés : conserver ce qui reste dans les mémoires. Collecter par écrit les commentaires de ceux qui avaient en eux la connaissance du texte sacré sans se soucier s'ils étaient parfois contradictoires et abordant toutes les choses de la vie de chacun, y compris les plus pratiques.
Importance de la discussion, des échanges, des désaccords.

Il me semble - j'ai peut-être tort - que la fréquentation de ce blog devrait inciter chaque personne à entrer dans la danse des commentaires. Risque de dire des bêtises, d'avoir l'impression d'enfoncer des portes ouvertes, de pas être compris ? Et alors ? L'important c'est de participer. Y a pas que les JO dans la vie.

Anonyme a dit…

N’ayant vraiment aucune notion de ses textes , mais dont j’apprécie l’intervention de chacun , j’apprends en lisant vos commentaires et l’approfondissement du texte pour cela je vous remercie infiniment 🙏

Théophile a dit…

Commentaire sur le post Anonyme du 10 sept.
Bel encouragement pour les producteurs de commentaires de Kaballah qui font jaillir des étincelles de compréhension !