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lundi 24 septembre 2018

La Synthèse des Sciences — ou l'hébreu en Gloire


Un livre de Dominique Aubier
(Edition originale, éditions Qorban)



Ce livre exceptionnel établit la corrélation exacte entre le code génétique humain et le Code de la Vie qu’est l’Alphabet hébreu. Dominique Aubier démontre que c’est là, dans cet Alphabet, que se trouve la véritable synthèse, tant désirée, tant réclamée et jamais mise au point dont rêvent les scientifiques.


Les chercheurs, en effet, savent qu’il doit exister un agent de synthèse qui, par sa formule identitaire, engloberait tout le réel. Mais quel est cet agent d'universalité ? La science est loin de l'avoir cerné… Le Réel, quant à lui, a sa propre voix, son propre langage, sa propre sémantique. Et la vérité est là, devant nous, lisible par tous : à condition de voir CLAIR et d’ouvrir les yeux sur le CODE… de la Torah hébraïque. Le code de l’Alphabet hébreu. La langue de Moïse décalque en effet au plus près les choses dans leur essence ; elle écrit en lettres d’or le grand livre de la vie parlant l’Unité, la Structure et son système…

Cet ouvrage magistral s’appuie sur un contrôle subtil de l’hébreu scripturaire et s’orne d’une rare précision de la pensée. Un livre majeur au regard de la révélation et de l’avancée messianique.


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Bon de commande
La Synthèse des Sciences
Ou l’Hébreu en gloire

 

272 pages, 16 x 24 cm, livre cousu, 77 euros
Ouvrage typographié et imprimé en Espagne, sur papier de luxe par Arte Graficas Solers.
Planches et lettres hébraïques calligraphiées,
Edition originale exceptionnelle, 77 €
Expédition incluse pour la France.

Pour la CEE/Suisse : + 6 euros.
Autres pays : + 9 euros

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samedi 25 août 2018

Commentaire sur Hava (Eve) et le Serpent biblique (2)

Le Péché d'Eve (2/2)

Commentaire kabbalistique. Par Dominique Blumenstihl-Roth

Cet article est la suite du Commentaire sur le Péché d'Eve paru ici.
Dans la première partie de cette étude j'ai fait la différence entre Isha et Hava en distinguant le sens de leurs noms respectifs. En aucun cas, Hava n'est liée aux force de Vie, dans la mesure où son nom ne contient ni le Yod ni l'Alef . Revenant au texte de Genèse, j'en viens à élucider ici les rapports entre Hava et le Serpent. Ce commentaire peut paraître difficile car j'entre dans le codage hébraïque. Mais avons-nous le choix si nous désirons ouvrir le sens des versets ? Un lecture patiente devrait lever la difficulté. Je vous en remercie.


1. Les tuniques de peau

Le savant Rabbin Elie Munk signale que certains commentateurs estiment qu'Eve fut nommée ainsi parce qu'Adam avait décidé qu'elle ne pouvait plus être « la compagne à ses côtés qui l'aiderait à atteindre le but idéal de sa vie, mais que son rôle se limiterait à être la mère de tous les vivants ». Il indique que « les Sages du Midrach voient dans l'assonance entre le mot serpent ( חיויא ) et Hava l'allusion du reproche adressé par Adam à sa femme… » Et ajoute que « Baya relève la parenté entre le nom de Hava et le verbe signifiant raconter, rapporter, bavarder (cf Job XV, 17) et remarque que le nom de la femme touche discrètement le vice par lequel elle incite l'homme au péché. » (Elie Munk, La Voix de la Thora, la Genèse,  éditions de la Fondation Samuel et Odette Levy, librairie Colbo, Paris 1969, p. 43). Le commentaire rabbinique est très intéressant en ce qu'il relève un jeu d'assonance entre deux mots. Dès lors allons plus loin. Dépassons l'assonance et entrons dans les mots, allons jusqu'au cœur des lettres qui les composent. Car toucher à la Lettre, c'est cela, lire véritablement le Texte. Repartons de la note d'Elie Munk et observons que le mot « serpent » חיויא en effet consonantique de Hava, possède deux Yod, donc beaucoup d'énergie. Et un Aleph. Serait-ce l'Aleph volé à Ischa ? Et cette répétition du Yod : l'un d'eux au moins aurait-il été volé à la Vie pour que Hava en soit dépossédé au bénéfice du Reptile qui s'accapare doublement l'énergie du Yod, relancé par l'Aleph final ?
Dans la Torah, le serpent se nomme Nahasch. Noun Het Schin. Il ouvre le verset 3 de Genèse et nous apprenons qu'il était rusé. Son nom s'écrit ainsi :
 נחש
Un mot — un nom — qui mérite que l'on s'y attarde et j'y reviendrai dans un prochain Blog. Dans l'immédiat, le Lecteur impatient pourra se rendre au commentaire très détaillé qui en est donné dans le livre Catalina, de Dominique Aubier.
 
Aurais-je fait une découverte ?
La bibliothèque hébraïque est tellement vaste qu'il est impossible au commun des mortels de la cerner au cours d'une seule vie. C'est pourquoi je n'aurai pas l'outrecuidance de prétendre à une découverte, étant presque convaincu qu'un talmudiste ou kabbaliste en ait parlé avant moi. Je ne voudrais pas lui voler les mérites des observations ci-dessous dont je ne suis peut-être que le répétiteur (en Bop). Un inconnu de moi a-t-il déjà conduit la démonstration ? En attendant de connaître son nom et de l'ajouter ici même, je le salue fraternellement en lui présentant mes excuses de ne pas le connaître. De toute manière, j'estime — découverte originale ou redite — que c'est le Texte lui-même, désirant être vu et remarqué, qui se projette sous la rétine du Lecteur et qu'il donne à voir ce qu'il estime devoir être vu. Je n'aurais donc d'autre mérite qu'avoir mis mes lunettes au bon moment. Et encore : qui m'a inspiré de porter ces lunettes à cet instant-là ?
Au verset de Genèse 30-20, « L'homme donna pour nom à sa compagne Hava parce qu'elle fut la mère de tous les vivants. L'Éternel-Dieu fit pour l'homme et pour sa femme des tuniques de peau, et les en vêtit », on s'aperçoit que les 10 mots hébreux suivant le mot Hava (donc écrit sans Aleph et sans Yod) possèdent tous soit un Aleph, soit un Yod, soit les deux. Cette série de 10 se referme sur un mot qui ne possède ni Aleph ni Yod :
כ ת נ ו ת  Caf Tav Noun Vav Tav qui signifie « tuniques de peau ».
Rachi, surnommé « Parchan Data », c'est-à-dire l'Interprète de la Loi, passe directement de Hava à tuniques de peau. Étrange commentaire que celui qui consiste à rester silencieux sur la phrase qui unit ces deux mots. Est-ce une invitation — par défaut — pour passer au crible ce qui se dit dans ce silence ? Il se passe bien des choses entre ces balises. En effet, entre Hava (premier mot à droite) et « tuniques de peau » (dernier mot à gauche), on compte 10 mots contenant Aleph ou (et)  Yod. Voici l'extrait des versets de Genèse 30/ 20-21 en hébreu pour que vous puissiez suivre le raisonnement :
חוה  כי  הוא  היתה  אם  כלחי  ויעש  יהוה  אלהים  לאדם  ולאשתו  כתנות    

Compter les Yod et les Aleph : on peut le faire même sans connaître l'hébreu. 5 Aleph א et 6 Yod י (en gras surlignés) sont répartis sur ces 10 mots suivant le nom de Hava qui n'en possède aucun. L'énergie de l'Aleph (5 fois) reprise par Yod (6 fois) se fixe sur tous les mots sauf celui de la personne ayant ouvert le cycle : le rythme est le suivant : Yod Aleph Yod Aleph Yod Yod Yod Aleph Yod Aleph Aleph. Le cycle inauguré par Hava se déploiera donc dans son entièreté de 10 strates (10 mots) réparties normalement sur 6 couches, 6 relances de l'énergie Yod. Tout cycle vivant s'organise en 6 couches et 10 strates. Voir La Face cachée du Cerveau. Ainsi en est-il de la Création en 6 jours et 10 paroles. On remarquera ici, que dans les 10 mots suivant Hava, on ne trouve que 5 Aleph. Où est passé le 6ième ? Est-ce l'Aleph manquant à Hava ?
À l'issue de la série des 10 mots contenant Aleph ou Yod, apparaît un mot ne contenant pas ces deux lettres et qui signifie « tuniques de peau ». Il ferme le cycle ouvert par Hava. Il existe donc un lien entre les deux mots :  

 חוה  et  כתנות

Hava en ouverture du cycle est liée aux tuniques de peau en fin de cycle. Est-ce couverte de tuniques animales que l'humanité finira en fin du cycle inauguré par l'absence d'Aleph ? L'expression « tuniques de peau » a fait l'objet de nombreux commentaires, dont celui du Rabbin Elie Munk qui note que le mot « peau » est constitué en hébreu des mêmes lettres que le mot qui signifie « aveugle ». Ces tuniques de peau « enveloppent tout l'univers et rendent l'homme aveugle ».  Ce cycle enfanté par Hava, sans Aleph, sans Yod, aboutit à recouvrir l'esprit de l'homme d'un voile obscur, soumis à l'autorité d'une entité qui a subtilisé ces deux lettres codantes de Vie. Ne sommes-nous pas les « enfants de Hava », vivant dans un cycle privé de l'Aleph et de Yod ? Cette tunique de peau, n'est-ce pas celle du positivisme matérialiste faisant de nous les adorateurs du Veau d'or, rendant culte à l'économie-reine, nous jetant aux pieds des idoles du « Faire » ? Ce rejet délibéré de l'Aleph (est-ce là le fameux « péché d'Ève ?), rejet du système divin, tellement visible dans le nom Hava, construit un projet civilisateur tout entier fondé sur cette négation. L'absence d'Aleph et de Yod ressort à l'issue du cycle, dans ce mot  כתנות (tunique de peau) contenant deux fois la lettre Tav, redoublement de la dernière de l'alphabet qui balise effectivement la fin. Une fin sans Aleph. L'Aleph final ayant été concédé au Serpent : 
 חיויא
   2. Nahasch, nom du Reptile rusé Il ne manque pas d'indiquer que l'Homme (Noun) doit traverser le Pont (Het) afin d'atteindre les sommets du verbe (Schin). Sa valeur numérique est 358. Même valeur numérique que le mot « messie », Maschia. (Mem, Schin, Yod, Hé). « Le serpent est la scorie de l'or » écrit l'auteur du Zohar (vol I, Béréchit III, traduction Charles Mopsik, éd. Verdier, p. 268).
Quoi de plus normal que les deux opposites absolus soient reliés systémiquement comme le sont l'onde et la particule et que l'une indique toujours où se trouve l'autre, sans qu'elles se touchent jamais ? Par inversion, le Serpent dénonce le messie. Il en est « l'anti », le traitre jaloux et c'est paradoxalement grâce à lui que l'on peut identifier le Messie : au point que pour signaler le Messie, le Serpent est devenu, pour certains, son emblème qu'il fallait bien entendu lire dans une configuration inversée au miroir : il figurait sur la bannière de la tribu de Dan de laquelle le messie est issue du côté maternel.  C'est toujours dans le paradoxe qu'évolue la reptation du reptile, aussi Nahasch, rusé, induit l'humanité en erreur par son discours perfide cependant que la marche à suivre correcte se trouve indiquée, à son insu, dans son nom : traverser le Pont (labyrinthe), réaliser la montée. La nature l'a pourvu d'une langue bifide : le vie projette sur ce détail de l'anatomie le sens de l'archétype à repérer : dualité, bifurcation, ambiguïté. Suggère-t-il de demeurer, stagner, croire en la toute puissance du secteur linéaire de sa pensée construite sur le raisonnement de cause à effet, que son propre nom trahit le mensonge de sa parole inversante. Son nom indique à l'homme culturel (Noun) que le Verbe (Schin) se situe en face, sur l'autre Rive, celle dont il ne veut pas. Nahasch est le négateur du Maschia auquel il est pourtant intimement lié : Maschia contient le  Schin, le Verbe doté de l'énergie Yod, soutenant la structure Hé. Le — ou la ! car il se pourrait que ce soit une femme — Maschia sera donc l'instructeur du nouveau cycle (Mem) doté du Verbe, de l'énergie, corrigeant l'effet calamiteux issu de l'erreur d'Ève. La venue du Maschia, dit la tradition, mettra fin à la souffrance du Serpent. Je reparlerai de cela dans un prochain Blog. Dès maintenant, on peut étudier la question du messianisme en regardant ce film : le messianisme.
Le cycle imposé par Hava se distingue par l'absence de l'Aleph-Yod.  Il commence par Hava et se termine par « des tuniques de peau ». De nombreux initiés ont tenté de le corriger. Il faut en compter au moins 10 puisque 10 mots contenant Aleph ou (et) Yod s'écrivent après Hava. Parmi eux, certainement Noé, Abraham, Moïse… Sans aucun doute Jésus de Nazareth, Aqiba, et qui sait, certains prophètes d'autres traditions dont l'action ne saurait être minimisée, s'agissant d'une restauration collective (rassembler les étincelles) touchant l'humanité entière d'un cycle gravement blessé. Je compte parmi ces grands correcteurs le Maître qui m'a formé, qui m'a expliqué ce passage de la Torah et sans qui ces lignes ne pourraient être rédigées. J'ignore si, à ce jour, en 2018 (— mis à jour 2020 !) nous sommes sortis de ce cycle de l'Aleph manquant et du Yod subtilisé. Les réparateurs ont fait de leur mieux, pour réaliser progressivement le Tikoun adamique. Il n'en reste pas moins que l'action décisive sera l'œuvre du Messie, et c'est le Serpent lui-même qui l'indique, étant l'inverse de la démarche messianique dont il siffle (ou persifle pour s'en moquer ?) la mission au travers des lettres écrivant son nom. 

3. Hava n'est pas la « vivante ».
Je tire les précisions sur le nom de Hava de l'enseignement de Dominique Aubier qui m'avait expliqué que (voir son livre Catalina, p. 184 et 225) : « Hava » n'est pas analogue au mot « vivant ». Pour être vivante, il aurait fallu qu'elle porte le nom de « Hiya » ou « Hayi », c'est-à-dire qu'elle fasse sortir le « Yod » du tunnel. En réalité, « Hava », c'est la « fumeuse », « l'enfumeuse », « l'éteinte ». Son nom s'écrit Het, Vav, Hé. Avec ces trois lettres on peut écrire « Havoh », c'est-à-dire publier, énoncer, dire. Et en effet, Hava rend publique son erreur. Avec un Yod en plus, on aurait « Havaiah » : le vécu, l'expérience, l'événement qui marque la vie de quelqu'un. Mais sans le Yod, sans l'énergie, qu'est-ce que l'expérience ? En réalité Hava a raté son expérience, elle s'est contentée de la logique linéaire, croyant que les choses allaient continuer comme par le passé. Elle n'a pas intégré la nécessité de « passer ». Il y a une grande différence entre Hava et Hiviah. Entre les deux, il existe un pont. Or l'hébreu, c'est justement le passeur. Hava n'est pas passée. Dès lors, si elle est la « mère de tous les vivants » ce sont les vivants d'une humanité déchue. Hava est l'anti-passeuse.
La correction est cependant possible. Réalisée analogiquement par une femme, donc par une initiée qui non seulement dénonce l'erreur, mais accomplit le redressement, et opère le grand « tikoun » réparateur. C'est peut-être chose déjà faite ? J'en suis convaincu. Les temps messianiques sont déjà en cours. J'en ai parlé à la fin de l'article publié sous le titre « mâle et femelle furent créés à la fois » où j'évoque l'idée selon laquelle le messianisme opératif serait œuvre féminine.

Faut-il préciser que les hommes ne sont pas exclus de l'aventure messianique, s'agissant de trouver en eux la part féminine la plus instruite pour avancer dans ces temps nouveaux ?

Dominique Blumenstihl-Roth


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Références :


Pour les personnes désirant reprendre des éléments de ce blog : les textes publiés ici bénéficient de la protection des droits d'auteurs. Il est donc nécessaire et juste de citer loyalement la source.
Je remercie les personnes qui apportent leur aide et soutien à ce Blog et à l'édition des ouvrages de référence cités.

mercredi 21 mars 2018

Jésus a-t-il vraiment marché sur les Eaux ? Qui peut résoudre cette énigme ?

Par Dominique Blumenstihl-Roth
 
Un Lecteur m'a écrit qui me demande comment je situe Jésus dans le processus messianique.
Il me demande : Jésus a-t-il réellement marché sur les Eaux ?
Vaste question, dépassant le caractère religieux.
Cette affaire m'a intrigué, et je cherche à cerner ce mystère.
S'agit-il d'une parabole symbolique ou d'un récit réaliste ?
Allégorie ou pur miracle ?
Et qu'en faisons-nous ?
Je travaille sur la question et je prépare une étude initiatique en m'appuyant sur l'œuvre de Dominique Aubier.

Qu'en pensez-vous ? Je vous soumets cette énigme.
Que signifie cette histoire ?
Voici le texte de l'Evangile St Matthieu où cela est raconté.

Évangile Matthieu 14, 22-33. 

« Jésus obligea les disciples à monter dans la barque et à le précéder sur l'autre rive, pendant qu'il renverrait les foules. Quand il les eut renvoyées, il gravit la montagne, à l'écart, pour prier. Le soir venu, il était là, seul. La barque était déjà à une bonne distance de la terre, elle était battue par les vagues, car le vent était contraire. Vers la fin de la nuit, Jésus vint vers eux en marchant sur la mer. En le voyant marcher sur la mer, les disciples furent bouleversés. Ils dirent : « C'est un fantôme. » Pris de peur, ils se mirent à crier. Mais aussitôt Jésus leur parla : « Confiance ! c'est moi ; n'ayez plus peur ! » Pierre prit alors la parole : « Seigneur, si c'est bien toi, ordonne-moi de venir vers toi sur les eaux. »
Jésus lui dit : « Viens ! » Pierre descendit de la barque et marcha sur les eaux pour aller vers Jésus. Mais, voyant la force du vent, il eut peur et, comme il commençait à enfoncer, il cria : « Seigneur, sauve-moi ! » Aussitôt, Jésus étendit la main, le saisit et lui dit : « Homme de peu de foi, pourquoi as-tu douté ? » Et quand ils furent montés dans la barque, le vent tomba. Alors ceux qui étaient dans la barque se prosternèrent devant lui, et ils lui dirent : « Vraiment, tu es le Fils de Dieu ! »

Vos avis sont les bienvenus.
"Marchant sur les eaux" 
(peinture acrylique, 25 x 40 cm)


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Pour les personnes qui n'auraient pas suivi l'énigme du Talmud (l'oiseau et le serpent)
voici les 3 liens permettant de suivre le déroulé de l'explication.